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Message « Il n'y a point de hasard. » › Mar 19 Mai - 0:22

Poésie & Alessandro
De tendres souvenirs heureux. Des souvenirs si lointain, trop lointain. J'aimerais dire que je ne m'en souviens pas, qu'ils ne me hantent pas nuits et jours... Si seulement cela pouvait être vrai. Si seulement je pouvais oublier. Un rêve que je chéris depuis bien trop longtemps à présent pour continuer à me voiler la face. Des souvenirs aussi joyeux que douloureux me reviennent lentement tandis que je me tiens, là, debout, seule. La solitude. Ma plus fidèle compagne. Celle qui me pèse, celle que je veux repousser et pourtant me console en silence. Mon coeur se serre, mes yeux me piquent et une fois encore, je sais que je ne pourrais retenir mes larmes. A chaque fois, la fin est la même. Je m'effondre, accroupis devant cette pierre parmi tant d'autres et les larmes m'échappent. Je pleure, secouée par des sanglots silencieux pendant une durée qui me semble éternelle et pourtant qui reste des moindres. Je tente de me calmer tout en essuyant les torrents qui s'écoulent de mes yeux et me relève, faible. L'image que je tente de renvoyer depuis cette succession d'horreur ne cesse de se briser comme le reste de mon être. Je ne supporte plus cette vie. Je veux reprendre le dessus une fois pour toute, reprendre le contrôle et enfin pouvoir faire face à ceux qui m'entourent. Le chemin sera long et douloureux, mais je veux faire de mon mieux. Comme pour me mettre à l'épreuve le vent se lève, l'espace d'un instant, soulevant ma longue chevelure chocolat. Dans une dernière pensée pour celle qui m'a quitté bien trop tôt, je me retourne et sors de ce lieu digne des films d'horreurs.

A la sortie du cimetière, je réordonne brièvement mes cheveux et me mêle discrètement au peu de personnes qui se promènent sur le trottoir. Mon coeur se serre à chacun de mes pas et mon malaise semble stagner. Finalement, je m'arrête de nouveau à l'intersection de deux quartiers. J'hésite un instant. Je ne veux pas rentrer. Je ne veux pas ressentir cette solitude, pas maintenant. Si bien que je prends la direction opposée. Mais, pour aller où? Je me contente de marcher. Je pense à ceux qui me sont proches, ceux auprès de qui je voudrais être et auprès de qui je me sens à l'aise. Mais, finalement, je décide de juste marcher. Tous doivent être occupés et je ne veux pas les déranger. Instinctivement, je sors mes écouteurs, mon téléphone et lance aussitôt la première musique de ma playlists. Les mélodies s'enchaînent, apaisant ma crainte en présence de temps d'inconnus. Hélas, le destin décide de me tester de nouveau. Changeant de musique, je remarque que ma batterie ne va pas tarder à me lâcher. A contre-coeur, j'abandonne mon calmant et continue un instant ma promenade jusqu'au parc principal de Marple Spring.

Le parc n'est pas aussi remplit que je pensais, apaisant mes craintes au passage. J'ose relever légèrement le regard sans pour autant oser croiser celui des autres. Je reste fuyante, craintive comme à mon habitude. Je m'arrête, parfois, devant les musiciens qui font une performance et dépose un petit quelque chose dans leur étui. Je me demande si un jour j'aurais le courage de me tenir à leur place, de faire face à autant de personnes. Je me laisse emporter par leur douce mélodie jusqu'à ce que trop de personnes se sont attroupés et je reprend ma marche. Les yeux rivés sur le sol pour ne pas croiser le regard des êtres trop près de moi, je ne vois pas la personne qui passe juste derrière moi à cet instant. Je le bouscule et instinctivement, je lève les yeux, croisant le regard de cet inconnu. Un regard bleu-gris aussi bouleversant que transperçant. Immédiatement, je détourne le regard et mon visage prend une teinte rosée tandis que le malaise me gagne. « Excusez-moi, je ne regardais pas où je mettais les pieds. » Je prononce ces mots d'une voix timide presque confuse, déchirée entre l'idée de fuir ou celui de rester figée. Cependant, mon corps et mon esprit ne semblent pas être en accord sur cette décision.

683 mots & 51 lignes complètes. Fiche créée par © Summers & Rinema
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Message « Il n'y a point de hasard. » › Mar 19 Mai - 15:22
Aless' ∞ Poé'
Il n'y a point de hasard ♥


Jour de congé, il était grand temps, ce n'est pas peu dire mais en ce moment je suis constamment en train de bossé sans même me rendre compte du temps que je passe à l'hôpital, bien sûr, la chirurgie est ma plus grande passion dans la vie et je n'imagine plus ma vie sans l'hôpital et toutes ces personnes atteintes de bien différentes maladies qui ont besoin de moi ainsi que de mes talents de chirurgien, c'est délicat comme métier, il faut savoir faire attention à ce que l'on fait et surtout aux patients qui comptent réellement sur nous alors qu'ils vivent quelque chose de très difficile : une maladie qui risquera tôt ou tard de les emmenés vers ce que l'on appelle " un monde meilleur ". Mes parents sont probablement dans ce fameux monde que l'on appelle meilleur, du moins c'est tout ce que je leur souhaite, ils étaient des personnes fantastiques qui m'ont apporté tout ce dont j'avais besoin durant ma plus tendre enfance, malgré leur disparition précipitée de ma vie je m'ose à espéré que là où ils se trouvent ils sont fiers de moi et de l'homme que je suis devenu, oui, pour moi c'est tout ce qui compte, leurs avis sur ma personne est primordial, mais fort malheureusement jamais ils ne pourront me le dire. A cette pensée je grimace tandis que je quitte l'hôpital, je suis en weekend, on m'a offert deux jours de répit et j'ignore encore ce que je ferais pendant ces deux beaux jours, il y a encore quelques temps de cela je serais aller en boîte de nuit ou encore dans un bar afin de rencontré de belles demoiselles qui accepteraient de passé une nuit en ma compagnie mais à l'heure actuelle j'ai changé et souhaite absolument rencontré une femme, non mieux LA femme avec laquelle je passerai le restant de mes jours pour moi c'est justement ça qui compte la trouvée et ne plus m'encombrer de ces plans d'un soir qui ne me serve à rien. Je souris en pensant à tout ceci tandis que je me balade dans la rue, la foule est nombreuse aujourd'hui et je me retrouve bousculée par une petite demoiselle qui me fixe longuement, rougit et s'excuse ensuite, je lui affiche un grand sourire. « Pas de problèmes mademoiselle. » Elle est sublime vraiment sublime et je sais que pensé comme ça n'est certainement pas une bonne idée en vue de mes projets d'avenir mais je suis persuadé d'avoir déjà vu cette charmante brune quelque part, où je l'ignore encore mais je m'ose à croire que je ne me trompe pas. « Ma question va vous paraître probablement très étrange mais, on s'est déjà croisé quelque part, non ? » A ses mots j'affiche un petit sourire gêné et la fixe longuement afin d'essayer de me rappeler où j'ai bien pu croisé cette femme magnifique...

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Message « Il n'y a point de hasard. » › Mar 19 Mai - 16:39

Poésie & Alessandro
Une journée ensoleillée, emplit de surprises, de peurs et de larmes. Voilà les mots pour décrire celle-ci. Je passe la matinée devant la pierre tombale d'une mère qui m'a été arraché à un moment où j'avais d'autan plus besoin de sa présence à ces côtés. Je pleure, encore et encore, effondrée dans sa tombe. Je me rappelle nos souvenirs heureux, mais aussi ceux qui le sont moins. Nos premières prises de tête, nos adieux. Plus que tout, je me rappelle mes regrets et ils me hantent encore tandis que je fuis ce lieu qui me donne froid dans le dos. Non sans appréhension, je me mêle lentement à la foule qui profite du beau temps pour parcourir la ville. Malgré tout, les rues restent incroyablement calme. Mon coeur se serre et pourtant, je ne ressens pas cette envie de courir m'enfermer dans mon loft. Bien au contraire, je veux sentir l'air frais remplir mes poumons, la présence rassurante des personnes qui me sont proches à mes côtés. Je ne veux pas de cette douce solitude qui me hante et me tient compagnie bien trop souvent depuis plusieurs années à présent. Aussi, je décide de prendre le chemin du parc.

Le coeur serré, le malaise attendant le moment parfait pour se faire sentir, je marche avec prudence. Le parc est étrangement calme, assez calme pour que je ne bouscule personne malgré mon regard rivé vers le sol. Finalement, diverses mélodies attisent mon intérêt et ma curiosité. Je m'arrête, rêveuse dans plusieurs musiciens qui partagent leur talent. Je m'interroge sur le peu de courage dont je possède et rêve, une fois encore me tenir à la place de l'un d'entre eux. Supporter tous ces regards tandis que ma mélodie aux teintes mélancoliques s'élèvent dans les airs. Je ne serais sans doute jamais capable d'un tel exploit... Dans une profonde inspiration, je tente de me détourner de cette foule qui se forme autour des musiciens. Hélas, la maladroite que je suis rentre dans quelqu'un. Dans un geste instinctif, je croise les yeux de cet inconnu et le regrette immédiatement. Mes joues prennent une teinte rosée, mon coeur accélère et mon malaise me gagne à une vitesse fulgurante. Malgré tout, je reste plantée là. Mon corps refusant d'obéir aux ordres de mon cerveau qui lui criait de fuir.

Mon coeur s'apaise légèrement lorsque le grand brun m'assure qu'il n'y a rien de grave. Étrangement, je trouve son sourire sincère réconfortant et pour le moins troublant. Mais, ce qui me trouble bien plus encore reste la question qu'il me pose autant que son regard qu'il ne dégage pas de moi. Les battements de mon coeur résonne dans mon esprit. Je fuis son regard, mal à l'aise et reste un instant pensive. Est-ce que je l'ai déjà vu?! Je me souviendrais sans doute d'un tel regard, de cette sensation étrange si cela avait été le cas. Je ne sais quoi lui répondre tandis que son regard me fait rougir de plus belle. « Je ne pense pas. » Des mots prononcés d'une voix aussi délicate que timide. Je n'oublie jamais un visage et ce même si je le souhaite plus ardemment que n'importe quoi. Je ne me souvenais pas d'abord aperçus celui de cet inconnu dans le passé. Alors, pourquoi je continue à chercher ainsi dans ma mémoire? Peut-être pour masquer le fait que mon corps n'est toujours pas en accord avec mon esprit. Un esprit embrouillé par les martèlements de mon coeur qui y résonnent depuis ma maladresse.

L'espace d'un instant, j'ose croiser son regard océan. Après tout, comment être certaine de ne jamais l'avoir vu en le regardant quelques secondes uniquement. C'est impossible. Mais, plonger mes yeux dans ceux d'un autre m'est également impossible. Je ne sais dire si c'est parce que cela implique qu'il me regarde en retour ou bien que mon reflet y soit visible. De toute façon, je n'aime aucune de ces réponses. Je tente de réfléchir à nouveau, mais la présence de tant d'inconnus ne m'aide guère. Figée, je sens que de nouvelles personnes s'attroupent autour des musiciens que je souhaitais quitté un instant auparavant. Plus qu'auparavant, je veux fuir. Pour moi autant que pour les autres. Je dois gêner les autres à rester ainsi au milieu du chemin. D'ailleurs, je ne tarde pas à en avoir la preuve. Une personne me bouscule sur le côté. Je tente d'éviter de tomber à terre sans pour autant apporter une nouvelle bousculade à cet inconnu aux yeux bleus.

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Message « Il n'y a point de hasard. » › Ven 22 Mai - 16:33
Aless' ∞ Poé'
Il n'y a point de hasard ♥


Quitté l'hôpital une bonne fois pour toute sera probablement la meilleure chose que j'aurais faite en ce jour comme on peut s'en douté j'adore le métier que j'exerce mais depuis que j'ai commencé à le pratique je suis légèrement paumé dans ma tête, je ne sais pas je suis tout bonnement différent et un tant soit peu perdu depuis que j'ai commencé à changer à avoir des idées différentes dans ma tête, il y a encore quelques semaines de cela la seule chose que je souhaitais était de couché avec tout un tas de femmes tandis que maintenant je souhaite me posé avoir une vie de famille, me marié, avoir des enfants, toutes ces choses vous voyez ? A vingt-neuf ans vous me direz qu'il est normal de commencé à penser a toutes ces choses mais pourtant, dans l'idée, j'ai encore du mal à me convaincre moi-même que toutes ces fameuses choses sont également bonnes pour moi, après tout j'ai beau être un bel homme avec un certain caractère, une certaine mentalité je ne suis jamais tombé amoureux au cours de ma vie. La réalité des choses c'est ça je n'ai jamais eu de petites amies alors, autant je suis un coureur de jupons qui a un nombre impressionnant de femmes qui sont passées dans mes draps autant dans mon cœur il n'y en a jamais eu et ça voyez vous ça me frustre légèrement. Pourquoi est la question que je me pose car oui jusqu'à présent j'ai toujours été un homme très sûr de lui qui ne manquait jamais de rien dans sa vie et qui semblait comblé par toutes ces choses et pourtant lorsque je vois dans mon travail tous ces collègues, ces hommes, ces femmes qui sont mariés ou encore parents je ressens une certaine pointe de jalousie. Après tout, qui a-t-il de plus beau qu'une femme qui rentre à la maison le soir en te racontant sa journée ? Ou encore un petit enfant qui t'appelle " papa " pour la première fois tout en te serrant dans ses bras ? Je ne sais pas, tout ceci me donne envie, toutes ces choses me motive a devenir un homme différent, un homme meilleur et surtout une personne fiable vers laquelle on peut s'oser à se tourné si jamais on en ressentait le besoin, oui, à l'évidence cette vision que l'on pourrait avoir de moi me semble tout simplement parfaite et c'est exactement ça que je veux. A cette pensée j'affiche un grand sourire tandis qu'une petite demoiselle a bien failli trébuchée et se cogne contre moi, naturellement je la rattrape afin d'épargner les dégâts et la fixe longuement tandis qu'elle rougit puis s'excuse de toute évidence très mal à l'aise, en général ce style de rencontre est rapide et se termine par un " pas de soucis " et les deux personnes retournent à leurs occupations mais pas cette fois-là, je reconnais la demoiselle sans réellement savoir où j'ai bien pu la rencontrée et lui demande aussitôt si on ne se serait pas rencontrés auparavant, ma question semble la gênée mais elle y répond tout de même. « Très étrange..... Votre visage, vos yeux ne me sont pas inconnus, vraiment bizarre tout ceci. » Et mes paroles sont tout bonnement sincères mais ça bien sûr je ne me vois pas lui expliqué à la seconde, a elle de voir si elle peut me croire ou pas ou alors si elle me prend pour un foutu dragueur de rue qui cherchent juste à se tapée toutes les meufs qui passent. Je grimace à cette pensée tandis que nous restons pendant de longues minutes figés à nous fixés et probablement elle comme moi réfléchissons à cet endroit où nous nous sommes certainement rencontrés. Seulement voilà un homme la percute et a presque faillie la faire tombée mais je la rattrape une fois encore et la détaille longuement, ce geste ne m'a pas plu et je le fais savoir au principal concerné à savoir l'homme qui a failli la renversée par terre. « Hey, espèce d'abruti, ça t'arracherais la langue de dire pardon ou bien ? » Mais comme on peut s'en douté je n'ai reçu aucune réponse de la part de cet homme qui est partit au loin sans nous accordé ne serait-ce qu'un regard, je soupire longuement et fixe la petite brune qui semble légèrement mal à l'aise face à tout ceci. « Tout va bien, mademoiselle ? » Autant m'assurer qu'elle va bien, car là dans l'idée on ne croirait réellement pas que tout se passe bien pour elle bien au contraire elle semble terrorisé et c'est justement ça qui m'inquiète........

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Message « Il n'y a point de hasard. » › Ven 29 Mai - 17:53

Poésie & Alessandro

La musique résonne dans le parc, apaisant les battements désordonnés de mon coeur. Les notes s'élèvent et la douce mélodie imprègne les lieux. Je me laisse emporter l'espace d'un instant. Hélas, rapidement, mon mal être se fait de nouveau ressentir. Trop de monde, trop de personnes, trop de regard. Je frissonne, respire profondément et tente de me détourner des musiciens pour reprendre ma route. Je me fais bousculer et tel un domino, je bouscule à mon tour. L'inconnu me rattrape et je croise son regard océan. Un regard déconcertant que je n'oublierais pas de sitôt. Je détourne mon regard, me détachant de ce grand brun en m'excusant timidement et toujours aussi fuyante. La rencontre aurait pu se terminer ainsi. J'aurais pu suivre les indications que me hurlent mon cerveau, mais mon corps en décide autrement et je reste planté-là. L'homme dit, pensif, qu'il lui semble m'avoir déjà croisé. Je réfute l'idée, mais ne peut m'empêcher de chercher un peu plus encore dans les moindres recoins de mon esprit. Une nouvelle fois, je croise son regard tandis qu'il décrit la situation comme étant étrange. Il semble me connaître, ou du moins m'avoir aperçu auparavant. Mon coeur accélère de plus belle, mon visage prend une teinte rosée et je commence à tortiller mes cheveux. Je tente de réfléchir encore et encore, mais la moindre de mes pensées semblent s'évaporer, consumer par la panique qui me gagne au fur et à mesure que le nombre de personne grandit. Je me fige. Je veux fuir, courire et me réfugier dans la sécurité de la solitude.

Une nouvelle bousculade affirme que mon sur-place gêne les passants. Je tente de reprendre l'équilibre, sans gêner une fois encore le grand brun aux yeux bleus, sans grande réussite. Il me rattrape au vol, une fois encore et mon coeur bat de plus belle, résonnant à présent dans mon esprit. L'air me manque, je reste immobile, paniquée. Je sursaute, surprise par les paroles de l'inconnu qui s'élèvent à mes côtés contre l'être qui m'a bousculé, mais aucune ne lui parvient ou si c'est le cas, les battements de mon coeur m'empêchent clairement de l'entendre. Pourquoi a-t-il fallut que je devienne comme ça?! Pourquoi mon passé me hante t-il de cette manière?! Pourquoi m'a-t-il fait ça?! Je me laisse emporter et concentre mon énergie sur ma respiration saccadée. « Trop de monde... » Trois mots, trois unique mots qui réussissent à passer mes lèvres lorsque l'homme m'interroge. Je suis complètement tétanisée. Mon esprit ne pense qu'à fuir. Je tente de garder pieds, de ne pas sombrer.
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Message « Il n'y a point de hasard. » › Dim 31 Mai - 9:55
Aless' ∞ Poé'
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Tandis que je rencontre par hasard une petite demoiselle aux cheveux bruns qui est tout bonnement magnifique elle me bouscule involontairement, la rencontre aurait du se terminée ainsi mais non je suis persuadé d'avoir déjà vu cette parfaite brune quelque part, où je l'ignore pour le moment mais j'en suis sûr je l'ai déjà vu par le passé, en même temps c'est difficile de ne pas voir plusieurs fois la même personne dans une si petite ville qu'est Marple Spring, après tout ici, dans cette somptueuse ville tout le monde se connait ou s'est déjà croisé au moins une fois, de ce fait revoir des personnes par hasard c'est très simple, non ? Je pourrais me convaincre que j'ai déjà croisé cette sublime brune dans la rue une fois dans la rue mais non je suis sûr et certain de l'avoir vu dans d'autres occasions et cette simple certitude me fais grimacé légèrement, je n'aime pas ça ne pas me rappelé des choses et justement aujourd'hui je suis perdu dans mes pensées face à cette jeune femme qui tente tant bien que mal de ne pas me regardé dans les yeux, elle doit être timide ou quelque chose du genre je pense car en vue du fait est qu'elle rougie comme pas deux ça me paraît évident. A cette pensée j'acquiesce et reporte mon attention sur ma brune qui se fait bousculé par un homme de toute évidence pressé, je l'engueule rapidement mais le gros con ne se retourne même pas comme s'il avait mieux à faire de moi et de cette jeune fille qu'il a bousculé il y a quelques instants, je déteste ce genre de personnes impolies qui n'ont même pas la décence de s'excuser lorsqu'ils font quelque chose de ce genre, oui, rares sont les fois où je m'énerve mais sur ce coup ci ça ne m'a vraiment pas plu et de toute évidence l'homme s'en est rendu compte et a préféré se barré aussi vite que possible au lieu de me défié. C'est mieux ainsi, pensais-je, a cette pensée je grimace légèrement tandis que la jeune femme se retire de notre " étreinte " car oui lorsqu'il l'a bousculée je l'ai rattrapée et elle s'est retrouvée collé contre moi d'une certaine manière afin de ne pas tombé par terre, étant un gentleman dans la vie de tous les jours je n'aurai pas eu envie de la laissée tombé comme ça de ce fait autant la protégée pendant quelques instants bien que de toute évidence je ne la connaisse pas. Me mordant légèrement la lèvre a cette pensée je remarque tout de suite qu'il se passe quelque chose, que ma petite brune ne se sent pas bien et elle fini par m'expliquer ce qu'il lui arrive, je grimace en entendant ses paroles, cette demoiselle est agoraphobe... « Venez avec moi on va aller dans ce restaurant on va se posé et vous allez manger et boire quelque chose mademoiselle, ça ira mieux ensuite, d'accord ? » Sans même attendre sa réponse je l'attrape doucement par le bras et l'emmène avec moi dans le restaurant où il n'y a tout simplement personne, j'affiche un grand sourire tandis que le serveur vient vers nous et me demande si c'est effectivement pour deux, j'acquiesce en guise de réponse et m'assois sur l'une des chaises en face de ma brune la détaillant longuement, faut dire elle m'inquiète quelque peu de ce fait la voir dans cet état ne me plaît guère. « Comment vous sentez vous mademoiselle ? Sachez d'ors et déjà que je ne vous veux pas le moindre mal et que je vous protègerai lors de cette journée. » Des paroles de parfait séducteur je sais mais pour l'occasion je n'ai aucunement l'envie de la séduire, non plutôt de la protégée de sa peur qui est aussi grande que l'on puisse l'imaginé.

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Message « Il n'y a point de hasard. » › Dim 31 Mai - 12:20

Poésie & Alessandro

Le parc. De la musique. Rien qui au premier abord peut entraîner autant de malaises et de terreur en si peu de temps. Pourtant, rien ne se déroule tels que je l'aurais souhaité. Alors que je tente de fuir cette foule qui s'amasse autour des musiciens, je bouscule un homme brun au regard océan. Je m'excuse auprès de lui, le regard toujours aussi fuyant. La rencontre aurait pu et aurait certainement dû se finir ainsi, mais il en fut autrement. Il dit m'avoir déjà rencontré ou plutôt qu'il le pense fortement. Je réfute tout d'abord cette idée, mais l'hypothèse du contraire s'impose dans mon esprit à l'instant où je plonge brièvement mon regard dans le sien. Comment pourrais-je en être certaine si je ne regarde jamais vraiment et pleinement le regard de ceux qui m'entoure? Je continue d'y penser tandis qu'une nouvelle bousculade a lieu. L'inconnu me rattrape inextrémiste. Me serrant un instant contre lui. A ce contact, mon coeur s'accélère comme un fou et pour une raison inconnue, je me sens obligée de retenir ma respiration. Je sursaute légèrement lorsque le grand brun aux yeux bleus réplique à celui qui m'a bousculé avant de lâcher son emprise sur moi. Mon coeur s'accélère de plus belle et mon malaise grandit de manière excessive. Ma respiration se fait faible et mon esprit ne pense qu'à fuir tandis que je garde le peu de force qu'il me reste pour rester debout. Dans le bruit de mon esprit, j'entends l'inconnu me demander si je vais bien. Ma réponse est simple, concrète et en trois petits mots. Il y a trop de monde autour de moi, trop de regard, trop de bousculade.

Je peine à respirer, à rester consciente au milieu de toute cette foule qui grandit un peu plus à chaque instant. Pourquoi a-t-il fallu que je tourne en direction de ce parc? Lorsque l'inconnu me propose de se poser, de s'éloigner, je ne peux qu'acquiescer. Je le laisse me guider jusqu'au restaurant de son choix sans la moindre résistance. Je n'ai pas assez de force pour répliquer quoique ce soit de toute manière et la présence de cet inconnu me semble étrangement réconfortante dans toute cette panique. Le lieu est presque vide, apaisant ainsi mon esprit autant que mon coeur. Ma respiration se fait plus calme tandis que les paroles de "mon sauveur" me surprennent au plus haut point. Puis-je les croire? Je n'ai pas la force de pousser cette méfiance. « Poésie, appelez-moi Poésie. » Les présentations, c'est un bon début non? Je n'ai rien contre les "mademoiselle", cela un peut-être même un côté flatteur quant on y pense, mais cette appellation a tendance à me mettre quelque peu mal à l'aise. « Je vais mieux, merci pour votre aide. » Je ne sais que dire de plus à cet instant-là et c'est le moment que choisit le serveur pour nous apporter les menus. Je le remercie timidement et dépose le menu devant moi.
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Message « Il n'y a point de hasard. » › Lun 1 Juin - 10:03
Aless' ∞ Poé'
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Cette charmante brune semble réellement secouée par les évènements et ça me fais de la peine pour elle car elle semble vraiment sympathique mais non les gens de nos jours ne s'attardent pas aux autres et préfèrent les bousculés plus ou moins agressivement comme l'autre imbécile l'a fait il y a encore quelques instants, ce genre de personnes me dégoûte au plus haut point et je pèse mes mots croyez le ou non, réellement je n'aime pas la brutalité, la violence, les gens comme ça j'aime les connaître ni leur parlés, quand je suis à l'hôpital et que je me retrouvé à soigné des gens qui ont été blessés parce qu'ils se sont battus je me retiens de leur faire des commentaires déjà parce que ce n'est pas mon rôle mais ensuite parce que ceux ci ne seront sans aucun doute pas du tout agréables à entendre, de ce fait il vaut mieux se taire et passé à autre chose, faire son job et faire sa bouche le temps de terminé notre tache et donc que la personne violente rentre chez elle afin que l'on puisse se vidé la tête. C'est ma manière de faire, sans doute pas la meilleure mais au moins grâce à mon calme naturel je reste posé et tranquille sans jamais me prendre la tête avec des petites choses sans réelles importances, c'est une bonne chose, non ? A cette pensée j'acquiesce et me félicite intérieurement de réagir de la sore ce qui n'est malheureusement pas le cas de tout le monde, moi, fort heureusement, je suis une personne normale, tout ce qu'il y a des plus normale, je suis un homme calme et détendu qui ne se prend pas la tête, c'est vrai quoi, la vie est trop courte pour que l'on se prenne la tête avec des banalités alors je vis au jour le jour sans me retourné estimant que c'est la meilleure chose à faire et jusqu'à présent je m'en suis toujours très bien sortit comme ça de ce fait je suis heureux, souriant et vraiment en bonne santé, non, à l'évidence, je ne manque réellement de rien mis à part, bien sûr, de la femme de ma vie, celle avec laquelle je ferai ma vie, aurait des enfants et penserait à des projets d'avenir, oui, cette fameuse femme je l'attends avec impatience, je rêve d'apprendre à la connaître, de goûté à ses douces lèvres, de lui caressée la joue.... Malheureusement pour le moment cette femme n'existe que dans mes rêves et je ne crois pas l'avoir encore croisée ce qui est bien triste, à cette pensée je grimace et reporte mon attention sur ma petite brune qui semble toujours sous le choc, je l'emmène donc dans un restaurant afin qu'elle se calme, à l'évidence la jolie femme semble agoraphobe de ce fait je préfère l'éloignée du public afin qu'elle n'ai pas une crise d'angoisse ou quelque chose de ce genre, je n'ai aucune envie de devoir la calmée alors qu'il y a des méthodes plus simples comme l'éloignée du monde afin qu'elle puisse se détendre. Une fois dans le restaurant je me surprend moi-même à découvrir que j'ai faim, je souris donc lorsqu'on nous propose une table bien isolée et voilà que ma sublime demoiselle se présente, j'acquiesce à ses paroles. « Vous avez un prénom unique Poésie, sachez que je m'appelle Alessandro et que je suis chirurgien, je vous aiderai si vous en ressentez le besoin, c'est mon travail après tout. » Et dans le fond j'en ai envie, je ne sais pas pourquoi mais je suis comme attiré par cette splendide Poésie et je ne peut détourné mon regard de son beau visage, je la fixe longuement, la détaillant également, me délectant de sa beauté car oui elle est vraiment magnifique.... A cette pensée je souris alors qu'elle me remercie pour mon aide attrapant au passage l'un des menus que le serveur nous tend, j'attrape le miens et souris au serveur alors qu'il s'éloigne. « C'est totalement normal, je n'allais pas vous laissez seule dans cette galère alors que vous vous sentiez mal et puis nous discutions. » Lui souriant une fois encore je regarde longuement la carte, c'est un restaurant italien, la meilleure cuisine qui soit de ce fait je pense opté pour une pizza ou alors un plat de pâtes italiennes, autant faire honneur comme il se doit au lieu, non ?

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Message « Il n'y a point de hasard. » › Mar 2 Juin - 19:54

Poésie & Alessandro

Je laisse cet inconnu me guider, sans la moindre résistance. Je veux fuir ce lieu de toute manière et le peux de force que je possède à cet instant même m'empêche d'avancer seule. Je ne sais pas pourquoi tout à dégénéré ainsi. Tout ce passait bien, j'arrivais même à discuter avec cet homme sans trop paniquer et tout à déraper. Je tente de garder mon calme, d'apaiser mon coeur et ma respiration en m'éloignant du parc. La mélodie des musiciens devient plus faible jusqu'à disparaître totalement. C'est à ce moment que je me concentre sur le grand brun qui me précède sans s'éloigner énormément de moi. Je m'interroge. Il dit m'avoir aperçu, mais nous en restons pas moins des étrangers. Aussi altruiste soit-il, je ne comprends pas pourquoi il m'aide ainsi. Rien ne l'oblige. Je n'aime pas spécialement être le centre d'attention et pour une raison qui m'est inconnue, le regard océan de cet homme me trouble plus encore que n'importe quel autre regard posé sur moi. Une pensée qui se mélange à bien d'autre tandis que je le suis dans un restaurant qui semble désert. Immédiatement, la distance avec la foule apaise mon coeur et la panique se dissipe lentement. Je ne suis pas agoraphobe, enfin presque... Sans doute. Je supporte la présence des autres, mais pas en masse, plus maintenant, plus depuis. Je seccoue la tête, place tout ça dans un coin de mon esprit et m'installe en face de mon "sauveur". Plus calme, je me présente, espérant ainsi qu'il délaisse les "mademoiselle" qui me mette tant mal à l'aise avant de le remercier. Je prends le menu que le serveur me tend et le dépose devant moi. Je rougis légèrement lorsqu'il souligne le caractère unique de mon prénom avant d'être surprise par le métier qu'il exerce. Chirurgien? Je me sens étrangement fasciner par cette révélation et comprends pourquoi il m'a aidé ainsi.

Sentant son regard sur moi, mon coeur accélère de plus belle et mon visage prend une nouvelle teinte rosée. Heureusement, il porte rapidement son attention sur le menu et délaisse ainsi mon visage. Malgré tout, je me demande si j'ai quelque chose sur le visage ou bien s'il est fasciné par autant de rouge en si peu de temps. « Vous n'étiez pas obligé. » Je prononce ces mots d'une voix délicate et peu assurée. Il est vrai qu'il aurait pu passer son chemin, ne se souvenant plus d'où il me connaissait, mais non. Pensive, je me plonge à mon tour dans le menu, peu inspirée. Je laisse mon esprit vagabonder, me demandant de nouveau où nous avons bien pu nous croiser. Je ne sors que peu, évite les lieux où se rassemblent les autres personnes. Peut-être m'a-t-il rencontré lorsque mes cheveux arboraient une couleur dorée, ce qui expliquerait qu'il ne me reconnaisse pas complètement... Mais, dans tous les cas, je ne me souviens pas l'avoir croisé un jour. « Vous lisez beaucoup? » Une interrogation sans doute stupide dans l'instant, mais si ça réponse est positive, nous aurions pu nous croiser à la bibliothèque ou la librairie.

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Message « Il n'y a point de hasard. » › Jeu 4 Juin - 11:46
Aless' ∞ Poé'
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Dans l'idée il existe plusieurs formes d'agoraphobie et pourtant c'est une peur bien réelle, la plupart des personnes sur cette Terre l'ignore mais c'est une peur bien importante car elle consiste à ce que la personne touchée par cette phobie ai peur du public, des gens qui l'entoure, d'un certain surplus de personne et ça, naturellement, c'est tout simplement horrible pour la personne atteinte de cette phobie, le porteur ne peu plus trop se permettre de sortir de chez lui sans avoir la boule au ventre lorsqu'il va croisé plusieurs personnes dans la rue, les groupes lui font peur, la foule lui font peur, ce public, cette crainte que des personnes puissent venir vers elle et l'agressé, oui, c'est à ça que pense que le porteur de cette peur, selon des études cette peur est une sorte de maladie car contrairement aux autres peurs elle peut anéantir à petit feu, au bout d'un certain temps on ne peut plus sortir de chez soi-même par peur de croisé ne serait-ce qu'une seule personne et ça croyez moi c'est dramatique, cette peur c'est vraiment la fin pour la personne, du moins c'est mon avis personnel. De ce fait en croisant cette jeune personne je me suis sentis obligé de l'aider, je connais tout sur cette peur donc l'aidée m'a semblé logique surtout que dans l'idée je n'avais rien de bien prévu à faire, rentré chez moi et dormir ? Non ça ne m'emballe pas, je ne suis pas nécessairement fatigué et ne ressens aucunement le besoin d'aller me posé devant ma télévision sur un jeu vidéo ou devant un bon film non plus alors pourquoi pas passé un petit peu de temps avec cette charmante Poésie qui semble toute intimidée en ma présence mais ça je m'ose à espéré qu'un moment donné ça se calmera au cours du dîner, après tout selon elle je dois être plus ou moins une sorte de " sauveur " ou quelque chose du genre alors, pourquoi pas ? Acquiesçant a cette pensée je lui souris chaleureusement afin qu'elle comprenne que je ne lui veux aucun mal, je lui ai même précisé que j'étais chirurgien avec mon identité afin qu'elle se détende, rien que pour ça elle devrait comprendre que tout irait bien et qu'elle n'a pas besoin de me craindre, mais ça bien sûr c'est juste de la théorie, la pratique viendra probablement ensuite du moins je l'espère très sincèrement. Souriant une fois encore elle me dit que je n'étais aucunement obligé de lui venir en secours lors de sa petite crise d'angoisse. « Je le sais bien Poésie mais comme je vous l'ai dis je suis médecin et laissé quelqu'un dans les emmerdes ce n'est vraiment pas mon truc. Lorsque je vous ai vu toute seule perdue dans cette foule comme si vous espériez pouvoir disparaître ça m'a légèrement foutu les boules et je me suis dis que le mieux à faire serait de vous emmenez ici et de toute évidence j'ai eu raison. » Encore une fois ce sont des paroles de charmeur, mais que voulez vous, après avoir passé des années à charmé des femmes sans jamais les rappelées et bien j'ai fini par m'habituer à ce mode de vie et tout naturellement lorsque j'ai commencé à changé, à vouloir avoir une vie de famille ainsi qu'une femme et bien le reste m'a semblé légèrement moins important de ce fait oui certaines habitudes continuent de resté telles que charmé involontairement de parfaites inconnues mais je m'ose à espéré qu'un beau jour ça se calmera et que, par la même occasion, je passerai un peu moins pour un couillon qui drague tout ce qui bouge même les femmes qu'il vient tout juste de rencontré. Acquiesçant et souriant a cette pensée je reporte mon attention vers ma jolie brune, c'est vrai elle est sublime, elle a des yeux magnifiques et même si elle est rouge du certainement à la peur ou à sa timidité je la trouve superbe, une femme tout simplement splendide mais dans l'idée j'ignore encore où je l'ai rencontrée car oui je suis persuadé de l'avoir déjà croisée quelque part. « Oh j'adore la lecture croyez moi mais avec le boulot que je fais c'est un petit peu délicat de pouvoir lire autant que je le souhaiterais vous comprenez ? » Lui souriant une fois encore je repose mon menu ayant choisi ce que j'aimerai manger, vu que c'est un restaurant italien, cuisine que je préfère, je vais prendre une pizza reine blanche et honoré le lieu qui j'espère sert des plats tout aussi délicieux.

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Message « Il n'y a point de hasard. » › Ven 5 Juin - 17:46

Poésie & Alessandro

Assise à table, en face de l'homme que je pourrais dire être mon sauveur, je laisse dériver mon regard. Le restaurant est désert, ou presque. Deux trois personnes sont attablés près de la porte, loin de nous. Autant dire que mon être à trouver le repos éloignée de la foule du parc dans lequel nous nous trouvions plusieurs minutes auparavant. Je me présente à l'homme et il en fait de même tout en soulignant l'aspect unique de mon prénom. A ces mots, je ne peux m'empêcher de rougir. Il est vrai que mes parents ont été particulièrement inspiré pour mon prénom et ont fait dans l'original. Il en est de même pour mon second prénom, Symphonia. Mais, là n'est pas la question. Il me dit être chirurgien, ce qui explique pourquoi il m'est venu en aide. Malgré tout, après le passage du serveur pour nous donner les menus, je ne peux m'empêcher d'insister sur le fait qu'il n'était en aucun cas obligé de m'aider. Certains médecins passent devant quelqu'un qui fait un malaise dans la rue. Ne voyant en leur métier qu'un moyen de devenir riche ou d'avoir une certaine notoriété. Mais, cela ne semble pas être le cas d'Alessandro. Lorsqu'il reprend la parole, je rougis de plus belle. Fuyant le monde et camouflée dans ma méfiance, je n'ai pas rencontrée de personnes comme lui depuis si longtemps. Tous ne sont certes, pas méchant, mais la bonté d'une personne me surprend presque toujours. Ce ne sont peut-être que des paroles de charmeurs, mais je mets cette idée dans un coin de mon esprit en compagnie de la panique qui me gagnait dans le parc.

Il se plonge dans la contemplation du menu et je fais de même. Pensive et quelque peu distraite, je pense de nouveau à tout ce qui nous a mené ici. Cette impression de déjà-vu qu'il a évoqué lors de notre bousculade dans le parc. Je ne me souviens guère de son visage, chose qui n'arrive que bien peu et mes sorties sont limitées à cause de ma crainte, ma gêne constante. Je pense à la bibliothèque ou la libraire entre autre. Aussi, délaissant un instant mon menu, je lui demande s'il lit beaucoup. Ma voix est délicate et peu assurée, comme d'habitude. L'espace d'un instant, je croise ses yeux et ma gêne grandit aussitôt. Son regard posé sur moi me semble si intense que mon coeur ne cesse de bondir de manière irrégulière dès que je les croise. Je me replonge finalement dans la contemplation de mon menu tout en attendant une réponse qui ne tarde pas. Comme a chaque fois que la conversation dérive sur l'une de mes passions et que mon interlocuteur semble aussi passionné que moi, un faible sourire prend place sur mon visage l'espace d'un battement de coeur avant de faner lentement. « Je comprends, vous devez avoir un emploi du temps bien remplis. » Je commence en toute simplicité, mais je ne peux m'empêcher d'ajouter: « Il est vrai qu'avec mon métier, j'ai beaucoup de chance sur ce point-là. » Je me surprends à parler de moi. Je n'aime pas vraiment parler de moi. Attirer l'attention et les regards. Ca me perturbe plus qu'autre chose. Ce que pense les autres de moi. Une idée qui autrefois me paraissait si futile. Je ne m'attardais jamais sur ce que pensait les autres de moi, mais aujourd'hui... Tant de choses sont différentes.

Pour quelques secondes, je délaisse mon menu, de toute façon, j'ai décidé. Pensive et quelque peu gênée, pour changer, je propose un lieu il aurait pu m'apercevoir. « La libraire ou la bibliothèque.... Enfin, je veux dire qu'on aurait pu s'y croiser. » Je me rattrape, car sortit du contexte, mes paroles peuvent sembler étranges.

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Message « Il n'y a point de hasard. » › Mer 10 Juin - 0:42
Aless' ∞ Poé'
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Il est vrai que certains médecins peuvent être potentiellement dégueulasses envers des personnes qui ont besoin de soin, lorsque certains sortent de l'hôpital ils en oublient qu'ils sont des médecins avant toute chose et que si une personne, peu importe qui elle est, a besoin de soin nous nous devons de les aidés, du moins c'est ce que je pense, moi, je fais partie de ces médecins qui se considèrent comme des médecins avant d'être des êtres humains cela fait de moi une personne plus que passionnée par son travail et c'est à moitié vrai, je suis passionné certes mais c'est tellement plus que ça, le mot est en fait faible, je suis tout simplement accroc à mon travail ainsi qu'à la chirurgie de n'importe quel domaine, opéré un poumon, comme sauvé une jambe, aidé une personne âgée ou encore un jeune enfant ou opéré un cerveau ça me rend tout fou, je suis excité peu importe l'opération que j'aurai à faire et ça franchement ce n'est pas donné à tous les médecins. Certains de mes collègues font des opérations parce qu'ils y sont obligés, parce que c'est leur métier, non, notre métier et du coup ils font ça pour l'argent, argent que l'on gagne par millier et pour certains par millions chaque mois, pour mon cas ce n'est que quatre mille dollars par mois, c'est énorme c'est vrai comparé à certaines personnes mais quand je vois certains de mes collègues je me sens pauvre à coté d'eux mais ça bien sûr ce n'est que superficiel je suis un homme comblé et heureux tel que je le suis et c'est exactement tout ceci qui compte je pense, non ? Acquiesçant a cette pensée je reporte mon attention vers ma charmante brune avec qui je parle de mon travail, je souris à ses paroles. « Oh oui, je viens tout juste de quitté l'hôpital en fait et j'y ai passé plusieurs jours sans rentré chez moi, je ne saurai vous dire combien de temps j'y suis resté c'est pour dire. C'est un métier certes très excitant et passionnant mais tout de même il ne faut pas oublié que c'est également très épuisant et qu'à la fin de notre service nous n'avons plus la moindre énergie. » Et oui sauvé des vies a un prix autant pour le patient que pour le médecin et ça on l'oublie très souvent, pendant que le patient est sur la table le chirurgien fait tout ce qui est en son pouvoir afin de lui sauvé la vie, parfois ça marche et le chirurgien reçoit les honneurs et parfois non et il s'attire les foudres de la famille du patient ce qui est normal d'un certain sens mais tout de même très désagréable précisons le. Grimaçant a cette pensée je reporte mon attention vers ma douce brune qui me parle à son tour de son travail, qui, selon elle ne lui prend pas énormément de temps chose qui attise immédiatement ma curiosité légendaire. « Oh vraiment ? Et que faites-vous exactement dans la vie, Poésie ? » D'après ses paroles c'est un travail qui ne lui prend pas énormément de temps alors ce doit être soit un travail basique que tout le monde connait ou alors c'est quelque chose de plus original, je pencherai plus pour la seconde option car justement cette demoiselle est assez originale d'après ce que j'ai pu en voir jusque là, c'est au passage une personne très sympathique qui paraît avoir une certaine sensibilité, quoi qu'il en soit elle me plaît beaucoup autant par son physique que par sa manière d'être, étonnant n'est-ce pas ? Souriant à cette pensée je l'entends me parlé de deux lieux dans lesquels nous aurions pu nous rencontrés, j'acquiesce à ses paroles. « En effet c'est très probable Poésie, je passe du temps dans ces lieux lorsque je ne suis pas à l'hôpital alors en effet c'est possible. La dernière fois que je suis aller à la librairie remonte à vendredi dernier et c'était en fin d'après midi j'avais acheté un livre vraiment formidable que j'adorerai pouvoir finir d'ailleurs ! » Souriant à ses paroles le serveur vient vers nous et prend nos commandes que nous lui donnons tout de suite puis il s'éloigne et nous prévient que ce sera probablement un petit peu long.

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Message « Il n'y a point de hasard. » › Dim 14 Juin - 23:57

Poésie & Alessandro

Dans le calme du restaurant italien, je continue de discuter en compagnie d'Alessandro récemment rencontré. Je me surprends lentement à me sentir plus à l'aise que je n'ai jamais été en compagnie d'un être qui m'est inconnu. Malgré tout, je ne peux m'empêcher de détourner le regard et de rougir lorsque son regard bleu intense se pose sur moi. Le regard des autres m'a troublé depuis fort longtemps maintenant, mais jamais à ce point, me semble-t-il. Alors que je cherche où nous aurions pu nous rencontrer pour que je lui semble ainsi familière, le sujet dérive sur l'une de mes plus grandes passions: la littérature. A moins degré, certes. Mon aîné semble apprécier les ouvrages autant que moi, bien que son travail l'empêche de lire autant. En toute simplicité, j'acquiesce. Il est vrai qu'être chirurgien ne laisse pas énormément de temps dans l'emploi du temps afin de se poser avec un livre à la main. Chose qui n'est pas mon cas. Mon métier comme mon emploi du temps me plonge en permanence dans cet univers qui me passionne tant et me permet ainsi d'oublier mon malaise l'espace d'un instant. Il soutient que son emploi du temps est en effet particulièrement remplis. Il venait de sortir après une longue garde... Je reste un instant surprise. Il doit être fatigué et pourtant prend le temps de discuter avec moi... Je ne peux m'empêcher de me sentir bêtement gênée à cette pensée. Alessandro détourne, cependant, rapidement mon attention en me demandant ce que je fais dans la vie. Je lui réponds d'une voix timide, bien que plus naturel qu'auparavant. « Je suis correctrice ... Il m'arrivait de jouer un peu de musique auparavant, également. » Avant que la présence des autres me mettent mal à l'aise. A présent, ce n'est plus pareils. Je joue seule, pour moi. Je ne sais si un jour il en sera de nouveau autrement.

Je me replonge finalement dans mon menu, échappant à son regard et je laisse dériver mon esprit. Plus que sur la raison de notre rencontre, je tente de penser aux lieux. Un lieu qui expliquerait que je ne me souvienne pas de son visage, mais que l'inverse ne soit pas tout à fait correcte. Je délaisse une fois encore mon menu, rassemble mon courage. Quelque peu pensive, je propose deux lieux avant de préciser avec hâte le fond de ma pensée pour que tout cela ne soit pas trop étrange. Heureusement, il ne semble pas le remarquer et me répond avec naturel. Je tilte, surprise. Mais, je reste silencieuse tandis que le serveur prend nos commandes avant de nous prévenir que se sera légèrement plus long que prévu. Je me souviens avoir fuis, mais surtout que ma chevelure arborait une  couleur blonde.  « J'étais également à la librairie, vendredi dernier. Je ne suis pas restée longtemps, j'ai commencé à paniquer après avoir été bousculé... Mais on a pu s'y apercevoir... » Dis-je d'une voix qui devint murmure quand j'évoque la bousculade. Je craints que cela lui semble stupide. « Quel livre? » Je pose cette question, curieuse.
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