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Tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer [Ewan] Empty
Message Tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer [Ewan] › Sam 6 Jan - 14:06


Ewan Matthew Jenkins

Je m'appelle Ewan Matthew Jenkins, et même si je ne les fais pas, j'ai 33 ans. Mais cela reste entre nous. Je suis né(e) le 23/06 /1984, dans la magnifique ville de New York. Pour passer le temps je suis tout ce qui est nécessaire pour assurer mes couvertures, et je suis à Marple Spring depuis 1 ans (I Put my bag). Actuellement je suis célibataire. D'ailleurs je suis hétérosexuel, si jamais cela t’intéresse. Mais ce qui m'énerve (ou pas), c'est d'être sans cesse comparé à Sebastian Stan.

Têtu Froid Généreux Violent Sarcastique Autoritaire Enigmatique Impulsif Loyal Rancunier.
Il déteste les nombres impairs Ewan porte toujours sur lui un couteau, et une seringue de tranquillisant Il est polyglotte et la dernière langue qu'il a apprise est le chinois Il s'est fait tatoué sur le flanc le mantra de l'école militaire où il a fait ses classes. Il est somniloque Ewan souffre du Syndrôme Post Traumatique ou SPT depuis son retour d'Afghanistan Il est hypermnésique. Et pourtant, tout son passé n'est que flou total pour lui jusqu'à son entrée dans l'armée. Peu bavard, et d'une impartialité impériale, il est difficile de décrypter les sentiments d'Ewan. Pourtant, il sait très bien jauger la psychologie de ses interlocuteurs. Ewan est mélomane: Il joue de la guitare et du piano à ses heures perdues. D'ailleurs il possède un iPod dans sa table de chevet où se trouve les quatre saisons de Vivaldi, le seul son qui réussit à l'apaiser lorsqu'il est en crise.   Il pourrait très bien être le gendre idéal. Il refuse de se rendre voir les médecins, préférant se soigner tout seul... ou pas. Ewan a fait faire une bibliothèque dans l'arrière de sa maison, y collectionnant de nombreux ouvrages mais aussi quelques secrets d'état qu'il a volé "malencontreusement" Il est allergique aux fruits de mer Cela lui est arrivé de se retrouver saoul en pleine mission. Il ne se souvient plus très bien du nom du suspect.

L'histoire de ma vie


La fin de journée ne semblait pas décider à pointer le bout de son nez et je n’avais aucunement envie de me lancer corps et âmes dans ce tas de papiers sans fin qui s’entassait sur mon bureau. Mon regard se plongea chaque minute sur la pendule qui était accrochée face à moi et aucun mouvement d’aiguille ne vint attirer mon œil aiguisé. A tel point que j’étais en train de me demander si les piles ne méritaient pas de se retrouver dans une poubelle afin de débloquer cette trotteuse qui semblait prendre du plaisir à me narguer en restant immobile à sa place. Ma main tremblante se posa sur la poignée de mon tiroir, venant jouer avec le bois du meuble avant d’ouvrir le rangement, laissant mon regard se poser sur ma bouteille de Whiskey Jameson, un léger soupir traversant la barrière de mes lèvres lorsque le reflet du jeton de sobriété tinta à mon œil. Cela faisait 6 mois que je n’avais pas touché une goutte d’alcool, et malgré tout, je gardais cette bouteille dans mon tiroir pour parer à toutes éventualités. L’alcool avait bercé mon adolescence par le mal coulant au travers les veines de mes parents, mon entrée dans l’âge adulte et m’avait permis de rendre ma vie beaucoup moins douloureuse. Ma vie ? Non, je suis mort depuis quelques temps. Depuis que j’ai enfilé ce treillis, pris les armes et combattu ce drapeau sans rien lâcher. Même la bouteille que je soulevais pour venir la claquer sur le bois de mon bureau, semblait plus vivante que moi même. Je retirais du fond de tiroir une coupure de journal que je gardais précieusement en souvenir de bons moments passés. Mon doigt caressait le papier âpre du journal, s’arrêtant sur ce qui était un lointain souvenir de ma propre personne : ce militaire qui avait fait graver Semper Fidelis sur son flanc. Celui qui n’était même plus fidèle à lui-même… Ma tête vint trouver refuge entre mes doigts qui se resserraient autour de mes tempes, laissant mes yeux se fermer pour envahir mon esprit d’images aussi nettes les unes que les autres…

C’était donc ça une réunion d’alcoolique anonyme ? Un rassemblement de tas de dépravés, têtes basses en train de s’apitoyer sur leur sort et des espèces de « protecteurs » sortis tout droit d’une secte, encourageant à coup de bienveillance, d’amour, de compassion et de tendresse les autres à se livrer. Mais qu’est ce que je foutais ici bon sang ? Ah oui, mon supérieur me l’avait demandé. Et depuis quand j’écoutais ce que l’on me demandait de faire ? Bienvenu dans l’armée Jenkins ! Après tout, je devais garder ce boulot. Mais il était hors de question que je vienne à prendre la parole. Il lui suffisait simplement d’une signature sur ce foutu formulaire, et c’est ce que j’étais venu chercher.

Je m’avançais d’un pas assuré, m’approchant du cercle déjà formé tandis qu’une dizaine de regard se tournèrent vers moi de manière synchronisée, m’arrachant un soupir tandis que je scrutais chaque personne composant ce groupe de parole. Vieux ayant été bercé à la Suze, femme traversant sa rupture à coup de Ricard, adolescent noyant sa solitude dans la Vodka, ménagère de cinquante ans trouvant dans le Gin un moyen d’oublier sa routine. Mon regard passa sur chaque personne, mon cerveau décidant de jouer au jugement hâtif. Cirrhose, fric, sans-domicile, faire genre, faire genre, attention. Ils étaient tous ici, s’auto congratulant d’une bien piètre manière de se retirer petit à petit du domaine de l’alcool. Je contournais le cercle, me dirigeant vers le seul qui semblait heureux d’être ici et qui – à mon humble avis –  était l’organisateur de la soirée, le « Parrain » comme j’avais eu la chance d’entendre dans le jargon. Celui qui malgré sa cinquantaine bien passée restait bien entretenu, me demandant même s’il connaissait quelque chose à l’alcool dans son beau costume trois pièces !

Ne me faisant pas prier pour interrompre la parole de cette pauvre pimbêche qui se pensait alcoolique en prenant un sex on the beach chaque week-end, je déposais mon dossier sur les jambes de notre charmant modérateur, tapotant légèrement son épaule avant de venir murmurer à son oreille d’une voix nonchalante.

- Il me faudrait une signature.

Son regard se posa dans le mien avant de prendre le papier et de le lire attentivement, un sourire s’étirant légèrement sur ses lèvres avant que ses mains se glissent sous sa chaise pour se reculer et ainsi ouvrir le cercle qui était clos jusque là.

- Ce sera avec plaisir, Ewan. Quand vous nous aurez parlé de vous. Nous vous écoutons.

Et sa main me catapulta au centre du cercle où tous les regards étaient une fois de plus braqués sur moi, tandis que j’avais cette fâcheuse impression d’avoir une dizaine d’alcoolodépendants de pendus à mes lèvres, attendant le moindre mot qui ne daignait pas sortir pour l’instant. Mon regard se posa sur l’homme qui venait de créer cette situation quelque peu embarrassante pour moi mais qui semblait être jouissive pour lui. Ma mâchoire se serra, mes mains se mirent à trembler avant que je ne les referme en deux poings serrés à outrance, mon regard fusillant l’homme se trouvant en face de moi. Tournant sur moi-même je décidais de me lancer dans cet exercice que je maniais plutôt bien. L’art d’embobiner, de manipuler et d’obtenir ce que je voulais de n’importe quelle manière.

- Quel est l'intérêt de se présenter, sachant que nous ne sommes en aucun cas objectifs. Nous avons toujours tendance à surjouer ou se dénigrer avec une facilité déconcertante. Et pourtant aujourd'hui, me voilà ici en train de vous parler de moi. Sortez les dictaphones, je ne répéterais pas ce genre d'opérations. Même si je suis une âme charitable, je peux connaître certaines limites.

Mon regard se posa sur ce père de famille qui semblait au fond du trou, à deux doigts du divorce et de perdre la garde de ses enfants. M’accroupissant  face à lui, lui offrant un sourire presque amical, je repris ma discussion.

- Que dire de mon caractère… Je n’aime pas tant que ça parler de moi, préférant amplement garder le mystère. J’ai toujours été cet homme silencieux, qui ne bronchait pas, encaissant par monts et par vaux les reproches, les coups et les insultes. Fils de militaire, ma carrière en fût largement ébranlée. Bien sûr, c’était facile pour le fils à papa…

Ma main vint rencontrer l’épaule de cet homme avant que mes doigts ne se resserrent sur celle-ci, laissant apparaître la blancheur de mes jointures. Je plongeais mon regard dans celui de cet homme, ma mâchoire se serrant face à tant de ressemblance avec mon pauvre père que je haïssais tant. Je déglutissais un court instant avant de me redresser pour reporter mon attention sur mon auditoire.

- Je vais faire un effort, pour vous, profitez-en ce sera la seule et unique attention que je vous accorderais. Du moins, la seule sympathique. Pour vous.

Mon regard fit un mouvement circulaire, mes bras s'écartant telle une star attendant son tonnerre d'applaudissement. Je me stoppais net, j’avais un soudain mal au crâne à force d’entendre la jeune pimbêche s’égosiller face au fait que je lui avais coupé la parole et qu’elle souhaitait la récupérer pour pouvoir finir son histoire de pilier de bar. Ma machoire se serra et ma main vint se poser avec une tendresse surjouée sur sa joue, dessinant du bout de mes doigts le contour de sa machoire. Puis ma vision se flouta et son visage se mit à disparaître pour laisser les traits si fins, si désirables et si détestables de Livia prendre place, un sourire sarcastique (ou non) sur ses lèvres, et une arme à feu pointée sur moi. Je n'eus pas le temps de reculer, ni même de réagir, que la détonation me fit tomber dans un noir profond, n'ayant ni ouïe ni vue pour me repérer. La seule chose qui me restait, était cette douleur lancinante, descendant de mon épaule à mes doigts, endroit où une balle était rentrée pour une raison bien piètre à mes yeux: la passion.


Marple Spring. Petite ville américaine renommée pour être LA ville où il fait bon vivre. Mon psychologue au bataillon m’a conseillé de m’y rendre pour « décompresser, prendre du recul et faire le point ». Le seul soucis c’est que la peur habite m’habite, que mes réflexes de survie refont surface face à chaque habitant, chaque pavillon, du meilleur joueur de football du lycée, au grand père de la maison de repos. Oscar Wilde, grand penseur de mes terres paternelles, que j'appréciais l'a écris dans l'un de ses ouvrages : « Je n’ai pas peur de la Mort. Ce qui me terrifie est l’approche de la Mort... ». La seule différence qui nous oppose se trouve être les réponses que nous rendons à ces signaux que la prise de conscience du danger environnant nous offre. Pourquoi vous parlez de la peur ? Parce que je ne la ressens pas, elle fait partie entière de moi. Là, actuellement, en arpentant les trottoirs usés des rues animées de ma nouvelle ville, j'en fais une obsession, préférant ne pas la sentir autour de moi, à chaque regard que les gens m’offrent. Mes trente-trois années d’existence ont été les plus courtes et à la fois les plus enrichissantes, me rendant un peu plus sombre à chaque jour que j’écumais, chaque nuit que je traversais. Je ne compte pas celle d’errance, d’expérimentation ou de lâcher prise, les chiffres ne jouant peut être pas en ma faveur. J'avais été éduqué pour être ce soldat sans faille, cet homme rigide voir même frigide qui ne comprend rien aux sentiments, et ne ressens aucune émotion. Du moins, ressentais. Car ma vie a été chamboulée lors d'une de mes missions. Plus jeune des lieutenants que l'US Navy ait pu rencontrer depuis des décennies, j'avais été embauché par le service d'antiterrorisme du FBI pour m'infiltrer au près d'un puissant homme d'affaires italien qui se rendait à Manhattan. J'étais l'homme idéal pour la situation. Peu bavard, je réussissais à m'attirer la confiance de ces malfrats si aisément qu'il ne me fallait que peu de temps pour découvrir le fin fond de leur trafic. Enfin, c'est ce qui se serait passé dans le meilleur des mondes. En réalité, il y avait un maillon de la chaîne que je ne réussissais à comprendre ni à contrôler: Livia Gray. Sa soit-disant assistante. Je la détestais autant que je pouvais apprécier la regarder lorsque je surveillais notre "intérêt commun".

Les choses changèrent bien rapidement lorsque la situation dégénéra, malgré la surveillance sans faille du service de sécurité. Je perdis toute réflexion et redevenais ce robot, agissant par habitude et par acquis plutôt que par pure pensée. Je plongeais sans me poser de questions entre Livia et la balle qui lui était destinée. Pur réflexe de militaire, vous me direz. Coucher avec elle aussi fût un pur réflexe d'homme. Je savais bien qu'il n'y aurait eu qu'une nuit entre nous, mon unité étant déportée en Afghanistan. J'avais insisté pour me rendre auprès de mes hommes sur ces terrains minés et dangereux. Si je devais annoncer à une famille qu'un père, un mari, un fils ou un frère était parti, je voulais pouvoir leur dire qu'il s'était battu sans relâche pour son pays. J'avais donc laissé Livia le matin de mon départ, avec un simple mot et sans me retourner je partais pour un combat, long de deux années.

Les choses furent celles que vous connaissez tous. Les morts, les conditions de vie horribles, les missions d'extraction, de protection de village résistants, la sueur et le sang. J'étais au plus proche du combat, au plus proche de mes hommes, au plus proche de la mort. Nous réussissions quelques gros coups, mais nous en perdions beaucoup aussi. Jusqu'à ce que mon unité soit la cible d'une voiture piégée sur la route pour reprendre Kunduz aux talibans. Tous périrent les uns à la suite des autres de leur blessure. Les seules marques physiques que je garde sont les cicatrices des différentes opérations qui ont été nécessaires pour me remettre sur pied. La blessure la plus douloureuse est celle qui a atteint mon psychique. Les cauchemars sont incessants, les images reviennent, moi qui suit hypermnésique, avec une netteté digne des plus grandes productions de films. Les voix, les odeurs, les cris, les pleurs. Rien ne me quitte, j'en suis habité.

Alors je suis venu poser mes valises dans cette petite ville de Marple Spring dans l'espoir de voir le traumatisme s'amenuiser. Je suis ici depuis près d'un an, et pourtant il m'a fallu six mois pour quitter le salon de ma maison. Je reprend petit à petit goût aux sorties, moi qui me noyait dans des verres d'alcool. Je suis bel et bien décidé à tourner une page sur ce passé qui me hante, et faire de ce lieu le début du renouveau. De MON renouveau.

PSEUDO/PRÉNOM + Pour le coup, appelez moi via une prière vaudou ! PAYS/REGION + Francia (twelve points) ÂGE + L'âge d'avoir encore toutes ces dents. COMMENT T'ES ARRIVÉ JUSQUE LA ? + J'ai senti une aiguille plantée dans mon petit coeur, haaaa la sorcellerie... QUE PENSES-TU DU FORUM ? + Il me plaît bien avec tout ça :D PARLE-NOUS DE TOI + J'me présente, je m'appelle Johnny, J'voudrais bien réussir ma vie, être aimé !! Être beau et gagné d'l'argent, puis surtout faire chialer les gens, quand ils entendront pour mes obsèques mes chansons... Bon okey, j'arrête j'ai raté ma carrière dans la musique ! . CÉLÉBRITÉ LOUÉE + Sebastian Stan (je vous donne les tarifs si vous le voulez). PERSONNAGE INVENTÉ SCÉNARIO OU PV ? + Purement inventé, toute ressemblance serait fortuite  ACCEPTEZ-VOUS LE DOUBLON DE VOTRE PRÉNOM ? + Non  :oui: Je m'en fous un peu à vrai dire ;)

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Dernière édition par Ewan Jenkins le Dim 7 Jan - 16:47, édité 11 fois
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Message Tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer [Ewan] › Sam 6 Jan - 14:13
OMGGGGG :nooo: :bed: :bed:
CE VAVA!! Dieu sait que j'aime Sebastian Stan Tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer [Ewan] 953116116 Tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer [Ewan] 953116116 Tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer [Ewan] 953116116
Bienvenue parmi nous! :coeur;
et bonne chance pour la fiche, j'ai hâte de voir ce que ça va donner :aww:
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Message Tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer [Ewan] › Sam 6 Jan - 14:17
Salut beauté :--:

J'vais mettre mes compétences de rites vaudou au service des gens j'crois !
Hâte de lire ta fiche :devil:

C'EST MOI QUI L'AI FORCÉE A PRENDRE SEBASTIAN *sort loin*
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Message Tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer [Ewan] › Sam 6 Jan - 14:19
Mon p'tit Keith ! Tu n'existerais pas, crois moi que j'aurais pris Chris ! Mais bon, Sebastian est très bien... Presque parfait, il lui manque juste quelqu'un mais la, il faut faire des prières vaudous, à priori, cela fonctionne !!

Toi ! Oui toi qui fait "WIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII" derrière ton écran ;) Ne t'impatiente pas trop, je suis peut-être le pire de tes cauchemars ! ;)
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Message Tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer [Ewan] › Sam 6 Jan - 14:22
Tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer [Ewan] 1091700280 j'aurais pas joué Sebby ailleurs, je l'aurais pris pour Keith xD
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Message Tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer [Ewan] › Sam 6 Jan - 14:24
ALORS déjà je fais "wiiii" avec moins de I donc tu te calmes :boude:
Ensuite j'ai très hâte que tu deviennes mon cauchemar, j'attends déjà la réponse des grands manitous :cache:
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Message Tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer [Ewan] › Sam 6 Jan - 19:00
Bienvenue par ici :suisla:
Ravis de voir de nouveaux visages, puis Seb :bave: J'avoue il est croquant :mdr:
Bon courage pour ta fiche, hâte de te lire et de peut-être te croiser en RP.
Bon jeu sur M.S. :dingue:
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Message Tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer [Ewan] › Sam 6 Jan - 22:03
Bienvenue :)
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Message Tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer [Ewan] › Sam 6 Jan - 23:06
Bienvenue parmi nous :D

Super vava :bave:
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Message Tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer [Ewan] › Dim 7 Jan - 16:55
Ce duo explosif que vous allez former avec Livia :mdr: hâte de voir ça :P
Sinon c'est tout bon pour moi ! Bienvenue parmi nous !

Au passage, nous avons une animation Disney World en cours et à durée indéterminée ;) alors n'hésite pas à aller y faire un tour :D




Félicitation tu es validé(e)

Tout d'abord, nous te remercions de t'être inscrit(e) sur MARPLE SPRING Tu t'amuseras parmi nous, tu verras, on est un peu taré quand même, mais chut Tu peux dès à présent poster partout sur le forum, t'occuper de ton personnage, venir nous rejoindre sur le flood et autre.

Gestion du personnage
Pour commencer, veille à remplir tous les champs de ton profil. Ce n'est pas obligatoire, mais c'est toujours plus agréable. Tu peux aussi mettre une signature pour rendre tes postes plus agréables.

Tu trouveras tout ce que tu as besoin pour donner une vie à ton personnage dans la section scène de ménage. Tu y poste ta fiche de liens, faire tes demandes diverses et variées.

Scénarios & cie.
Tu peux, si tu le souhaites créer des scénarios et pré-lien, pour aider le forum à grandir. Les gens aiment prendre des scénarios, alors n'hésites pas à créer ta petite famille, ta future chérie, ton meilleur ami ou toutes autres personnes importantes dans ta vie. Pour les scénarios c'est par ici et les pré-liens par ici.

Et si tu vois de la place en P.A. hésite pas à faire un tour pour mettre ton scénario en avant.

Petits plus
Nous avons également mis en place un système de loterie à partenaires. Tu peux y proposer tes Rps de groupe, y chercher un partenaire de RPs aléatoire. Tu trouveras toutes les informations par ici.

Intégration et autres
Et enfin n'hésites pas à participer dans le flood, les jeux... T'investir dans la vie du forum. Et a aller chercher des liens. Cela ne pourra que t'aider. Nous avons également une CB assez active où régulièrement des soirées sont organisées. Tu peux aussi soutenir le forum, afin d'aider le forum à se développer. Nous t'en remercions d'avance.

Mais le plus important, AMUSES-TOI BIEN sur MS
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