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Message aiden bowman × not sure of who i am › Mer 28 Fév - 7:32


Aiden Korn Bowman

Je m'appelle Aiden Korn Bowman, et même si je ne les fais pas, j'ai 22 ans. Mais cela reste entre nous. Je suis né(e) le 15/10 /1995, dans la magnifique province de Nonthaburi en Thailande. Pour passer le temps je suis étudiant en photographie, et je suis à Marple Spring depuis 18 ans (I'm home). Actuellement je suis célibataire. D'ailleurs je crois que je suis homosexuel, si jamais cela t’intéresse. Mais ce qui m'énerve (ou pas), c'est d'être sans cesse comparé à Art Pakpoom Juanchainat.

Timide Introverti Pas très confiant Intelligent Curieux Adorable Fidèle Généreux Tourmenté
né en Thaïlande, il a été adopté à l'âge de 5 ans Il a encore des souvenirs de l'orphelinat à Bangkok mais il prétend ne se souvenir de rien car ce ne sont pas de très bon souvenirs pour lui Son vrai prénom est Korn, c'est sa mère biologique qui l'a nommé ainsi, ces parents adoptifs lui ont donné comme second prénom Aiden, c'est lui qui à l'âge de 10 ans a demandé à tout le monde de ne plus l'appelé Korn mais Aiden Il se cherche encore il n'est pas certain d'être 100% homo mais sait qu'il n'est pas 100% hétéro non plus Il étudie la photographie, il passe sa vie avec un appareil photo ou son téléphone Il n'aime pas qu'on lui pose des questions sur son adoption Il parle un peu Thaï, pas couramment et apprend tout seul, il ne veut pas que les gens sachent qu'il s'intéresse à ces origines

L'histoire de ma vie


Octobre 1995 dans un petit village à une centaine de kilomètre de Bangkok, après 8 mois d’attente, c’est dans les cris et les pleurs que le petit Korn arrive enfin. Deuxième fils d’une famille très pauvre, ces parents n’avaient pas vraiment prévu son arrivé. Les fins de mois étaient déjà bien difficiles pour la petite famille dont le père travail sans arrêt dans une rizière et la mère fait ce qu’elle peut, tissant un peu de tissus, mais le travail n’est pas facile à trouver dans ce coin un peu reculé de la province de Nonthaburi. Malgré tout, les parents sont heureux d’accueillir le petit Korn, et c’est sa mère qui le nomme ainsi.
Les mois passent et la famille tente tant bien que mal de survivre. Mais alors que Korn fête ces deux ans, il tombe malade. Ces parents se retrouvent anéantis, ils n’ont pas les moyens de le soigner, d’autant que l’hôpital le plus proche est à plusieurs dizaines de kilomètres et une fois sur place ils savent qu’ils ne pourront pas payer les soins … Pendant plusieurs jours, sa mère va tenter toutes les techniques artisanales possible utilisant les plantes et onguents connus, mais sans succès.
Après une semaine et voyant l’état de son fils se détériorer, la jeune maman n’a plus vraiment de solution, sans prévenir son mari, elle emballe quelques affaires de son fils, le prend avec elle et quitte la maison à l’aube. Elle rejoint la seule grande route passant par le village et attend l’arrivé d’un vendeur ambulant, ils sont nombreux à venir faire du commerce dans les coins reculés, c’est une chance pour elle car elle sait qu’après ils rejoignent les grandes villes. Elle fini par trouver le vendeur qu’elle attendait, un homme qui passe 1 fois par mois dans le coin, et surtout un homme qui est toujours prêt à aider. Elle a les larmes aux yeux lorsqu’elle l’aborde et l’homme ne met pas longtemps à comprendre. Il faut dire qu’avec les années il a vu bien des familles au bord du désespoirs et la requête que s’apprête à lui faire la maman de Korn, il l’a déjà entendu. Il ne pose qu’une seule question : « avez-vous bien réfléchis ? » la jeune femme n’a pas la force de répondre, elle hoche la tête en tendant son enfant et le petit sac avec quelques affaires. L’homme prend le petit et au lieu de continuer son tour du village il fait demi-tour. C’est la dernière fois que Korn verra sa maman.
L’homme installe le bébé confortablement dans son sareng, positionner entre deux cartons c’est précaire mais au moins il ne risque pas de tomber. Il fait demi-tour direction Bangkok. Il ne fera pas le trajet en un jour, c’est à plusieurs centaine de kilomètre et son scooter aménagé ne supporterait pas le trajet d’une traite. Il lui faudra une semaine pour rejoindre la capitale, s’arrêtant dans des hôtels de fortunes, il prend soin du petit tout du long. Il lui parle beaucoup, Korn est trop petit pour comprendre mais c’est aussi une façon pour le conducteur de passer le temps. Finalement ils arrivent à la périphérie de la capital, la dernière étape du voyage. Arrivé devant un temple, l’homme sort et prend Korn avec lui. Il est encore très tôt, et les moines sont déjà dehors après la première prière. Les moines le connaissent bien cet homme, le passeur comme ils le surnomment, ce n’est pas la première fois qu’il dépose un enfant au temple et ça ne sera surement pas la dernière … L’un des moines prend alors Korn dans ces bras, murmure une prière et entre dans le temple avec l’enfant.
En réalité ce temple comme bien d’autre accueille aussi de nombreux enfants, orphelins, parents en prisons ou comme Korn issu d’une famille trop pauvre pour s’occuper d’eux, ces laissés pour compte se retrouve souvent dans des temples ou des orphelinats improvisés. Ce n’est pas le luxe mais au moins ils ont un toit, des repas réguliers et ils vont même à l’école, tout ce que leurs parents n’ont pas les moyens de leur offrir.
Korn ne le sait pas encore, mais il va y passer du temps, beaucoup de temps, trois ans au total. Korn à maintenant 5 ans, les moines et les bénévoles du centre se sont bien occupé de lui, ils sont presque 1000 enfants regroupé aux temples allant des bébés aux adolescents. Parce que ce n’est pas un orphelinat officiel, il n’y a pas de subvention de l’état, ils ne vivent que grâce aux dons, heureusement quelques généreux donateurs déposent vêtements, nourritures, produits d’hygiènes … Ca peut sembler fou mais ce genre de centre est pourtant assez courant en Thaïlande, car abandonné officiellement son enfant dans un « vrai » orphelinat n’est pas simple et la plupart des familles ont bien trop hontes c’est pour cela qu’il y a des hommes comme le passeur qui ne pose pas de questions, qui veulent juste aider ces enfants et leur éviter de finir dans la rue.
Parce que Korn est assez frêle et qu’il parle peu il est un peu le souffre-douleur des plus grands. Les bénévoles tentent tant bien que mal de le protéger mais ils sont trop peu et doivent aussi gérer les autres enfants. Alors Korn souffre en silence, la plupart du temps il reste seul dans son coin avec sa peluche, la seule que personne ne touche, elle est tellement sale et décrépie que personne n’en veut, mais elle est à lui, c’est la seule chose qui lui reste de sa famille. Et puis un jour l’un des bénévoles vient le chercher après le repas, il passe alors à la douche, on lui donne de beaux vêtements, on le prépare comme jamais auparavant. Il ne dit rien comme toujours et se contente de faire ce qu’on lui dit. Il est ensuite emmené dans une grande salle, il n’y est jamais venu avant, il n’y a aucun autre enfant, juste des adultes. Et puis le « directeur » du centre accompagné d’un des moines lui explique que des gens sont venus pour le voir, des gens très gentil, qui veulent être ces parents. On lui dit qu’il doit être sage et poli en leur présence. Le petit bonhomme du haut de ces 5 ans ne comprend pas tout, des parents il ne sait même pas ce que ça veut dire, mais à l’entrée du couple dans la salle, il les salue en joignant les mains comme on lui a appris. L’homme et la femme ne s’approche pas trop, laissant une distance suffisante pour ne pas encombrer son espace vital. Ils commencent à parler et Korn ouvre de grands yeux. Il ne comprend rien. Ces gens parlent un langage complètement inconnu et ils ont aussi un visage étrange, ils sont très pâles, ils ont de grands yeux. Korn les observe en silence. Le moine reste dans la pièce et parle avec le couple. Finalement l’homme sort une boite et la tend en direction de l’enfant. Korn regarde mais ne sait pas ce qu’il doit faire, le moine lui indique qu’il peut la prendre alors il l’attrape en disant merci. Il n’ose cependant pas l’ouvrir. Jusqu’à maintenant il n’a jamais eu le droit de garder quoi que se soit, les grands lui reprenant assez souvent ces affaires alors il ne sait pas s’il peut la garder. La femme lui dit alors quelque chose qu’il ne comprend pas, alors très doucement sans geste brusque elle s’approche, Korn est un peu effrayé mais elle ne semble pas menaçante. Finalement elle lui montre comme enlever le papier autour de la boite, une fois qu’il a compris il commence a défaire l’emballage, et lorsqu’il commence à déchirer le papier, il s’arrête et regarde la femme comme pour demander la permission, d’un sourire elle lui accorde et commence alors un jeu fort amusant, le petit garçon se met à déchirer le papier en petit morceau, et ça semble beaucoup l’amusé car pour la première fois depuis bien longtemps on peut voir un sourire sur son visage. Une fois le papier enlevé, Korn se retrouve avec une boite, il ne comprend pas ce qu’il y a écrit sur l’emballage mais il reconnait le dessin d’une balle, il ouvre le petit carton et en sort un ballon, des étoiles brillent alors dans ces yeux. Il adore jouer au ballon, souvent il y joue avec les bénévoles et quelques autres enfants un peu comme lui, à l’écart, et quand il y a les bénévoles les grands ne l’embêtent pas ! Il regarde alors le couple devant lui et prononce enfin un mot « len » la femme regarde le moine qui lui explique qu’il demande la permission de jouer. Bien sur c’est accordé et il joue alors avec le couple.
La visite dure environ 1 heure, pour Korn c’est juste un moment de détente, il y a souvent des gens de l’extérieur qui viennent au temple, des bénévoles temporaires qui parfois amènent des jouets ou des vêtements, pour Korn à ce moment-là c’est juste une journée où il est un peu privilégié sans comprendre pourquoi. Ce qu’il ne sait pas encore c’est que ce couple n’est pas juste venu dire bonjour, ils souhaitent l’adopter. Dans les semaines qui suivent le couple va revenir plusieurs fois, toujours pour le voir, avec des cadeaux, ils passent de bons moments avec eux même s’il ne comprend pas quand ils parlent. Ce qu’il n’aime pas c’est quand il retourne avec les autres parce que les grands sont encore plus derrière lui et il est obligé de cacher ces cadeaux pour ne pas qu’on lui vole. Et enfin arrive le grand jour. Une fois encore Korn sait qu’il va voir les deux étrangers, mais ce n’est pas une simple visite, cette fois on lui a préparer un grand sac avec ces affaires, les bénévoles viennent le voir à tour de rôle pour lui dire au revoir, le petit garçon ne comprend pas très bien ce qui se passe mais comme toujours il ne fait pas de vague. Il retrouve avec le couple et c’est là que l’un des moines lui explique. Il quitte le centre aujourd’hui, il va partir avec les étrangers qui sont désormais ces parents, il ne reviendra plus dans le centre. Même si Korn s’amusait bien avec le couple il a soudain très peur, il ne veut pas lâcher la main du moine et se met alors à pleurer. Il panique, la femme le prend alors dans ces bras mais il se débat. On lui laisse quelques minutes pour se calmer, personne ne le gronde, le couple tente de le rassurer mais parce qu’il ne comprend pas leur langue ça le stress encore plus. Au moment de partir il supplie « mai mai mai » (non non non), il a peur, il ne connait pas la vie en dehors de l’orphelinat, ce centre c’est tout ces repères, et même s’il y a des brutes qu’il déteste, au moins il sait à quoi s’attendre en partant il quitte tout ce qu’il connait et pour un petit garçon de 5 ans comme lui c’est traumatisant.
Comprenant qu’il n’a de toute manière pas le choix, il va finir par suite, les larmes vont continuer de couler sur ces joues mais il ne cri plus, il ne dit plus rien du tout, il se repli sur lui-même. La femme qui est désormais sa mère tente de lui parler, elle ne le touche pas, comprenant que ça ne ferait qu’aggraver la situation. Visiblement elle se sent très mal, elle veut l’aider, mais elle se sent impuissante. Elle a fait tout ce chemin depuis les Etats-Unis pour lui, ça fait des mois et des mois qu’elle parle avec les moines, et des années qu’elle attend ce moment d’enfin devenir mère, mais la réalité est un peu plus dur que prévu. Bien sur elle savait que le choc serait dur pour ce petit garçon qu’elle a vu en photo pendant des mois. Mais parce que les visites précédentes c’était bien passé, elle avait l’espoir que tout soit parfait, alors voir son fils dans cet état lui brise le cœur.
Sur le trajet Korn ne dit rien, mais on peut lire la peur dans ces yeux, tout ce monde, cette foule il ne connait pas, l’aéroport est surement ce qui l’effraye le plus, il reste alors très proche de ces nouveaux parents, cette fois il est accroché à la main de sa mère et refuse de la lâcher, au moment de passer les portiques de sécurité il faut presque 5 minutes pour le faire lâcher prise. Au moment de monter dans l’avion il est épuisé, il va dormir presque tout le temps du vol. Lorsqu’ils arrivent enfin à destination, il n’a toujours pas prononcé un mot, tenant toujours la main de sa mère. Dans l’aéroport américain c’est un choc énorme pour ce petit garçon. Les gens sont bizarres, leurs vêtements sont bizarres, leurs visages aussi. Il est perdu, complètement déboussolé. Il leur faut encore ensuite assez peu de temps pour arriver enfin à destination Marple Spring. Pour Korn ce voyage fut un calvaire, et une fois arrivé les choses ne s’améliore pas, il ne comprend pas où il est, il ne comprend pas non plus qu’il n’est plus dans son pays d’origine, et parce qu’il ne parle pas la langue de ces parents la communication est impossible. Ces parents tentent de lui faire visiter la maison et quand il arrive dans sa chambre c’est à nouveau un choc. La pièce est très grande pour Korn, lui qui dormait dans un dortoir avec plus de 20 autres enfants, avoir tout cet espace pour lui est inconcevable. Le lit est en hauteur avec un toboggan pour descendre, et plein de jouets partout, surement le rêve de tous les enfants, mais pour Korn c’est déstabilisant il n’avait jamais rêvé de tout ça, il ne savait même pas que ça existait. Sous son lit il y a un genre de cachette, et très vite il va s’y installer. Les premiers jours c’est là qu’il va d’ailleurs passer beaucoup de temps. Il mange très peu aussi, il faut dire que les burgers il ne connait pas très bien, lui qui mangeait du riz à tous les repas. Mais ces parents sont patients et c’est grâce à leur patience et leur dévouement que les choses vont petit à petit s’améliorer.
La première année fut la plus dur, mais Korn ayant fini par comprendre qu’il était en sécurité avec eux, il s’est ouvert petit à petit. Il a cependant mis beaucoup de temps à parler, il n’était déjà pas très bavard à l’orphelinat et avec le changement d’environnement ça n’a pas aidé. Il était suivi dès le début par une pédopsychologue spécialisé dans les adoptions, elle a été d’un grand soutient pour la famille.
Petit à petit Korn, qui avait maintenant comme second prénom Aiden, a commencé à parler, a l’école il était très en retrait, et au début parce qu’il ne comprenait pas ce que disait les profs c’était un peu dur, mais l’avantage de vivre dans une petite ville, tout le monde ou presque savait qu’il était adopté, et les profs étaient très gentil et voulait l’aider. Korn s’est laissé apprivoisé petit à petit, la gentillesse des gens aidant.
En grandissant, Korn a pris de plus en plus d’assurance, et l’anglais a bien vite remplacé le thaï, il s’est fait des amis, fini les brimades de l’orphelinat, il pouvait enfin jouer avec les autres enfants. Bon certains le regardaient un peu bizarrement parce qu’il était un peu différent, mais il avait toujours des gens pour le défendre. A l’âge de 10 ans, il a demandé à tout le monde de l’appeler Aiden, il ne voulait plus qu’on l’appelle Korn, c’est à cette époque qu’il a commencé à enterrer son passé, il ne voulait plus qu’on lui en parle, il était Aiden, un garçon américain et non plus Korn le petit garçon adopté à l’autre bout du monde.
A l’adolescence, il a comme tous les garçons de son âge découvert l’amour, et c’est la que sa différence à jouer en sa faveur, les filles ont vite craqués pour le jeune homme un peu bronzé. Il n’en a pas joué beaucoup, n’étant pas un don juan dans l’âme, mais il a pris un peu plus confiance en lui grâce à ça. Il a eu quelques copines mais rien de bien sérieux.
Le jour de ces 18 ans, ces parents lui ont remis une lettre. Ça faisait bien longtemps qu’ils n’avaient plus parler de son adoption, un sujet devenu un peu tabou car le jeune homme ne voulait plus en parler. La lettre en question était écrite de la main de sa mère biologique, écrite en Thaï, il était impossible pour Aiden de la comprendre, et il a prétendu s’en moquer. Mais une fois seul dans sa chambre, beaucoup de souvenir lui sont revenus. Lui qui avait toujours prétendu ne plus vraiment se souvenir de sa vie en Thaïlande, tout les souvenirs enfouis sont remontés en surface, l’orphelinat, les brimades, la précarité. Pour Aiden c’était comme un mauvais rêve, comme si tous ces souvenirs n’étaient pas réels lui qui avait désormais une vie de prince avec des parents prêt à tout pour lui. Alors il a ranger la lettre, voulant une nouvelle fois fermer ce chapitre de sa vie. Mais plus les mois passaient plus la curiosité le hantait, que disait cette lettre ? Alors il a commencé à faire des recherches pour essayer de comprendre l’écriture. Petit à petit et sans rien dire à personne il a commencé à apprendre le Thaï, au début il voulait juste comprendre cette lettre rien d’autre, mais finalement c’est devenu important pour lui, plus il en apprenait sur la Thaïlande plus il avait envie de continuer. Lui n’avait connu que la misère là-bas, mais il y avait autre chose à apprendre.
Après plusieurs années d’apprentissage il est maintenant capable de lire, d’écrire et de comprendre le Thaï, il n’est pas parfaitement bilingue loin de là, mais il a un niveau suffisant pour comprendre un peu des programmes télés par exemple, il n’a encore jamais lu la lettre, maintenant qu’il le peut il a peur, il ne sait pas ce qu’il va découvrir dans ce mot et c’est ce qui l’effraye. Il la garde précieusement jusqu’au jour où enfin il aura le courage de l’ouvrir.

Aujourd’hui Aiden à 22 ans, c’est un jeune homme heureux, entouré de ces proches. Il est étudiant en photographie, il vit une vie paisible dans une ville plutôt tranquille. Il garde en lui beaucoup de choses, ce n’est pas un grand bavard et il y a beaucoup de sujet qu’il n’aime pas aborder mais il garde le sourire et continue sa route.

PSEUDO/PRÉNOM + Infinity. / Aline PAYS/REGION + Chiang Mai, Thailande. ÂGE + 27 ans. COMMENT T'ES ARRIVÉ JUSQUE LA ? + via Bazzart ^^. QUE PENSES-TU DU FORUM ? + je ne connais pas encore mais il m'a l'air très bien alors je tente. PARLE-NOUS DE TOI + Franc-Comtoise expartiée en Thaïlande, je fais du RPG depuis 7 ans maintenant, je tourne généralement plus sur les forums asiatiques mais j'ai eu un petit coup de coeur pour Marple Spring. CÉLÉBRITÉ LOUÉE + Art de son vrai nom Pakpoom Juanchainat. PERSONNAGE INVENTÉ SCÉNARIO OU PV ? + 100% inventé. ACCEPTEZ-VOUS LE DOUBLON DE VOTRE PRÉNOM ? + oui.

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Dernière édition par Aiden Bowman le Jeu 1 Mar - 6:33, édité 1 fois
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F. Rose Harrington
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aiden bowman × not sure of who i am Yu5u
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Message aiden bowman × not sure of who i am › Mer 28 Fév - 10:21
Bienvenue parmi nous :hug:
Ravis que le forum t'es taper dans l'oeil, merci de nous avoir rejoint.
Bon jeu sur le forum et en cas de question etc hésite pas surtout :coeur:
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https://marplespring.forumactif.org/t1651-rose-a-heart-that-hurts-is-a-heart-that-works https://marplespring.forumactif.org/t1655-rose-a-heart-that-hurts-is-a-heart-that-works http://ravensburg.forumgratuit.org/

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Message aiden bowman × not sure of who i am › Mer 28 Fév - 12:16
Bienvenue sur MS!
Bon courage pour ta fichette^^
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Message aiden bowman × not sure of who i am › Mer 28 Fév - 20:38
Bienvenue par ici et bonne continuation pour ta fiche ;)
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Message aiden bowman × not sure of who i am › Jeu 1 Mar - 6:34
Merci :)

je pense avoir fini ma fiche ^^
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Message aiden bowman × not sure of who i am › Jeu 1 Mar - 12:09
J'ai failli pleurer en lisant l'histoire >.<
bienvenue parmi nous! Et je te valide :aww: bon je parmi nous!



Félicitation tu es validé(e)

Tout d'abord, nous te remercions de t'être inscrit(e) sur MARPLE SPRING :canard: Tu t'amuseras parmi nous, tu verras, on est un peu taré quand même, mais chut :zinzin: Tu peux dès à présent poster partout sur le forum, t'occuper de ton personnage, venir nous rejoindre sur le flood et autre.

Gestion du personnage
Pour commencer, veille à remplir tous les champs de ton profil. Ce n'est pas obligatoire, mais c'est toujours plus agréable. Tu peux aussi mettre une signature pour rendre tes postes plus agréables.

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Scénarios & cie.
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