Break everyday life | ft. M. Leeroy Hamilton › Mer 24 Oct - 0:36
Adminchou
M. Leeroy Hamilton
⊹it's a new day it's a new life⊹
Age : 56 Né(e) le : 10/12/1967 Quartier : Sud de la ville. Je suis : Artiste peintre, sculpteur, écrivain. Inscrit depuis : 01/02/2017 Messages : 923 Célébrité : Johnny Depp Rps en cours : Indisponible.
Break everyday life | ft. M. Leeroy Hamilton › Mer 7 Nov - 18:43
Ellen M. Jackson & M. Leeroy Hamilton
Les vacances et leurs péripéties étaient terminées. Olive qui était revenu juste avant la fin de l'année scolaire, avait repris en septembre une nouvelle année. Elle n'avait même pas de retard, sa mère avait au moins tenu à cela. C'était tout étrange même un mois et demi après la rentrée, cette sensation. Ce réveil mit à 6h pour préparer le déjeuner de sa fille. Avant... Avant que Lise ne part, elle s'occupait de cette modalité. Leeroy se levait toujours vers 7 h, il amenait sa fille au travail, laissant sa femme terminée ses préparations pour aller au travail tranquille. Mais c'était avant. Alors oui, en un sens, il devait se faire à ce nouveau mode de vie. Surtout, que sa vie avait été bien chambouler ses trois dernières années, sans sa fille. Mais doucement, le rythme commençait à venir. Le mercredi, Olive avait, ne commençait qu'à 9h30 les cours. Alors père et fille avaient un peu de répit sur leur heure de sommeil. Enfin, quand on ne sonnait pas à la porte du Cottage à une heure pas possible.
Le bruit aigu et grésillant réveilla l'homme. S'il mit un temps à ouvrir un œil. La seconde sonnerie le fit se mettre assit d'un bon dans son lit. Un poing sur ses yeux piquants. Le regard un peu plus réveillé sur la petite horloge-réveil qui n'indiquait même pas les 7 h. Décidément. D'un soupir, il se leva. Il espéra au fond que le bruit n'avait pas réveillé Olive. Sortant de sa chambre qui donnait directement sur les escaliers de la mezzanine étage de la maison. Une voix de femme se dégagea du silence matinal. Une voix familière bien qu'étrangères à cette heure. Le bruit de la sonnette, ce réveil en fanfare lui avait presque donné mal au crâne. D'un pas lourd, il descendit les marches à un rythme déséquilibré. Les marches de bois craquaient sous ses pas. Il arriva à la porte mal réveillée. Un regard vers le vitrail de la porte. La silhouette fine lui semblait familière.
« En quoi puis-je vous... »
Leeroy avait ouvert la porte, la lueur aveuglante de la matinée brumeuse lui grilla les rétines. Mais jonglant à ouvrir est fermé un œil puis l'autre pour s'accoutumer. Il reconnut le visage d'Ellen. Une amie de Lisebeth, son ex-femme. Le visage de Leeroy se fit alors plus sérieux. Il releva son visage, ses yeux à demi clos encore. Il observa la femme de haut en bas un instant pour s'assurer que c'était bel et bien elle. Et sur un ton interrogateur, il demanda.
« Ellen ? »
Une main dans ses cheveux courts, puis sur sa joue comme pour se réveiller un peu plus. Un de ces yeux avait vraiment du mal avec la lumière extérieure. Alors sans vraiment proposer, il s'écarta de la porte pour laisser la femme entrée. Il ferma derrière elle. Et la porte à peine fermée, il jeta un œil vers l'étage ouvert en partie sur le grand salon/entré. Il s'assura qu'Olive dormait toujours, mais la petite avait un sommeil de plomb.
« Qu'est-ce qui t'amène ici ? Tu t'es perdue. »
L'artiste s'était retournée vers Ellen, l'observant de nouveau dans la pénombre de la maison au volet à demi clos. Elle était vêtue très élégamment, elle l'était en général. Du moins dans les souvenirs de l'homme. Car Ellen était une amie de Lise. Pas une de ses amies. D'ailleurs, elle n'avait jamais cherché à prendre contact avec lui lorsque Lise était partie. Il ignorait même si elle avait eu quelques informations de la part de son ex-femme. À défaut d'en avoir donné à son propre mari. C'était souvent une question qui lui brûlait les lèvres. Mais il n'osait jamais la poser. Il en avait terminé avec cette histoire. Il ne voulait plus remuer le passé. Olive était de nouveau sous son toit et sa protection. C'était tout ce qui importait.
« Euh... Tu veux un café ou autres ? Il est super tôt. Tu disais avoir un souci... »
Leeroy avait été silencieux quelques secondes, peut-être minutes. Son cerveau avait du mal à réfléchir à cette heure et cet instant précisément. Se grattant le crâne, il se fit plus poli alors. Se rendant compte qu'il la fixait depuis trop longtemps déjà.
743 mots. Fiche créée par Rinema
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Break everyday life | ft. M. Leeroy Hamilton › Mar 13 Nov - 18:19
Adminchou
M. Leeroy Hamilton
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Age : 56 Né(e) le : 10/12/1967 Quartier : Sud de la ville. Je suis : Artiste peintre, sculpteur, écrivain. Inscrit depuis : 01/02/2017 Messages : 923 Célébrité : Johnny Depp Rps en cours : Indisponible.
Break everyday life | ft. M. Leeroy Hamilton › Mer 28 Nov - 21:29
Ellen M. Jackson & M. Leeroy Hamilton
Le cerveau tout aussi embrumé que son regard bouffit de son réveil surpris. Leeroy questionna de sa voix roque la femme. La réponse de la femme sembla sarcastique, mais il n'en eut pas réellement conscience. Ne se sentant en réalité pas visé par ses sous-entendus féministes. Il n'était pas un fervent défenseur de leur cause, non, il laissait cela à des femmes ou des hommes plus courageux que lui. Mais il n'avait jamais traité une femme avec moins d'égales que lui. Et ne supportait pas cela d'ailleurs, en de rares occasions surtout lors de sa jeunesse dans la rue, il s'était étonné de voir quelques comportements inappropriés et avait déjà agi en faveur d'une ou deux femmes. Alors non, il ne voyait pas en quoi sa réflexion était pertinente. Lise ou même Olive avait toujours eu un très bon sens de l'orientation, comparer au sien. S'il pouvait sans soucis guider, n'importe qui les yeux fermés dans Seattle Memphis ou Marple Spring, pour avoir arpenté ses villes de long en large. Il lui fallait toujours un, long, moment d’adaptation lorsqu'il se rendait dans un lieu inconnu pour s'y retrouver. La détaillant, un silence se fit. Mais il proposa rapidement une collation et une oreille plus ou moins attentive à ses problèmes.
Sa main dans ses cheveux alors qu'il termina de proposer un café ou une autre boisson à son invitée surprise. Leeroy prit un peu compte de son état. Il venait de se lever et si Olive, toujours, se moquait avec gentillesse de ses épis et de son allure d'ours mal léché. Il savait Ellen plus sophistiquer et tatillons sur l'apparence des gens. Puis il devait s'avouer qu'au final, Ellen ne l'avait jamais apprécié. Lisebeth le lui avait dit plus d'une fois à l'époque où elles se fréquentaient, sur un ton amusé. Lui ? Il s'en fichait. Il n'allait pas changer ses manières ou sa vie pour une femme superficielle et sans âme. Lisebeth, elle avait toujours su jouer sur les deux terrains. Mais peu la connaissaient comme Leeroy la connaissait. Enfin... Cela était du passé à présent. Les mots de la femme d'ailleurs à la vois aiguë, qui sonnait comme un deuxième réveil à ses oreilles indiqua l'objet de sa visite. Une panne ? Ah... Un téléphone ? Oui.
« Euh... Oui évidement. Regarde à la cuisine sur un plant de travail. Ou alors la cheminé là ! »
Leeroy mit un léger temps à répondre, le temps de comprendre les gémissements pénibles de la femme. Décidément, il n'était pas du matin, c'était chose déjà sure. Mais il était encore moins du matin lorsqu'on le réveillait aussi abrupt. Ses neurones avaient manifestement un mal fou à ce connecté ce matin. D'un geste de la main il avait indiqué la cheminée. Le téléphone de la maison était sans fil, mais lui comme Olive avait des endroits où le poser. Et lui le posait toujours soit sur sa base, dans la cuisine, soit sur la cheminée. Olive, elle était plus dissipée et le laissait traîner souvent sur le canapé ou sur le bureau de Leeroy à côté de sa machine à écrire. Ils leur arrivaient parfois de partir en mission, recherche du téléphone aussi. Il s'en amusait bien souvent. Mais c'était assez rare.
« Je vais... Enfin, je vais regarder ta voiture. »
Leeroy sans attendre plus de réponse ou autres détails, même si la question lui avait un vague moment brûlé les lèvres, saisies son manteau de cuir, vieux de plusieurs années sur le port-manteau à côté de l'entrée. Quittant la maison, le froid piquant sa peau qui ne le craignait que rarement. Il avait totalement oublié le café proposé à peine plutôt. Mais rester dans la même pièce que cette femme... N'était pas une chose agréable. Son air hautain et son regard critique. Il n'aimait pas cela, non pas parce qu'il savait ne pas être un homme soi-disant bien. Après tout, il cultivait sa différence et l'appréciait. Mais parce que de telles personnes à l'esprit étroit et semblable à des moutons conditionnés à des coutumes et un mode de vie "classique" le mettait hors de lui.
L'artiste n'était pas mécanicien, s'il avait toujours été assez manuel et débrouillard. Aimant touché à tout et que souvent il tapait juste un peu au hasard de quelques magouilles. Il ne se lancerait sans doute pas dans des expériences avec la voiture de madame. Elle serait bien trop intenable s'il aggravait les choses. Arrivé à hauteur de la voiture, non loin effectivement de sa maison. Il souleva le capot. Une épaisse fumée blanche attaqua son visage, le faisant toussé alors qu'il recula d'un pas ou deux. Chassant la fumée de la main, il attendu qu'elle se dissipe un peu avant de pencher la tête au-dessus du moteur. Bon... C'était définitif, il n'y connaissait rien. À premier vu, rien ne se semblait casser ou déplacer ou pendant où je ne sais pas quoi... Une "bonne" nouvelle. Referme la taule de la belle voiture, il revint sur ses pas et entra de nouveau dans la maison. Appréciant à chaleur qui y régnait.
« Tu as trouvé le téléphone ? »
Questionna Leeroy d'une voix un peu trop haute au départ. Ses pas le menant dans la cuisine. Il trouva la femme. Et d'une voix et d'un visage plus réveiller alors il lui indiqua :
« Je ne sais pas ce qu'elle a ta voiture, à premier vu il n'y a rien de casser ou autres. Tu'as remis du liquide de refroidissement dedans récemment ? C'est peut-être juste cela. Je ne voudrais pas trop toucher, je ne m'y connais pas vraiment. Mais on peut appeler un mécano, si tu as trouvé le combiné. »
977 mots. Fiche créée par Rinema
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Break everyday life | ft. M. Leeroy Hamilton › Jeu 3 Jan - 17:26
Adminchou
M. Leeroy Hamilton
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Break everyday life | ft. M. Leeroy Hamilton › Sam 19 Jan - 14:55
Ellen M. Jackson & M. Leeroy Hamilton
L'artiste rentra chez lui, ôtant sa veste de cuir. Il annonça d'une voix pas trop forte à l'entrée de la cuisine qu'il n'avait pas pu aider la femme et sa voiture. Un regard en arrière, vers l'escalier qui ornait le mur de la cuisine pour monter au demi-étage. Car oui, le palier de l'étage était une mezzanine où Leeroy avait installé sa machine à écrire. Il aimait s'y poser et rester devant sa vielle machine regarder Olive jouer en bas ou même l'écouter jouer derrière dans sa chambre ou le petit espace salle de jeux aménager sur le palier. Retournant son attention sur l'amie de son ex-femme, il poussa la porte de la cuisine derrière lui. Sans réellement la fermer, mais le fermant assez pour que leur voix et les divers bruits ne s'en échappe pas trop. Il ne voulait pas qu'Olive se réveille, non pas parce qu'il était encore trop tôt. Mais surtout parce qu'il ne souhaitait pas qu'elle ait affaire à cette femme que lui-même n’appréciait pas. Les raisons étaient diverses. La relation qu'elle entretenait avec la mère de son enfant était la principale. Les questions que la petite innocente et assez franche pourrait poser, Leeroy ne souhaite pas les connaitre et encore moins les réponses. Lisebeth était aujourd'hui loin dans sa vie, et c'était bien mieux ainsi.
« Ok... Il vaut mieux appeler un professionnel dans ce cas. Je ne veux pas faire de bêtises avec ta belle voiture. »
Le froid avait réveillé un peu l'ours mal lâché qu'il pouvait être le matin. Mais ses neurones avaient encore un peu de mal à se connecter. Il avait fait quelques pas dans sa cuisine à la recherche d'un truc... Une vague idée d'une action à faire en tête, comme un mécanisme, mais sans savoir quoi réellement. Alors il avait tourné un peu entre l’îlot central et les meubles collés de cuisine. Ah... C'était ça. Le café. Il lui avait proposé, à son souvenir quand elle avait fait irruption. Ou peut-être pas en fait, vu ses mots et son ton dédaigneux. Il avait dû oublier d'être poli et serviable. Une main dans ses cheveux encore maux peignés. Se grattant la joue, il la regarda un peu dubitatif. Il n'avait que faire de ses sous-entendus douteux. C'était elle qui venait de le réveiller d'un sommeil agréable et cosy. Elle qui venait quémander son aide, elle qui s'introduisait dans sa vie et son intimité. Tout le monde n'était pas comme elle, tout le monde n'était pas rayonnant dès les premières lueurs du soleil.
« Occupe-toi donc de ta voiture. Je me charge du café. »
Leeroy avait été plus froid et direct qu'il ne l'avait été jusque-là et qu'il ne l'était en général. Lui l'homme timide et jamais sûr de lui, jamais très à l'aise avec les autres, s'agaçait sérieusement. Sa présence était nocive pour cette maison chaleureuse et atypique. Oui Leeroy et Olive n'avaient pas une vie millimétrée encore moins conformiste. Si certain cycle de la vie était obligatoire, comme l'école et manger. Leur vie était en général plus libre, freestyle comme on dit, que la plupart des familles. Et cela convenait à l'homme et à sa fille surtout. Alors il n'avait que faire des paroles d'un mouton de la société. Il détourna son attention sur la machine à café à capsules, le cœur légèrement serré. De quelques rancœurs passées qui lui remontaient à l'esprit envers Ellen. Lisebeth sa femme s'amusait parfois à lui compter quelque discussion entre "amies" qu'elles avaient eue. Et Ellen ne se privait jamais de dire à son ex-femme qu'elle n'avait pas grand-chose à faire avec un homme comme lui... De quoi se mêlait-elle ? Lise et Leeroy avaient été heureux, du moins, il en était, aujourd'hui encore persuadé. Lisebeth n'était pas le genre de femme à simuler son bonheur pour une quelconque raison. Il y avait eu quelques bas évidemment comme dans tout couple. Mais toujours, ils avaient su surmonter les épreuves... Du moins jusqu'à ce qu'elle disparaisse de sa vie. Sans même un mot... La gorge un peu nouée de ses pensées, l'homme, sans se retourner demanda ses préférences à l'amie de son ex-femme.
« Tu préfères un café ou une autre boisson. Plutôt fort ou pas trop ? J'ai du déca aussi. Un petit ou grand. Tu sucres ? »
Le bras levait vers le placard haut où se trouvaient les tasses. Il en saisit une et la plaça sous la machine qu'il mit en route une fois les instructions de la femme transmises. Sa tasse à lui était déjà sortie ainsi que celle d'Olive. Poser à sa place dans un coin du plan de travail d'angle. Une fois, le café de madame servi, il fit le sien, bien noir et fort, sans sucre comme il l'aimait le matin. Une fois les deux tasses pleines, il les déposa sur la petite table ronde qui trônait après l’îlot central. Il invita la femme à s'asseoir une fois son coup de fil terminé. Il déposa sur la chaise face à lui la tasse commune pour les invités. Et garda précieusement la tasse de céramique bleu marine avec écrit en blanc "Super papa" avec un petit bonhomme en capte rouge volant entre des doigts.