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Message L'air frais et un ami. › Ven 1 Mai - 19:10

l'air frais et un ami
Poésie S. Holmes & Jordan L. Burmeister
La semaine touchait à sa fin et le week-end pointait le bout de son nez. Rare fut les moments durant la belle s'était aventurée en dehors du confort et de la solitude de son appartement. Elle n'avait pas ressentis le besoin de sortir, se plongeant dans les arts qui la passionnaient tant et dans ces séries du moment. Sa seule sortie notable avait été celle qui l'avait amené chez le coiffeur. Sa chevelure avait poussé et arborait à présent un teinte chocolat. Pourquoi un tel changement?! Poésie elle-même ne savait pas vraiment pourquoi, elle avait juste envie de changer, de se fondre avec plus d'aisance dans la masse en retrouvant son brun d'antan. Mais, en ce début de week-end, le besoin de prendre l'air frais et de sortir c'était fait ressentir. Après une brève douche, la jeune femme s'était vêtue d'une tenue de jogging, avait rassembler ses cheveux en chignon et s'était élancée dans les rues encore désertes de la ville. Se plongeant sur la musique qu'elle écoutait, elle tentait d'oublier ce qui l'entourait et fixa son regard sur la route qu'elle empruntait. Le soleil se levait à peine sur Marple Spring et c'était le moment que la demoiselle préférait pour courir. Rare était ceux qui se levaient aussi tôt un samedi matin, lui permettant ainsi de courir sans s'inquiéter du regard des autres et de paniquer.

Poésie traversa son quartier et se mit en route vers la forêt située dans le quartier nord. Chaque semaine ou presque, elle empruntait ce même chemin. Un chemin qu'elle savait désert ou peu emprunter par les autres habitants de Marple Spring. Elle commençait finalement à ralentir après quelques mètres dans la forêt. Sans s'arrêter, elle regarda l'heure à sa montre avant de boire quelques gorgées de la bouteille qu'elle tenait à la main depuis son départ. Son souffle était saccadé, son coeur s'accélérait tandis que le rythme de la mélodie qu'elle écoutait se faisait plus douce. Les minutes s'écoulèrent et lorsque son souffle fut plus régulier, elle s'élança de nouveau.
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Message L'air frais et un ami. › Jeu 21 Mai - 23:44

l'air frais et un ami
Poésie S. Holmes & Jordan L. Burmeister
Enfin un jour de repos, il faut dire qu'on se moment le travail n'était pas de tout repos mais bon c'est ça quand on choisit d'être policier, on en assume les conséquences comme on dit non ? Pour une fois que je n'avais pas à aller au travail, il fallait que je m'occupe. Je n'allais pas rester chez moi à me tournée les pouces, ou avec une bière dans la main devant la télé: ce n'était pas mon genre sauf les soirs de grands matchs. Il fallait que j'occupe ma journée, que faire? Courir ? Aller jouer de la musique dans la foret? Ah c'est pas mal ça, au moins on n'est pas déranger et en plus on profite de la nature: que demander de mieux. Mais bon si il se mettait à pleuvoir ça ne serais pas top et on ne peut pas prévoir à l'avance quel temps il va faire. Ne jamais se fier à la météo qu'on dis, en même temps par moment c'est vrai que la météo dis des conneries mais bon espérons pas aujourd'hui, pour une fois qu'il fait pas mal beaux depuis le début de la semaine. Bon aller je vais aller courir ça va me faire du bien. Je mis donc un pantalon de survetement gris avec un marcel blanc et sorti dans la rue courir un peu. Il y avait pas grand monde dans les rues, à part des enfants qui jouaient dans le parc ou quelques personnes qui eux non plus ne travaillais pas, il n'y avait pas grand monde. C'est rare que je cours comme ça dans la rue, je préfère le tapis de course, je peux en faire pendant des heures mais bon il fallait bien que je prenne un peu l'air, j'en avais besoin. Je pris le temps de saluer les gens que je croisais par politesse. Et oui quand on est policier on connais la majorité de la ville en fait, c'est comme ça.

Non loin de chez moi il y avait la foret, pourquoi pas aller y faire un petit tour. Même si je n'y joue pas de la musique comme j'avais prévue, je peux aller courir, je pourrais quand même profiter de la nature de cette façon. J'entra donc dans la foret en continuant de courir à une allure constante, je ne voyais personne devant moi et tout en regardant la végétation qui m'entourait, je continuais ma route. Un petit chemin entre les arbres peut fréquenté qui rejoignait un plus grand chemin beaucoup plus fréquentés la plupart du temps. Au moment ou je regarda de nouveau devant moi, une femme passa et je la percuta sans le vouloir. Je lui attrapa le bras pour l'empêcher de tomber et lui sourit doucement un peu géné. "Pardonnez moi, je ne regardez pas devant moi. Je ne vous est pas fait mal j'espère ?" C'est vrai que ça serait bête que je lui est fait mal, elle aurait du mal à continuer de courir sinon.

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(HRP : Désolé du retard, j'ai préférée attendre la fin de mes partiels pour te répondre, j'aurais du te prévenir excuse moi :40: J'espère que ma réponse te plaira en tout cas  :85: )
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Message L'air frais et un ami. › Ven 29 Mai - 17:55

l'air frais et un ami
Poésie S. Holmes & Jordan L. Burmeister
Levée au aurore, un besoin d'air frais pour la première fois de la semaine. Après une douche dès plus brèves, j'enfile une tenue de sport et rassemble ma chevelure, de nouveau chocolat depuis peu, en un chignon rapide. Je prends une petite bouteille d'eau, place mon mp3 de façon à ce qui ne me gêne pas dans ma course et je m'élance dans une succession de geste fluide dans les rues de la petite ville. Les premières lueurs transpercent l'horizon et lentement la population s'éveille. C'est le moment que je préfère pour sortir courir. Le week-end, il n'y a personne dans les rues. Je n'ai pas à m'inquiéter des regards qui se posent sur moi en me faisant paniquer avec aisance. Je me contente de courir, de prendre soin de ce corps que, pourtant, je rejette depuis mes seize ans à présent. Me plongeant dans la mélodie qui s'échappe de mes écouteurs, je traverse mon quartier jusqu'à la forêt qui se trouve non-loin. L'endroit parfait pour profiter de l'air pur et dont les petits chemins sont rarement empruntés par les passants.

Je m'élance sans crainte entre les arbres et la végétation qui se dessine devant moi. Je connais ces bois comme ma poche pour y avoir passé pas mal de temps au court de mon enfance. J'habitais alors dans la maison familiale dans le quartier qui se trouve juste à côté. Je repose les souvenirs, ralentis et bois un peu le temps de reprendre mon souffle avant de repartir de plus belle. Hélas, je n'ai pas le temps de faire beaucoup de pas qu'une personne me bouscule et me rattrape pour que je ne rencontre pas le sol. La panique semble gagner du terrain jusqu'à ce que je me retrouve face à la personne en question. Je me fige, le reconnaissant. Je n'oublie jamais un visage aussi ancien soit-il. Je retire l'un de mes écouteurs, ramasse ma bouteille que j'ai fais tombé pendant la bousculade. « Je vais bien, merci... » Je commence par le rassurer. Il ne m'a pas reconnue, comme lui en vouloir.  « Ca fait longtemps, comment vous portez-vous, Monsieur Burmeister? » Quelques instants l'un souvenir me revenaient et me voilà face à une connaissance du passé. L'un de mes voisins et amis de la famille.
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Message L'air frais et un ami. › Sam 6 Juin - 1:28

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Que suis-je bête, ça m'apprendra à pas regarder devant moi pendant que je cours tiens. J'aurais put lui faire mal à cette pauvre jeune femme qui n'as rien demander à part pouvoir courir tranquillement sans être déranger par un maladroit qui ne regarde pas devant lui et qui préfère tout simplement regarder la nature qui évolue et qui prend forme autour de lui tout en suivant un petit chemin de terre, au lieu de regarder devant lui l'horizon d'arbre dans la foret au travers les chemins fait spécialement pour les coureurs ou même tout simplement les gens qui veulent faire un tour en foret pour se changer les idées et profiter de la nature, du spectacle magnifique que nos offre la nature année après année : ses arbres qui poussent, d'autre qui tombent, des nouvelles fleurs dans des endroits ou il n'y avait pas de vie dans la foret. Ses animaux de plus en plus nombreux qui font leur vie dans les coins calme de la foret et qui de temps en temps montre le bout de leur nez. C'est vraiment magnifique il n'y a rien à redire la dessus.

La pauvre jeune femme, j'espère que je ne lui ai pas fait mal en la percutant, je la rattrapa quand même avant qu'elle ne touche le sol pour lui éviter le pire et l'aida à se relever. C'est à ce moment là que je la reconnue, quand je lui demandait comment elle allait et si elle n'avait rien de casser ou quoi, qu'elle me regarda et me répondit. Je reconnus son visage et lui sourit doucement en lui tendant la main pour la saluer. Oui j'avais encore du mal à faire la bise mais bon c'est comme ça, ça finira par venir non? Je la regarda en m'assurant que tout allait bien. "Effectivement ça fait longtemps, et j'aurais préférée vous revoir dans une meilleure tenue et surtout d'une manière plus... correcte au lieu d'un rentre dedans complètement pathétique à cause du simple fait que je regardais pas devant moi. En tout cas je suis navrée, et en même temps ravie que vous n'ayez rien de casser ou quoi. Je me portes bien et vous donc depuis la dernière fois que je vous ai vu Mademoiselle Holmes?" Ca faisait longtemps que je ne l'avais pas vu il faut dire, on se connaissait depuis qu'on était jeune car j'étais le voisin et surtout un ami de la famille alors on se voyait quand même souvent. Ca fait plaisir de la revoir, un sourire me monta au visage. Que faisait-elle ici, je ne l'avais jamais recroiser pourtant, enfin si de temps en temps mais pas plus que ça.

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Message L'air frais et un ami. › Dim 21 Juin - 18:34

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Le sport. Une occupation forte étrange pour une personne qui quoiqu'elle fasse ne sait apprécier son apparence. C'est devenu une habitude qui m'a suivit au-dela de mon malaise. Je courais déjà avant et j'ai continué à courir. Je ne parcours pas les salles de sports et choisis toujours des heures où peu se trouve dans les rues de ma ville natale, mais je cours. Ce n'est pas une obsession. Je n'en fais pas. J'évite juste de me regarder trop longtemps. Une chose que certains trouvent particulièrement stupide, mais ils ne peuvent comprendre mes raisons et jamais je n'aurais la force de les avouer à quelqu'un.

Ainsi, comme presque chaque week-end, je cherche la force en moi pour sortir de ma petite bulle et m'élance dans les rues de la ville sous la lumière du soleil levant, les écouteurs dans les oreilles. Je traverse la ville qui s'éveille lentement et me rends jusqu'à la forêt qui se trouve non-loin de mon ancien quartier. Je passe devant la maison de mon enfance, je souviens de quelques instants passés. Les plus heureux comme les plus tristes. Je me surprends à accélérer, tentant de fuir ainsi tous ces souvenirs. Je ne tarde pas à entrer dans la forêt. Je laisse tomber le chemin principal et emprunte mon itinéraire ordinaire. Je passe par-dessus les arbres avant de ralentir un instant. Juste instant pour récupérer et boire un peu d'eau. Lorsque je m'élance de nouveau, on me bouscule. Mon coeur accélère violemment, la panique mon jusqu'à ce que je reconnaisse le visage, la voix de l'homme qui m'a bousculé. Lui, en revanche, ne semble pas m'avoir reconnu de suite. Je ne lui en veux guère, j'ai bien grandi depuis notre dernière rencontre.

Je le rassure. La bousculade m'a juste surprise, rien de bien grave. Immédiatement, je lui demande comment il va et esquissant un sourire aussi amical qu'éphémère. « Oh, ne vous en faites pas, ça peut arriver à tout le monde surtout au milieu d'un tel paysage. » Je le rassure de nouveau, il n'a pas de quoi s'inquiéter. « Je vais bien. » Une demi-vérité. A l'heure actuelle, je vais relativement bien, mais cela fait bien longtemps que je ne me sens plus aussi bien qu'autrefois. Beaucoup trop de choses m'ont empêché de m'épanouir pleinement. Beaucoup trop de choses que je n'arrive pas à oublier et dépasser.

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