-39%
Le deal à ne pas rater :
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
399 € 649 €
Voir le deal

Partagez
 Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas Aller à la page : 1, 2  Suivant

Invité
avatar
Invité

When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] Empty
Message When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] › Ven 3 Juil - 21:29



Cathleen Rose Kingsown

Je m'appelle Cathleen Rose Kingsown, et même si je ne les fais pas, j'ai vingt-cinq ans. Mais cela reste entre nous. Je suis né(e) le douze juin mille neuf cent quatre vingt dix, dans le magnifique état du Texas. Pour passer le temps je suis monitrice d'équitation, enfin du moins lorsque j'étais encore au ranch familial au Texas, et Je suis à Marple Spring depuis deux jours (Stranger in a strange land). Actuellement je suis fiancée à un homme qui lui a fait beaucoup plus de mal que de bien. D'ailleurs je suis hétérosexuelle, si jamais cela t’intéresse. Mais ce qui m'énerve (ou pas), c'est d'être sans cesse comparé à Crystal Reed.

Caractérielle Têtue Tendre Amoureuse (peut-être trop) Drôle Sincère Calme Impatiente Râleuse Fidèle Impulsive Attentionnée Perfectionniste Souriante Forte Sensible Fragile.
La jeune femme est une amoureuse de musique. Elle trouve cet art très noble. D'ailleurs, c'est une pianiste accomplie. Elle aime laisser vagabonder ses mains sur les touches pour pouvoir réfléchir ou tout simplement se vider la tête. Ca marche toujours selon elle, même si cela fait longtemps qu'elle ne joue plus. Quand elle est nerveuse, elle a souvent l'habitude de tordre ses mains. C'est un signe assez distinctif chez elle. Elle ne peut faire autrement. Pour disons tenter de calmer ses pauvres nerfs, le seul remède qu'elle a trouvé est de maltraiter ses pauvres mains. Ainsi, ses proches savent toujours quand elle est nerveuse ou non. La jeune femme est souvent une jeune femme impulsive, qui se laisse guider par ses émotions et non par sa tête. Ainsi, très souvent c'est souvent son coeur qui parle. Il est presque à découvert à chaque seconde. Il est vrai que certaines fois cela peut lui porter défaut mais, elle sait très bien aussi se montrer en parfaite personne raisonnée et intelligente. Mais il est vrai qu'elle n'aime pas le paraître et exécuter ses premières pensées est sans aucun doute le moyen pour elle de montrer qu'elle est vraie, loin de ces jeunes filles en plastique qu'elle peut croiser certaines fois. Sur le flanc droit, se trouve un tatouage auquel la jeune femme tient beaucoup. Personne ne l'a jamais vu, ou du moins une. C'est une phrase très symbolique pour la jeune femme. La brune est gauchère. c’est peut-être une chose sans importance pour vous, mais la jeune femme, durant son enfance, a longtemps essayé d’écrire de la main droite pour être comme les autres. La jeune femme peut être très maladroite. Ne lui donnez jamais un truc précieux en lui précisant de faire attention, vous pouvez sûr que par pur malchance, le pauvre objet sera réduit en miettes car la rousse l’aura fait tomber ou autres. Cathleen est claustrophobe et cela peut réellement lui jouer des tours. Cathleen est une fan inconditionnelle des Marvel. Néanmoins, elle n'en parle pas tellement. D'ailleurs, elle a un sweat à l'effigie de Star Lab', entreprise célèbre dans The Flash. Elle possède disons des petites touches qui trahissent sa passion mais rien de plus. A sept mois de grossesse, le gynécologue découvrit une petite anomalie sur l'échographie. Ainsi, elle devait à tout prix être opérée à la naissance, sous peine de mort subite. Elle faillit d'ailleurs ne recevoir jamais cette opération, à cause d'une folle furieuse, qui la pensait être sa fille. La jeune femme peut-être considérée comme une éternelle romantique. Et c'est le cas. D'ailleurs, ses sentiments la font toujours revenir vers l'homme qu'elle aime malgré toutes les fois où ce dernier l'a réellement blessée. Que voulez-vous ? L'amour rend aveugle non ?

L'histoire de ma vie


Born to suffer ∾ « Pauvre petite. A peine née, elle faillit être arrachée à sa mère. » soupira alors doucement une voix, alors que ses mains s'activaient ardemment sur le nouveau-né. Ce dernier agitait sa petite tête dans tous les sens, sans qu'elle ne comprenne aisément ce qui se passait autour d'elle. Après tout, quelques heures dans ce bas-monde ne lui permettait pas encore d'en comprendre grand chose. Elle était si petite dans le landau d'hôpital où l'infirmière l'avait déposé en vitesse avant de faire les premiers examens vitaux. Elle ne se doutait pas de ce qu'elle avait déjà vécu à quelques heures à peine. Non, l'innocence et la candeur se lisaient encore dans son regard. Ses si petites mains brassaient l'air, gigotant. La jeune infirmière se dépêchait de vérifier si la petite n'ait pas souffert de ce petit épisode plus que douloureux pour tout le monde. Regardant sa respiration, ses constantes, ou encore son taux d'hydratation, elle ne laissait rien au hasard. Effectivement, il fallait que la petite soit parfaitement remise. Ses parents s'étaient tellement inquiétés. Sa mère, sans aucun doute, le plus. Elle n'avait pas arrêté à la demander, encore. Même si l'espoir de retrouver son enfant avait été le plus infime, elle s'était accrochée. Sans jamais lâcher. Ils n'avaient même pas eu le temps de nommer la petite fille. « Elle va bien ? Il lui faut quelque chose ? » entendit alors l'infirmière derrière son dos. Elle se retourna et découvrit un autre personnel de l'hôpital. « Non, tout va bien. Elle a eu de la chance que l'on la retrouve aussi vite. » « Tant mieux alors. » Elle acquiesça doucement en reportant son attention sur la petite, où elle avait posé doucement une main sur son petit ventre nu pour l'empêcher de tomber de la table. Tout irait pour le mieux. Pour ses parents, pour elle. Tout le monde allait être rassuré. C'était le mieux. « Ils ont envoyé le psychologue pour l'autre femme ? » « Ils l'ont carrément sédatée tu veux dire. Elle était complètement hystérique et hurlait à s'en rompre les cordes vocales. Elle est persuadée d'être la mère de cette enfant. » L'autre en face de l'infirmière haussa doucement les épaules, comme désabusé. « C'est pas incroyable quand même. » « Ne pas pouvoir donner la vie peut rendre bien folle la plus sage des femmes. » Commenta la jeune femme. «  Peut-être. En tout cas, elle ne pourra plus faire de mal. C'est le principal. » « Le principal est de rendre cette princesse à ses parents. » corrigea-t-elle. « C'est si étrange qu'un tout petit être ait déjà si souffert sans le savoir, et sans en avoir aucun souvenir... » commença-t-elle doucement à dire en prenant doucement le nourrisson dans ses bras. Après tout, la petite Cathleen ne saura peut-être jamais qu'elle avait été, avec sa maman, cible d'un projet d'adoption forcée. D'ailleurs, sans son anomalie à la naissance, elle serait probablement déjà à des milliers de kilomètres dans les bras d'une inconnue complètement déjantée et qui se prendrait pour sa mère. Son malheur avait fini par lui porter chance. Effectivement, si elle avait vite suffoqué et était devenue bleue, sa "fausse" mère l'avait vite emmené à l'hôpital, comme paniquée. Ainsi, la supercherie avait vite été démantelée. Doucement, la jeune infirmière enveloppa convenablement le nourrisson dans sa petite couverture, avant de quitter la pièce. Elle allait enfin rencontrer les bras de sa génitrice. Elle allait enfin croiser le regard fier de son père. Elle allait enfin vivre toutes les choses qu'elle avait failli être privée à jamais. Elle allait sans aucun doute devenir la prunelle des yeux de ses parents. C'était un fait certain. « Monsieur et Madame Kingsown, je vous présente un petit ange. »

Meet me in a hopeless place ∾ Juste un petit coup porté à la porte, et Cathleen attendait patiemment que celle-ci daigne s'ouvrir. Dehors, une petite brise d'été indien venait rompre un peu cette chaleur presque étouffante. Cela faisait presque du bien à la jeune fille d'avoir froid. Elle n'avait jamais réellement apprécié l'été. Cette saison, bien que trop aimée par les hommes généralement à cause des bikinis sur la plage, la rendait presque malade avec tout ce soleil et cette température certaines fois incandescente. Non, depuis toute petite, elle avait toujours préféré l'hiver. Ah l'hiver, douce saison à ses yeux. N'était-ce pas durant cette période où les fêtes se succèdent et où un esprit de Noël se développe ? Evidemment. Mais ce qu'aimer particulièrement Cathleen à cette période, c'était sans aucun doute, la neige. Depuis petite, elle guettait presque l'arrivée des premiers flocons. Elle adorait tout ce manteau blanc. D'ailleurs, elle a toujours dit qu'elle préférait mourir de froid que de chaud. Effectivement, selon elle, le froid anesthésiait. « Hey ! Tu as pu venir, t'es la meilleure ! » La voix de son amie faillit presque la faire sursauter, la sortant de ses pensées. La jolie brune sourit doucement. « Comment pourrais-je ne pas venir à l'une des soirées d'une de mes amies les plus chères hein ? » Après tout, n'était-ce pas cette dernière qui avait fait des pieds et des mains pour que la jeune femme vienne ? Bien évidemment. La blonde savait réellement quoi dire pour faire craquer son amie. Effectivement, ayant une journée plus qu'épuisante au ranch familial, là où elle travaillait, Cathleen avait failli décliner. Failli. Elle avait cédé comme à chaque fois. Et puis cette soirée pourrait peut-être la détendre de sa journée. Effectivement, un petit moment passé entre amis pourrait sans aucun doute faire du bien à la brune. N'a-t-on jamais dit que le rire guérissait tous les maux ? « Allez viens, entre. Tu peux me donner ta veste. Les autres sont déjà dans le salon. » Cathleen s'exécuta, toujours muni de son sourire. Il faisait bon vivre chez son amie. D'ailleurs, elle entendait déjà des bruits de conversations émerger du dit salon, pièce qui se trouvait au fond de l'entrée. « Vas-y entre. Fais comme chez toi. Je te rejoins. Il faut juste que j'aille sortir un truc du four, sinon les pompiers vont vite arriver. » rit-elle doucement avant de laisser la brune. Cette dernière bien qu'à l'aise, avança doucement vers le salon. Son amie ne lui avait pas réellement précisé qu'ils seraient plus de deux. A vrai dire, elle pensait passer une soirée tranquille avec elle, comme le font de temps en temps toutes les amies entre elles non ? D'ailleurs, une voix assez masculine et grava s'éleva, couvrant celles des autres, lorsqu'elle entra dans l'entrée. Le propriétaire de cette dite voix se présenta alors à elle comme étant un inconnu. Elle ne l'avait jamais vu. Néanmoins, ce qui la frappa chez lui, c'est sans aucun doute ses yeux. Il est vrai que Cathleen regardait toujours les yeux en faisant la connaissance d'une personne. Sa mère lui avait toujours dit que ces pièces-ci de l'anatomie humaine était sans aucun doute les portes de l'âme. Les siens étaient verts ambrés, mais légèrement teintés d'un sombre éclair qu'elle ne sut pas expliquer sur le moment. Sa mâchoire était saillante, comme l'étaient ses muscles de bras d'ailleurs, comme le remarqua par la suite Cathleen. Si cette dernière affirmait que le jeune homme en question n'était pas réellement beau, elle mentirait sur toute la ligne. Réellement. Cette contemplation ne dura que quelques secondes, le temps d'évaluer tout le monde dans la pièce, et ne sembla pas perturber les conversations aux alentours. Peut-être parce qu'ils étaient bien trop occupés pour avoir remarqué la présence de la brune. Peut-être ou peut-être pas. « Cathleen, je te présente, Mathias. Je crois que vous ne vous connaissez pas tous les deux non ? » entendit-elle alors derrière son dos, son amie l'ayant apparemment rejointe. Les yeux se tournèrent vers les deux, et des salutations, ainsi que des sourires se suivirent. La soirée commençait plutôt bien d'ailleurs. Très bien même. « Tu es l'amie de Hayley c'est ça ? » lui demanda le fameux Mathias quelques dizaines de minutes, se retrouvant seul avec elle, les autres étant partis sur le balcon pour prendre l'air, ou étant dans la cuisine pour le repas. Ces quelques mots semblèrent en apparence assez anodins, mais ils furent le déclencheur d'une incroyable histoire entre les deux. Ils les entraînèrent tous deux dans une folie presque incontrôlable. D'ailleurs, aucun des deux n'en n'avaient conscience à ce moment-là. Non, elle lui répondit simplement par un hochement de tête, et un sourire. C'était le début de tout pour eux. Ou peut-être le début de la fin. Qui sait réellement ?

Just a little bit of your heart ∾ Son regard se porta au loin, dépassant la fenêtre qu'elle regardait depuis quelques minutes déjà. Le téléphone à la main, elle était en conversation depuis maintenant quelques temps. Elle ne saurait le dire. Assise sur le grand lit presque conjugal, en posture indienne, elle souriait. « Tu n'es pas sérieux ? Il a réellement fait ça ? » rit doucement la jeune femme, peut-être plus fort qu'elle ne l'aurait voulu. « Tu me charries là non ? » Son interlocuteur rit avec elle de plus belle. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas eu au bout du fil son meilleur ami d'enfance. Ce dernier, elle le connaissait comme sa poche, presque. Ils avaient été toujours inséparables, ces deux-là, il fut un temps. Pourtant, beaucoup de leur entourage pensaient qu'avec le temps et surtout la distance, Tomas, étant parti vivre avec ses parents en Floride, ils se seraient perdus de vue. Mais pas le moins du monde. Ils tenaient tous deux à l'autre et n'avaient pas envie de se lâcher si facilement. Ils s'adoraient tellement. « Je te jure que la femme a réellement vomi à mes pieds. C'était réellement hard core. » répéta-t-il alors pour la seconde fois, toujours aussi hilare. « La pauvre. Elle ne devait pas savoir où se mettre non ? T'es quand même pas bien de rompre avec elle quand elle est malade hein ! » Avec Tomas, il était si simple de rire. Réellement simple. D'ailleurs dans son hilarité la plus totale, elle n'entendit pas la porte qui claquait, signe que Mathias était rentré de son travail. C'est l'ouverture de la porte de chambre par son petit ami, qu'elle s'en aperçu. « Hum... Je te rappelle. » dit-elle alors, son sourire se fanant quelques peu sur ses lèvres en découvrant le visage de celui qu'elle aimait. C'est à dire renfermé. « Je suppose que Mathias est rentré hein  ? » « Oui, il est rentré. Je te rappelle plus tard, d'accord ? » Et elle raccrocha. Elle n'eut pas le temps de poser son téléphone sur sa table de nuit, pour ensuite se lever, qu'elle l'entendit. « C'était qui ? » « C'était juste Tomas, je lui ai téléphoné tout à l'heure pour lui dire que je ne pourrais pas être là pour son anniversaire. » répondit-elle doucement en haussant les épaules. « Tomas. » répéta alors Mathias, ayant presque l'air d'un demeuré. « Je vous dérangeais peut-être non ? » Cathleen fronça doucement les sourcils en l'entendant. Que voulait-il entendre par là ? « Non, pas du tout. Il devait partir apparemment. » La jeune femme sourit et se leva pour enfin s'approcher de son petit ami pour le saluer comme il se devait. Mais ce dernier ne sembla pas de cet avis, ou du moins comprit le geste de la jeune femme autrement et tourna les talons alors qu'elle venait tout juste de faire à peine deux pas sur le parquet. « Qu'est-ce qu'il y a Mathias ? Tu sembles ... » Elle ne trouva pas le mot à proprement parlé. Elle le suivit alors dans le salon, les mains sur les hanches, attendant évidemment une réponse. Réponse qui apparemment ne vint pas. Elle fut de suite agacée par son comportement puéril, et surtout sa jalousie, même si d'un autre côté, elle aimait ça. Après tout, ce sentiment n'était-il pas la preuve d'un amour ? Certes, une preuve maladroite, mais bien présente ? « Math'. Nous n'avons fait que parler. On parle bien de Tomas, mon meilleur ami d'enfance. Rien d'autre. » A vrai dire, elle savait que la relation qu'elle entretenait avec ce dernier avait toujours dérangé son petit ami. Mais Tomas était un frère pour elle. Rien que ça, même si certes, la notion de fraternité avait un tout autre sens pour Mathias évidemment. L'ignorance de celui qui l'aimait face à sa tentative d'explications l'agaçait plus qu'autre chose. C'était bien une chose qu'elle ne supportait pas d'ailleurs. « C'est vraiment pas possible. Tout ça pour ça. Combien de fois faudra-t-il que je te le dise hein ? » « Je n'ai rien dit Cathleen. Tu te montes la tête toute seule, là. » « Le silence en dit long sur ce que tu penses. Non, en fait, non. Ton silence me cache ce que tu peux penser et tu vois ça me rend dingue. Parce que je veux savoir ce que tu en penses. » « Tu semblais bien pressée de raccrocher lorsque je suis arrivé. » Ca y est. On y était. Le voilà le fond du problème, Cathleen n'avait pas été totalement folle en voyant la réaction de son petit ami. « Je voulais tout simplement raccrocher pour être avec toi. » avoua-t-elle doucement. « N'était-ce pas plutôt pour couper court à une conversation que je n'aurais pas du entendre ? » suggéra-t-il. La jeune femme savait très bien qu'en répondant à cette question, le ton montrait surement entre eux, comme toujours. Mais, elle ne pouvait décidemment pas le laisser croire ça. « Tu oses dire que je parlais à... un amant, qui sort de je ne sais où, juste parce que j'ai raccroché quand tu es rentré ? » « Tout porte à croire non ?! » Elle secoua doucement la tête. « C'est pas vrai. J'hallucine quoi. » Elle leva les mains, presque comme une innocente. « Ce n'était que Tomas, d'accord ? Arrête de croire que je vais te quitter pour je ne sais qui ! Tu.. Rah, tu m'énerves ! Tu penses toujours là où il n'y a rien à penser, Mathias ! Quand est-ce que tu vas comprendre que je t'aime, punaise ! Tu vas me faire devenir chèvre ! » Le jeune homme lui lança un regard. Un seul et même regard. Ce regard, elle le détestait. C'était ce dit regard qu'il avait toujours lorsqu'il se disputait. Lors de ces moments-là, l'ombre dans ses prunelles assombrissaient son iris comme jamais, le rendant plus féroce que jamais. « Si t'es pas contente, ta valise t'attend sur le pas de la porte. » affirma-t-il. C'était toujours, ou du moins, ce qui ressortait le plus dans leur dispute encore et encore. « Wha. Et ben, alors c'est comme ça ? Un problème et c'est la porte ? C'est pathétique. » Elle secoua doucement la tête, presque désolée. Elle se retourna et préféra s'enfermer dans la chambre qu'ils partageaient à deux. Elle n'oublia pas évidemment de claquer la porte au passage. Se réfugiant sur son lit, telle une enfant, elle entendit très distinctement le coup porté à un meuble de l'autre côté du mur. C'était toujours comme ça avec lui. Cathleen avait toujours vu ses accès de colère comme passagers, mais c'était bien plus que cela. Son petit ami était instable, elle l'avait très vite remarqué après sa rencontre. Pourtant, elle avait tenté de tout accepter. Réellement. Fort heureusement, lors de leurs disputes, c'était plus les objets et murs qui en prenaient pour leur grade que Cathleen. Mais les mots faisaient parfois bien plus mal que des gestes. Vraiment. Elle ne sut pas réellement combien de temps, elle resta alors allongée sur le lit conjugal. Peut-être dix minutes, ou bien une demi-heure. Elle ne sut jamais. Néanmoins, lentement, elle se détacha des draps et ouvrit avec lenteur la porte. Personne dans le salon. Elle avança alors doucement dans la pièce et aperçut alors la silhouette de son bien aimé à travers la fenêtre. Il était sur la terrasse. Prenant une petite inspiration, s'étant arrêtée, elle n'eut pas la peine d'ouvrir la porte fenêtre, fit quelques pas sur le carrelage froid de la terrasse. Glissant ses bras autour du buste de son petit ami avec lenteur, elle posa sa tête sur son dos. Les mots étaient inutiles dans ces moments-là. Ou du moins, selon elle. Elle préféra alors ne pas briser ce silence, qui semblait si apaisant pour tous les deux. Elle aimait ce genre de moment, où il se laissait faire. C'était d'ailleurs ces moments-là dont elle manquait cruellement. Le manque de tendresse, de douceur, dans son couple était réellement présent dans son couple. Elle en avait conscience, peut-être un peu trop. D'ailleurs, c'était le sujet de plusieurs disputes entre eux, sans compter sur leur divergence d'opinion sur les enfants. Pourtant, Cathleen revenait toujours vers le jeune homme. Encore et toujours. C'était ainsi. L'amour l'aveuglait peut-être. Sans doute. Pourtant, elle ne pouvait faire autrement. Elle l'aimait tellement. Peut-être trop.

You betray me like never before ∾ Cathleen soupira légèrement en insérant dans la serrure sa clef afin de pouvoir enfin rentrer chez elle. Retrouvez son chez-soi était une sensation bien plaisante après une journée de travail. Pas que son job était une chose pénible, elle adorait totalement travailler au ranch familial avec les chevaux, des animaux si tendres selon elle. Mais savoir que son fiancé l'attendait déjà à l'appartement était une raison suffisante à préférer son appartement selon la jeune femme. L'amour comptait plus que tout en quelques sortes. Reprenant son sac à main qu'elle avait précédemment posé par terre, elle franchit la porte, entrant. Elle eut alors directement le réflexe de déposer le sac en plastique qui contenait ses bottes de cheval pas tellement propres dans un coin du meuble avant de déposer ses clefs dans la petite corbeille prévue à cet effet. « Je suis rentrée ! » dit-elle alors à voix haute. Pas de réponse. Etrange. Elle savait qu'elle n'aurait du revenir que dans une heure mais tout de même. Par un miracle, elle avait réussi à terminer toutes ses tâches en avance au ranch et un de ses cours s'était désisté pour cause de maladie. Une aubaine pour elle, en quelques sortes. Néanmoins, elle aurait aimé que Mathias soit là à son retour. Pourtant, elle était certaine qu'il quittait bien plus tôt qu'elle normalement en ce jour. Oui, elle en était même sûre. Pourtant, aucun bruit dans l'appartement ne venait confirmer le vide de présence humaine. Cathleen soupira doucement. Où était-il encore ? Elle n'en savait rien. Peut-être qu'il avait eu du retard avec ses cours, qui sait ? Elle retira ses propres chaussures, des ballerines, d'un geste rapide et méticuleux, les abandonnant dans l'entrée. Le salon était baigné d'une douce lumière de fin d'après midi. Son regard fut de suite attiré par la veste de son fiancé. Si elle était ici, il n'y avait aucune raison pour qu'il soit ailleurs, lui. Alors dans une dernière tentative, elle prononça. « Mathias, tu es là ? » C'est à ce moment-ci qu'elle entendit un bruit venu de la chambre. Elle sourit inconsciemment, elle savait bien qu'il était ici. Peut-être était-il épuisé et avait-il voulu faire une sieste ? Alors d'un pas un peu trop guilleret, la jeune femme se dirigea vers la pièce conjugale. L'ouvrant, elle s’engouffra dedans. Pourtant à la seconde où ses yeux se posèrent sur le lit, elle se stoppa automatiquement. C'était comme si le ciel lui tombait sur la tête. Ses idées s'entremêlèrent pour ensuite se geler totalement. La vision qu'elle avait lui en fit presque perdre les bras. C'était pas possible. Non. La seule réaction qu'elle put avoir en découvrant son fiancé dans les bras d'un autre. Oui, un autre et pas une autre. Elle se retourna pour ensuite claquer la porte. « Oh, mon dieu. Ce n'est pas possible, non, non. » répétait-elle alors, faisant presque les cent pas dans le salon. Comment avait-il osé lui faire ça ? Ils allaient se marier ! C'était impensable, inimaginable. Elle avait l'impression d'être dans une tempête sans nom. Tout son monde s'écroulait presque. C'était une sensation qui la prenait aux tripes, lui donnant presque envie de vomir. Réellement. A vrai dire, elle n'entendit même pas, son fiancé la rejoindre. Non, même pas. Elle ne voulait pas entendre, elle ne voulait pas lui parler, elle ne voulait pas entendre ses explications. Il n'y avait rien à dire. Il l'avait trompé. Etait-ce la première fois ? Etait-elle si idiote dans cette histoire ? Son manque de douceur, son instabilité.. Et s'il réservait ça pour une autre, ou même.. Un autre. Toutes ses certitudes étaient rudement mises à mal. Ainsi, n'écoutant même pas si Mathias tentait de s'expliquer, elle se retourna vers lui et pointa un doigt, presque menaçant vers lui. « Comment as-tu pu Mathias ?! Comment ?! Ca dure depuis combien de temps ce petit jeu-là ? C'était la première fois ? Je suis vraiment une idiote de croire, que cela pourrait marcher entre nous ! Après tout, peut-être que j'aurais du prévoir tout ça. Ton manque de douceur, tes crises de colère, ton manque de tact parfois...  » énuméra-t-elle alors, sans lui laisser le temps d'en placer une. « Tout concorde maintenant. Tu me dégoutes, Mathias. On allait se marier. Tu m'avais demandé en mariage, devant mes parents. Tu te souviens au moins de ça hein ?! Parce que tu vois, je crois que tu peux faire une croix dessus. Réellement. » Déposant alors l'anneau qui promettait une union prochaine, elle se dirigea bien vite vers l'entrée où elle récupéra bien vite son sac, sa veste et mit ses ballerines rapidement. Elle ne voulait pas pleurer pour lui. Elle ne le voulait plus. Il ne méritait plus ses larmes. Il lui faisait tellement de mal, portant, elle sentait au fond d'elle, que tout ça ne durerait pas. Elle l'aimait tellement que les souffrances infligées passaient presque pour des choses illusoires. Pourtant, cette fois-ci, elle était décidée à le quitter. Elle avait mal, comme jamais. Comment avait-il osé ? Sans se retourner vers un Mathias qui devait déjà sans doute tenter le tout pour le tout pour la faire rester, restant sourde à ses paroles, la jeune femme claqua la porte de leur appartement. Pour de bon ? Ca seul le temps le dira. Car, Cathleen savait très bien qu'au fond d'elle-même, elle l'aimait tellement qu'elle pourrait tout accepter de lui. Même une tromperie, une coucherie avec un autre homme. Oui tout. C'était peut-être malheureux, comme diraient certains, mais elle était ainsi. Elle ne pouvait faire autrement. L'amour rend aveugle non ? C'est peut-être pour ça que deux jours plus tard, elle remettait avec douceur l'anneau à son majeur avant de l'embrasser. Pour combien de temps ? Elle ne le savait pas. Tout ce qu'elle savait c'était qu'elle l'aimait. C'était suffisant non ?

I'm a fool for you ∾ La jeune femme faisait les cent pas dans le salon de la demeure maritale. Depuis combien de temps le faisait-elle d'ailleurs ? elle ne saurait le dire et à vrai dire, peut importait. elle avait trop les nerfs en pelote pour réfléchir à ce genre de questions futiles. d'ailleurs, elle n'avait même pas réussi à se poser quelque part pour lire un lire ou regarder la télévision. non, seul faire les cent pas dans le salon pouvait tempérer un peu son angoisse, son appréhension disons. Après tout, ce n'était pas tous les jours que l'on prenait ce genre de nouvelles. Vraiment pas. et puis, pourquoi d'ailleurs était-elle aussi anxieuse ? il n'y avait pas de raison de l'être non ? Elle était heureuse. Oh ça oui, elle l'était. Un nouvel espoir se profilait dans son couple. Mais qu'en serait-il pour Mathias franchement ? Et c'est ça qui l'effrayait : sa réaction. Après tout, la majorité des hommes étaient on ne peut plus heureux et partageaient la nouvelle avec leur femme avec un énorme bonheur accroché directement sur les lèvres. Mais était-ce réellement comme ça qu'il réagira ? Elle ne savait pas. les possibilités de refus la rendaient presque folle. Après tout, d'un certain côté, il lui avait de nombreuses fois répété qu'il ne voulait pas d'enfant, déclenchant entre eux de véritables disputes. Oui, c'était plus que certain qu'elle appréhendait. Plus les minutes passaient et plus, elle avait l'impression de basculer dans la folie des questions sans réponse. Quand se décidera-t-à enfin prendre une décision ? D'un certain côté, elle préférerait repousser la décision fatidique à plus tard, ou du moins le plus tard possible. Car même si elle avait révisé un petit discours, elle savait très bien que c'était forcément ce qu'elle n'allait pas dire. On ne dit jamais ce qu'on avait prévu de dire. Les circonstances font toujours qu'on en est incapable ou tout simplement parce qu'un événement ou personne a tout bouleversé. La jeune femme soupira une énième fois avant de pouvoir enfin s'asseoir sur le canapé du salon. Il fallait pourtant qu'elle se décide. Elle ne pourrait pas définitivement attendre.  Après tout, une annonce comme ça, devrait les remplir de joie, le remplir de joie. C'était dans l'ordre d'une vie non ? Après le mariage vint les enfants non ? D'un certain côté, cet enfant à venir était un peu tout l'espoir que Cathleen mettait dans son couple. Ce dernier partait à la dérive. Ou du moins, dans une direction bien moins incertaine. Elle l'aimait mais elle voyait bien aussi que s'ils continuaient ainsi. Elle allait devenir chèvre. D'ailleurs, c'était pour cette raison qu'elle ne l'avait pas suivi à Marple Spring. Leur couple était en crise, c'était un fait qu'elle ne pouvait décemment pas oublier. Néanmoins, chaque seconde, depuis la découverte de sa grossesse, Cathleen espérait que ce bébé à venir serait leur salut, qu'il unirait leur couple comme jamais. Peut être que par un miracle, Mathias se découvrirait un instinct paternel, malgré tous ses dires sur les enfants. Leur relation s'épanouirait comme jamais. Oui, elle l'espérait telle la petite naïve qu'elle était. D'ailleurs, une idée de divorce n'avait jamais traversé son esprit, malgré la tromperie découverte, il y a quelques mois de cela. Elle aimait son mari, peut-être trop, et elle n'était pas prête à le laisser partir. Pourtant, elle souffrait de son comportement, c'était un fait avéré, mais elle espérait encore et encore. Après tout, cet enfant était inattendu mais sonnait comme un miracle aux oreilles de la jeune femme. Il est vrai qu'ils n'avaient pas réellement été voulu, Mathias lui avait fait comprendre de nombreuses fois, mais peut-être que tout s'effacerait pour ne laisser que le meilleur non ? Qui sait réellement hein ? Elle se sentait tellement seule, ici dans ce grand appartement vide. Elle l'aimait tellement. Elle avait besoin de lui, autant que l'enfant à venir en fait. Elle n'avait pas besoin d'autre chose, juste lui. Sentir ses bras autour d'elle était la meilleure sensation qu'elle pouvait ressentir. Ses bras comme sculptés dans du marbre lui procurait sécurité, et amour. Elle avait besoin de ça à vrai dire. Réellement. Pourtant, il était loin d'ici, parti depuis bien trop longtemps au gout de la jeune femme. Pourtant, elle aurait pu l'accompagner. Vraiment. Mais la folie l'avait guetté. Ou du moins la crise de nerf. Effectivement, vivre avec Mathias n'était pas un parcours de santé comme on pourrait le croire. Cela prenait de l'énergie. Il n'était pas comme tous les autres hommes. Non. C'était peut-être bien pour ça que Cathleen l'aimait tellement. Mais son instabilité, l'usait tellement, ainsi que leur propre couple. Ainsi le laisser partir, avait été comme une libération pour la jeune femme. Une libération qui maintenant l'entravait. Elle le rejoindre. Oui, elle le devait. Une petite surprise ne ferait pas de mal non ? Surtout à la vue de la bonne nouvelle qu'elle attendait non ?

PSEUDO/PRÉNOM + Butterfly Effect. PAYS/REGION + France. ÂGE + Dix-huit ans. COMMENT T'ES ARRIVÉ JUSQUE LA ? + Grâce à Facebook, il me semble mais j'avais déjà zieuté le forum il y a quelques temps. QUE PENSES-TU DU FORUM ? + Il a l'air tellement bien, merveilleux, magnifique. PARLE-NOUS DE TOI + Heu bah je crois que ce qui est dit plus haut en dit assez long sur moi. Après je peux dire que ma petite particularité, c'est que j'adore les crackships (non mais limite plus que les réels OTP des séries). Je sais je sais. Vous aussi vous pensez à Sterek, Scisaac, et autres non ? Ah aussi accessoirement, Teen Wolf est limite ma religion. CÉLÉBRITÉ LOUÉE + WFT ? PERSONNAGE INVENTÉ SCÉNARIO OU PV ? + Merveilleux scénario de H. Matthias Sherwood.
fiche créée par © Summers & Rinema


Dernière édition par Cathleen R. Kingsown le Lun 6 Juil - 16:07, édité 17 fois
Revenir en haut Aller en bas

Invité
avatar
Invité

When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] Empty
Message When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] › Ven 3 Juil - 21:38
Bienvenue ma belle :bave: Si tu as la moindre question à propos du scénario viens me harceler, je me ferais un plaisir de te répondre :79: :81:
Revenir en haut Aller en bas

Invité
avatar
Invité

When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] Empty
Message When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] › Ven 3 Juil - 21:45
Bienvenue à toi & bonne chance pour ta fiche, excellent choix de scénario ♥ ; si tu as la moindre question ou demande n'hésite pas le staff est là pour toi !
Revenir en haut Aller en bas

Invité
avatar
Invité

When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] Empty
Message When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] › Ven 3 Juil - 22:00
Crystal :bave:
Bienvenue ! Même si on va pas être très potes toi et moi puisque c'est dans mes projets de te piquer ton mec < Mode Xénosis activate.
Bon courage pour ta fiche ♥️
Revenir en haut Aller en bas

Invité
avatar
Invité

When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] Empty
Message When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] › Ven 3 Juil - 22:02
Merci vous trois. :canard: Et ne t'inquiètes pas Matthias, je crois que je trouverais très vite le chemin de ta boite à MP pour venir te harceler. When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] 3854447438
+ Kyle, on verra, on verra. :mdr:
Revenir en haut Aller en bas

Invité
avatar
Invité

When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] Empty
Message When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] › Ven 3 Juil - 22:03
Tu peux rien faire contre Sterek baby ♥️ Et puis dans tout les cas.. mode Xénosis activate 2.0 This is war When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] 3040498725
Revenir en haut Aller en bas

Invité
avatar
Invité

When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] Empty
Message When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] › Ven 3 Juil - 22:06
Own. :94: Sterek. :bave: My feels. :canard: J'avais pas vu ça. :mdr: Bon alors, la créatrice vous érige déjà un temple à votre effigie.:44:
Ensuite, Cathleen va vite prendre les armes elle aussi. When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] 2791990870 Quoi que.. Il y a encore la soeur. :110:
Revenir en haut Aller en bas

Invité
avatar
Invité

When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] Empty
Message When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] › Ven 3 Juil - 22:07
Oh, toi et moi on va bien s'entendre crois moi :mdr:
Elle oserait prendre les armes contre un psychopathe ? :14:
Revenir en haut Aller en bas

Invité
avatar
Invité

When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] Empty
Message When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] › Ven 3 Juil - 22:11
Non mais ça suffit vous deux oO Kyle, Cath est enceinte tu vas donc éviter de la tuer, sinon, pas de sexe oO

Cath' tu gardes tes mains pour mon corps musclé, sinon, ben pas de sexe oO
Revenir en haut Aller en bas

Invité
avatar
Invité

When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] Empty
Message When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] › Ven 3 Juil - 22:12
Oh mais j'espère bien. :94:
Hum... T'as pas le droit de la taper de toute façon, c'est une femme enceinte. :40: When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] 3854447438

+ Mathias : On a rien fait. When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] 3854447438 C'est lui qui a commencé. :96:
Hum ça reste négociable. :23:
Revenir en haut Aller en bas

Invité
avatar
Invité

When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] Empty
Message When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] › Ven 3 Juil - 22:13
Heyo' Mathias, tu crois que Thomas va laisser des filles approcher les personnes qu'il considère comme sa propriété ? Ehe, no time. Comme dans la musique des Imagine Dragons.
Cathleen, j'vais venir te voir avec mon psychopathe tu vas voir s'il va pas la taper, enceinte ou pas :zinzin:

Allez j'arrête de flooder et je retourne à mon RP moi :40:
Revenir en haut Aller en bas

Invité
avatar
Invité

When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] Empty
Message When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] › Ven 3 Juil - 22:43
Bienvenue sur MS ma belle ♥
Revenir en haut Aller en bas

Invité
avatar
Invité

When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] Empty
Message When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] › Ven 3 Juil - 23:33
Welcome :)
Revenir en haut Aller en bas

Invité
avatar
Invité

When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] Empty
Message When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] › Ven 3 Juil - 23:36
Bienvenue parmi nous ;)
Revenir en haut Aller en bas

Invité
avatar
Invité

When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] Empty
Message When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] › Sam 4 Juil - 0:27
Bienvenue :94:
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé

When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] Empty
Message When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen] ›
Revenir en haut Aller en bas
 
When you turn off the light, I get stars in my eyes, so don't turn the light. [Cathleen]
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant
 Sujets similaires
-
» ☽ a look in somebody's eyes to light up the skies (elaine)
» It's ur turn [Holly]
» I am just me... dont judge me
» You're the light, you're the night, you're my everything.
» Bliss ○○ Claim that light ~

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Marple Spring  ::  :: Fiches de présentations-
Sauter vers: