Fichu neige! Winter is here! PV. Kristoffer › Mer 28 Nov - 19:48
Fichu neige! Winter is here! × ft. Kristoffer & Jamie
Aujourd’hui je dois me rendre à la gare pour prendre le train, non sans blague? Mais je sais que cette nuit neige à commencer à bien tomber donc je risque d’avoir des retards sur mon train, mais bon, ce n’est pas grave, je me dis qu’avec un peut de chance, je vais pouvoir partir et tout ira bien. Mais je sais que cette nuit neige à commencer à bien tomber donc je risque d’avoir des retards sur mon train, mais bon ce n’est pas grave, je me dis qu’avec un peut de chance je vais pouvoir partir et tout ira bien.
Du coup, je m’étais préparé tranquillement, j’avais bouclé ma valise et j’avais envoyé un message à Amy pour lui dire que j’étais en route pour la gare et c’est partis pour moi. J’avais décidé de me rendre là-bas en taxi comme ça pas de voiture à laisser. Sur le chemin, le chauffeur ne cesse de me dire que la neige tombe beaucoup, que c’est certainement mort pour mon train, je ne peux que soupirer, il va me porter la poisse lui, je le sens, mais bon, je fais comme si ça ne me touche pas, tout ce qui m’importe, c’est que j’arrive à la gare et dés que j’ai payer je ne peux que sortir du taxi pour aller voir les train et les horaires.
Je me dirige alors vers le tableau des départ pour chercher mon train, au début, je le vois simplement à l’heure donc je me dis tout vas bien, il me reste un peut plus de 20 minutes à attendre, je suis sauvé. Mais il suffisait que je pense ce genre de chose pour qu’une annonce retenti dans la gare… Mon train à finalement 10 minutes de retard… Pour le moment ça va j’ai vu pire. Je n’ai plus qu’à attendre… Je ne vais pas me prendre la tête, je m’installe alors sur un fauteuil libre, en face d’un écran pour suivre les avancer. Et par la même occasion, je ne peux que prévenir mon pote, et bien entendu Amy, mais à peine mon message pour eux envoyer… On passe de 10 minutes à 1h de retard…
Fichu neige! Winter is here! PV. Kristoffer › Ven 30 Nov - 23:33
This sickness avoids all cure
Imperfection my downfall
Dis, Papa, tu crois que les loups ils vivent comme nous ? Qu’ils ont la même famille que nous ? Je sais qu’ils ont une meute, je sais qu’ils ont des petits et tout … Mais est-ce qu’ils vivent de la même manière que nous ? Imagine, Papa, ils discutent entre eux, tu crois qu’ils parlent de quoi ? Qu’ils parlent du beau temps et de la pluie comme nous ? Ou alors qu’ils ont des conversations philosophiques comme on peut en avoir ? Je sais que c’est bête tout ce que je peux dire, mais je m’interroge vraiment. Faut me comprendre, on vit en Norvège, les loups sont vraiment énormément là. Genre, ils sont dehors alors qu’on vit chez nous. Nos poubelles sont vidées par eux, ils ne font que courir presque après nous. Alors ouais, j’aimerai vraiment savoir des choses énormes sur eux. En fait, les loups c’est des animaux que j’aime beaucoup. Ils sont tellement intéressants. Je sais que tu les détestes Papa, car ils sont dangereux et pas comme nous, mais crois-moi qu’on devrait en apprendre beaucoup sur eux. Eux au moins ils s’aiment comme ils sont, ils s’aiment énormément … Alors que nous, humains, on est graves parfois. Parfois on tue sans même oser regarder notre adversaire dans les yeux, on les fait souffrir sans même pleurer une seule larme.
Soudain, un réveil se retrouva balancé au travers de la pièce, faisant sursauter un chien et un chat. Le premier se releva brutalement en grognant puis posa un regard incompréhensif sur son propriétaire. Tandis que le second s’était mit à traverser l’appartement en courant, la queue entre les jambes. Un gémissement sortit des lèvres du Blond qui se relevait difficilement de son lit, tandis qu’il se passait une main sur le visage. Une grimace traversa ses lèvres en sentant des boursouflures au niveau de ses yeux. Il avait pleuré. Encore une fois. Cela faisait bien des semaines qu’il pleurait continuellement, sans réellement comprendre la raison. Enfin, il n’était pas bête, il savait parfaitement de quoi il rêvait actuellement, ou tout du moins de qui. Elles lui manquaient, réellement. Elles avaient été toute sa vie, elles avaient rythmé ses journées pendant de très longues années et en quelques secondes il avait tout détruit. Par pur égoïsme. Ouais, il s’en voulait. Il aurait pu passer l’éponge en deux ans, il le savait mais il avait l’impression que son subconscient n’en avait aucune envie. Comme si son subconscient ne cessait de lui rappeler sa faute, de lui faire comprendre qu’il n’était qu’un humain, qu’il n’aurait rien pu faire, à part peut-être ne pas partir. Il avait tout perdu. Que ce soit sa famille, mais aussi son pays. Alors ouais, malgré le boulot qu’il aimait énormément, il avait un vrai coup de blues.
En fait, depuis qu’il était venu là, il ne faisait que rêver d’elles. Il ne faisait que les revoir dés qu’il fermait les yeux. Il revoyait la première fois où il avait rencontré sa femme, ce fut sans doute le plus beau jour de sa vie. En fait, il allait présenter une maison à un jeune couple et il la découvrit. Elle, au bras d’un homme dur et fier. Il remarqua très vite son regard vide et terne. Soudain, il distingua deux petites marques violettes sur son cou, ainsi que le fait qu’elle porte des lunettes en pleine soirée. Il comprit rapidement. Trop rapidement sans doute puisque son sang de Nordique se mit rapidement en route. Il ne fit qu’un tour dans son cerveau, mais son esprit vif fut plus intelligent que cela. En effet, il fit en sorte que le couple prenne la maison, mais surtout qu’il puisse offrir son numéro à la jeune femme. Elle l’accepta rapidement et le mit dans son sac. Lui, le Norvégien, fit en sorte de garder un double des clefs de la maison, au cas où. Et ce cas apparut rapidement. En effet, au bout de plusieurs mois, la jeune femme l’appela en pleine nuit, en pleurs. Il se réveilla et comprit en quelques mots. Alors sans hésiter une seule seconde, il prit sa voiture et arriva chez le couple. Là, il ouvrit la porte – puisque il avait encore la clef – et entra dans la maison. Il remarqua la femme couverte de bleus, la lèvre ouverte et l’oeil au beurre noir. Son mari n’était pas là, parti se bourrer la gueule. Il prit la jeune femme, l’emmena à l’hôpital et l’obligea à porter plainte. Après plusieurs mois, ils se revirent enfin. Son mari en prison, elle seule. Ils finirent par rapidement s’apprécier et finalement vivre ensemble. Ils mirent un an à s’installer ensemble, comme une véritable évidence. Ils étaient faits pour être ensemble.
En fait, il avait réellement vécu ses plus belles années avec sa femme. Ca avait duré seize ans, mais ça avait été tellement beau … Tellement merveilleux que ça en était presque irréel. Et Dieu avait fini par lui enlever tout cela. Seize années … C’était bien trop court. Mais il était certain d’une chose dorénavant, il ne pourrait plus jamais tomber amoureux. Plus jamais il ne pourrait avoir d’enfant. Non, il ne voulait pas les remplacer, car elles étaient, toutes les trois, irremplaçables. Elles étaient uniques pour lui. Finalement, le Blond poussa un profond soupir et regarda l’heure sur son téléphone. Dix heures. D’accord, il était l’heure de se diriger vers la gare. Aujourd’hui était un jour spécial, il devait accueillir un couple de français qui l’avait contacté via l’instagram de l’agence pour une maison qu’il mettait en vente. Ils avaient signé le compromis de vente et devait arriver aujourd’hui pour y habiter officiellement, alors il leur avait promit de les accueillir comme il se doit. Il se dirigea donc vers la salle de bain, prit une douche rapide, s’habilla et partit rapidement sortir son chien dans le pâté de maison où il habitait. A dix heures trente, il était en route vers la gare dans sa voiture. Au bout d’une demi-heure il était arrivé à la gare. Heureusement, il n’était pas en retard. Alors, il se passa une main dans ses cheveux, enfila un bonnet sur la tête et marcha vers le hall. Là, il posa un regard sur le panneau d’affichage et observa les trains.
« gjøre dritt !» jura-t-il dans sa barbe en remarquant que le trains de ses clients avait plus d’une heure de retard. Une phrase se fit entendre derrière lui et il posa son regard sur le brun. « Malheureusement, non. On dit merci au temps, hein ? » continua-t-il avec un sourire moqueur.
Le pire c’est que normalement, il devrait avoir l’habitude. Il est Norvégien, la neige il a connu cela toute sa vie. Mais dans ce pays, c’était totalement différent. Ici, la neige bloquait tout, elle faisait en sorte de mettre tout le monde dans la panade, alors que chez lui c’était complètement différent. Chez lui la neige faisait partie intégrante de la vie quotidienne, donc il arrivait à vivre avec. Quand il neigait en Norvège, il prenait la moto à neige, et donc il pouvait tout de même se déplacer. Un soupir passa ses lèvres. Une heure ... Il avait encore le temps de sortir son chien. Car l’ayant sorti que dix minutes ce matin, il l’avait embarqué avec lui, espérant le sortir après la découverte de la maison. Alors, son chien l’attendait dans la voiture. Ouais, il allait le sortir. Alors, il posa son regard sur l’homme brun qui avait juré et hocha la tête. Il ne proposait que rarement cela, mais il savait que cet homme avait besoin de s’aérer la tête. En réalité, il semblait con comme ça, froid, mais étant Norvégien, il connaissait l’empathie, la gentillesse et l’hospitalité. C’était les conditions premières pour vivre dans ce pays actuel.
« Avec un temps pareil, je vais devoir attendre longtemps. Or mon chien attend dans la voiture. Vous voulez venir avec moi ? On est mieux à deux que seul. Au moins ça vous permettra d’attendre tranquillement, non ? » dit-il en souriant.
On pouvait parfaitement remarquer à son sourire commerçant et à son regard vendeur, que ce n’était ni de la drague ni rien, simplement un compromis que deux hommes peuvent se faire, surtout en attendant un train. Finalement, sans attendre, il tourna les talons et se dirigea vers la sortie de la gare. S’il le suivrait ou pas ? Il s’en moquait. Il avait proposé, il n’insisterait pas.
nightgaunt
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Fichu neige! Winter is here! PV. Kristoffer › Mer 19 Déc - 13:04
Fichu neige! Winter is here! × ft. Kristoffer & Jamie
Bon alors, oui partir voir mes amis ça ne pouvais que me faire plaisir c’est une évidence, mais bon prendre le train c’est vraiment quelque chose que je déteste, franchement on se fait chier dans le train, a regarder le temps passer tout comme le paysage, certain pourraient trouver ça apaisant mais moi ce n’est pas mon cas, alors oui en général j’avoue que j’en profite pour écrire des pièces, préparer mes futur cours et j’en passe mais ça ne fais pas tout, je vous le dit je tourne très rapidement en rond et je n’aime vraiment pas ça du tout, surtout que j’ai toujours cette crainte c’est de m’endormir et de louper mon arrêt, bon quand c’est le terminus je n’ai pas ce soucis mais quand c’est pas le cas, je vous l’assure je reste totalement éveiller le plus possible, voir tout le long et quand c’est des trajets super long, et bien quand j’arrive, j’avoue ne pas être le plus cool des mec en général, C’est une fois de plus pour ça que je préfère largement prendre la voiture, au moins je fais des pause quand je souhaite, je ne m’ennuie pas comme la conduite me permet de rester concentré et voilà le temps passe plus vite, oui je sais que tout le monde ne pense pas comme moi, mais c’est comme ça que je vois les choses tout simplement. Après aujourd’hui je sais qu’il est impossible de prendre la route avec ma voiture, j’ai tout de même entendu parler de la météo de malade, certaine route sont même fermer, donc non je vais prendre le train, je n’ai pas le choix, même si je ne suis pas enchanté bien entendu, mais je vais faire avec tout simplement.
Enfin prendre le train, ça risque d’être compliquer quand je vois que maintenant il y a plus d’une heure de retard, franchement c’est vraiment une blague tout ça, en général je ne suis pas du genre à râler mais aujourd’hui c’est le cas, d’une part pour mon amour du train et d’autre part en plus parce que je me dis que je pourrais être chez moi à m’occuper de mon chien, je sais qu’il ne sera pas longtemps seul c’est certain, mais bon, voilà je préférai être avec lui. Donc je ralle et cette fois le fait de râler fait réagis un jeune homme qui se trouvais pas loin de moi. Il répond à ce que je viens de dire et j’avoue que ça a pour effet tout de même de me détendre, car oui je ne suis pas le seul dans la merde c’est évident.
-Ouais temps de merde, mais bon c’est l’hiver, donc on va pas ce plaindre…. Ou si comme tout les ans c’est la même merde, a croire que les gens ne savent pas qu’il va neiger pendant l’hivers.
Je ne peux que lever les yeux au ciel bien entendu, c’est vrai que les hivers et bien il faut s’attendre à ce qu’il neige tout simplement, donc les gens devraient être prêt mais non ça n’arrive jamais. Enfin je ne peux que me concentrer de nouveau sur le jeune homme qui me dis que son chien est dans sa voiture à attendre et qu’il me propose de venir avec lui au moins on se tiendra compagnie. Bonne idée et je vais pouvoir fumer en sortant.
-Oh je suis carrément pour, au moins le temps passera certainement plus vite à deux. Et puis autant tenir compagnie à votre chien aussi.
Je lui sourit et forcément on ne peux que sortir de la gare, je suis un mec assez conviviale donc ce genre de chose ne me dérange pas et faire connaissance avec de nouvelles personne ne me dérange jamais, bien au contraire.
-Au fait moi c’est Jamie, autant se présenter comme il faut non.
HJ. Vraiment désolé de pas t'avoir répondu avant. Petit soucis les semaine passée mais me revoilà.