C'est l'histoire de la vie !!! un cycle éternel !!

" - Damiano ! Dami !!! vient vite !! " La jeune femme tout excité sautait dans tout les sens, un sourire étirait ses lèvres jusqu’à ses oreilles. Son mari arriva aussi vite qu'il le put, inquiet par tant de brouahah et quand il fut prés d'elle son regard suivi celui de sa femme,il baissa la tête sur ses mains et en oublia de respirer. " Ne me dis pas que.. " " Si !!! ". L'homme s'empressa d'enlacer sa bien aimée, ils allaient être une famille et non plus un simple couple, même si il n'était pas un couple ordinaire. Etant chef de la Camorra, un des gang de la mafia Italienne, réputé, rien n'était normal dans leur vie, entre les attaques, les trafiques, les mort et les drames.

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Quelques mois plus tard Maria Covacelli était installé confortablement dans un fauteuil, situé en face de la fenêtre, elle passait sa main sur son ventre, comme une mère le faisait pour protégé son enfant, d'un amour maternelle. Distraitement elle commença à s'imaginer coiffant les cheveux clair de sa fille, un sourire aux lèvres, béant dans une atmosphère de joie et de bonheur et ses pensées divaguèrent, passant par son premier jour d'école et en finissant par son adolescence, elle imaginait sa fille dans les environs de ses 15 ans la ou elle deviendrait un vrai femme pur sa quinze nueva, Maria regarda par la fenêtre et aperçu des membres du  gang de son mari, soudainement elle soupira, avoir une fille n'était pas envisageable... Mais en quoi un garçon serait mieux ? malgré qu'il serait magner les armes et qu'il soit redoutable dans les sports de combat, il y avait des risques qu'ils meurent même au coin de la rue. Non Maria n'était plus aussi enjouée, elle offrait sans le vouloir la mort a son enfant.

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Et enfin arriva la naissance, en ce premier décembre, le ciel était pourtant dégagé et un petit soleil éclairait la chambre dans laquelle Maria ce trouvait, entouré de femmes pour l'aidé a mettre bas. La jeune femme était dans son lit, les joues rouge et ses cheveux lui collé aux visages, elle souffrait terriblement, mais elle savait que lorsqu’elle verrait son enfant, ce sera le plus beau jour de sa vie. Damiano était lui dans son bureau, dans la pièce a coté, respectant l'intimité de sa femme. Il avait un verre de pur malte entre les doigts et il tournait en rond encore et encore, priant pour que sa femme et son enfant survive. Secrètement il espérait avoir un garçon, après tout, de père en fils, dans la famille Covacelli, l’aîné était toujours un homme et il devait prendre la place de son père pour devenir le Chef, c'était comme ça et pas autrement. En revanche si une petite fille voyait le jour il devrait la marié a un gang adverse et la Camorra fusionnerait avec le gang adverse pour n'en former plus qu'un. Savoir qu'un de ses hommes mettra sa fille sous clé lui fit monté une rage sans limite. Dami' passa une main sur son visage livide et rouge de colère, bu son verre d'une traite, il suffit de deux secondes a peine pour qu'il entende des pleurs retentir dans la maison, il se leva sans attendre et courra pour rejoindre sa femme, sa colère était parti en un clin d’œil. Il prit une grande inspiration et rentra, il s’arrêta pour contempler la scène et ce dit a lui même que sa femme même rouge et en sueur était la plus magnifique de toute.

" - C'est un garçon "

Après avoir entendu ses quelques mots, Damiano se mit à sourire, soulagé et s'approcha de Maria pour voir son héritier.

" - Julian.. " Déclara-t-il dans un souffle.

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Julian avait aujourd'hui un an et faisait le bonheur de ses parents, il était leur fierté et le resterait. Cependant la vie décida d'être cruelle et prit une tout autre tournure. Un gang attaqua la petite famille, Maria eut a peine le temps de dire a son fils qu'elle l'aimait plus que tout et le cacha dans le placard de sa chambre, priant pour qu'il ne le trouve pas, elle ce fit par la suite brutallement abattre par plusieurs balles, Damiano subit le même sort que son épouse. Quelques heures plus tard les corps fut découvert et Julian qui était encore dans le placard fut envoyer le soir même en Amérique la ou il ne serrait pas en danger.

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Il passa son enfance dans un Orphelinat à Detroit et son adolescence aussi, il était réservé et ne parlait pas, il était également solitaire mais le temps passa et il devient un ado impulsif et quelques peux incontrôlable, les personnes qui s'occuper de lui passaient leur temps a aller le chercher au poste, pour des petits délits, quand il eut quinze ans ce fut pour vole et parfois quelques casse qu'il ce retrouva aux postes, mais heureusement rien de très méchant, il avait juste de mauvaise fréquentations. Il allait au lycée et vivait comme une personne normal, enfin pas tout a fait, car lui quand lui il rentrait après une grosse journée de cours, il ne retrouvait pas ses parents, sa famille, lui retrouvait ses joins et une chambre livide.

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Lorsqu'il eut 17 ans, il passa un été formidable, il rencontra une jeune femme exceptionnelle et au premier regard il tomba fou amoureux d'elle, elle avait l'allure d'une princesse et le caractère d'une guerrière, elle était drôle et franche, ils étaient comme la belle et le clochard et Julian trouvait ca drôle, elle avait était son première amour, et jusqu'à maintenant son seul amour, la fin de l'été était arrivé et chacun devaient reprendre sa vie, il savait que Louna souhaitait partir d'ici et il la comprenait, lui aussi aurait aimé partir cependant il n'avait pas encore l'age, il dut lui dire au revoir.

Quand il eu son dimplome de mécanicien en main, a ses dix neuf ans, Julian trouva des petits boulots, il dépannait ses potes et fêter avec une femme différente a son bras chaque soir, il avait déclaré que l'amour n'était tout simplement pas pour lui et que même si il tombé amoureux ce qu'il trouvait grotesque et pour les faibles, il ne pourrait traité sa princesse comme elle le mériterait, il vivait dans un appart miteux et n'avait pas beaucoup d'argent, c'est surement ce pourquoi il ce mit a vendre, au départ pour un de ses amis, sa arrondis ses fins de mois.

Puis il eut 25 ans et en eut marre, Julian décida de ce barré d'ici, pas très loin, juste changer d'horizon et pourquoi pas essayer de savoir pourquoi il était orphelins, il apprit par l'Orphelinat que quelqu'un savait surement quelques chose a Marple Spring, car eux savais tout juste qu'il était Italien.