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SAM ⬗ I'm good at moving large amounts of heroin. Empty
Message SAM ⬗ I'm good at moving large amounts of heroin. › Jeu 7 Sep - 1:54


Sam Weaver

Je m'appelle Sam Weaver, et même si je ne les fais pas, j'ai 35 ans. Mais cela reste entre nous. Je suis née le 02/02/1982, dans la magnifique ville de Détroit (MI), Etats-Unis. Pour passer le temps je suis à la recherche d'un emploi, et je suis à Marple Spring depuis quelques jours seulement (Stranger in a strange land). Actuellement je suis en couple. D'ailleurs je suis homosexuelle, si jamais cela t’intéresse. Mais ce qui m'énerve (ou pas), c'est d'être sans cesse comparé à Laura Prepon.

Froide Cynique Marrante Papivore  Silencieuse Secrète Loyale Franche Autoritaire Mystérieuse Romantique Directe Colérique Méfiante
Sam a un besoin irrésistible de bouger Elle lit énormément et se promène toujours - ou presque - avec un bouquin sur elle Elle porte des lunettes de vue noires. Elle a été dealer puis coordinatrice pour le cartel de drogues de Détroit Elle ne donne pas facilement sa confiance. Les seules personnes sur lesquelles elle peut compter sont ses amis du cartel de Détroit ainsi que Sasha Sam est éperdument amoureuse de Sasha. Elle ferait tout pour la protéger Elle ne sait pas trop quoi faire de sa vie mais pense à potentiellement s'orienter dans le secteur des livres Le trafic lui manque mais prend sur elle pour ne pas recommencer Elle est heureuse d'être de retour dans le Michigan puisque les seuls amis qu'elle n'ait jamais eus sont tous à Détroit Elle ment sur sa rencontre avec Sasha Sam s'est déjà retrouvée avec une arme braquée sur elle Elle sait se battre, et, parfois impulsive, peut être à l'origine du premier coup donné lors d'une bagarre. Elle ne lèvera cependant jamais la main sans raison, ni sur les personne qu'elle aime Elle déteste ses parents plus que quiconque Sam n'a peur de rien et s'habille toujours avec des vêtements sombres Elle a un certain sens de l'humour mais reste souvent cynique dans ses propos Elle a toujours su qu'elle aimait les filles

L'histoire de ma vie


« Mon problème premier, c’est ma famille. Ou peut-être n’est-ce pas le premier, mais qu'importe sa place dans la hiérarchie, elle reste un problème. Si pour la majeure partie des gens la famille est synonyme de havre de paix, d'amour et de bonheur, la mienne en est à l’antipode le plus total. »

La famille. Un sujet sensible pour Samantha Weaver. Élevée à Détroit au sein d'un foyer peu démonstratif, la fille de Peter et Joan n’a jamais vraiment trouvé sa place, ressentant dès son plus jeune âge le fardeau qu’elle représentait pour ses géniteurs.

« Peter et Joan n’ont jamais été là pour moi. Même en m’efforçant de me souvenir, je crois qu'ils n'ont fait qu'une seule chose pour me faire plaisir au cours de mon enfance. Je devais avoir cinq ou six ans, pas plus. Je le sais parce que j'ai une photo qui témoigne de ce moment rare - unique, même - et je porte mes baskets colorées que j'avais en entrant à l'école primaire. Ça devait être un week-end, un samedi très probablement. Ils avaient entrepris de m'emmener faire une balade à cheval. À tous les coups, le centre équestre devait offrir des rabais. Et même si c'était une aubaine, pour eux, puisqu'ils n'avaient pas à s'occuper de leur gamine pendant une demi-journée, je me suis longuement rattachée à ce souvenir pour ne pas entacher l’image que j'avais d’eux et croire encore un peu que tout n'était pas si différent dans ma famille que dans celle des autres. »

Était-ce la vérité ? Peter et Joan avaient-ils laissés Samantha au centre équestre pour ne pas l’avoir dans les pattes, ou était-ce simplement pour lui faire plaisir ? La deuxième option n'était depuis longtemps plus envisageable pour la jeune Weaver, qui se raccrochait donc à la première. Au fil des années, et à force d’être considérée comme le “vilain petit canard”, Samantha avait compris quelle était sa place au sein de ce foyer. Manger sans faire de bruit, débarrasser la table, aller faire les commissions, partir chez des copains sans jamais les inviter en retour : en somme, vivre dans son coin, sans déranger le confort de ceux qui lui avaient, visiblement par mégarde, donné la vie.

« Ce n'est que plus tard, en grandissant, que j'ai compris tout ça. J'ai compris que Peter et Joan n’agissaient nullement comme des parents à mon égard. Chez mes amis de l'école, rien ne se passait comme chez moi. Chez eux, tout semblait normal, je les enviais d'être ainsi aimés. »

L'amour. Une notion étrangère à Peter et Joan envers Samantha, tout autant qu'elle l'est aujourd'hui pour cette dernière à l'égard de ses géniteurs. C'est à l'adolescence que Samantha a réellement pris conscience des choses et ressenti le non-désir de ses parents de l'avoir. Elle était le boulet attaché à chacune de leur cheville, qui les empêchait de mener leurs projets comme ils l'entendaient. C'est ainsi qu’elle a entrepris de faire sa vie, de son côté.

« Quatorze ans. C'est l'âge de la crise d'ado, ça, non ? Qualifiez cette partie de ma vie comme vous le voudrez, moi, il me fallait m'éloigner de cet enfer que je vivais en compagnie de Peter et Joan. Lorsque l'on dit que l'indifférence est le pire des mépris, croyez-moi, c'est bel et bien le cas. C'est face à l'indifférence de mes parents que j'ai dû me trouver un terrain de jeu. Un endroit qui serait exclusivement à moi, qui me procurerait une adrénaline telle, qu'enfin je me sentirais en vie. »

L'adrénaline. Elle l’a trouvée. Non pas par l'intermédiaire de cours de danse ou d’initiation à l’art, mais plutôt en traînant dans les bas quartiers. C'est grâce à un camarade de classe que Samantha a commencé à devenir guetteur pour des passeurs de drogues. Elle avait quatorze ans, ressentait les risques qu’elle prenait, mais ne touchait jamais à ces pilules aux formes variées et à ces poudres blanchâtres. Son unique mission était de rester planquée à un poste précis et de surveiller l’arrivée de toute gêne éventuelle ; en premier, lieu la police.

« Si les flics arrivaient, il me suffisait de courir à plein poumon afin de rejoindre le lieu d’échange de la marchandise contre de l'argent. Par des signaux divers, j'interpellais les mecs pour qui je bossais et ils stoppaient tout. »

Même si elle avait conscience du danger, être en extérieur le soir et tremper dans l'illégalité était ce qui la faisait vibrer. Elle n’avait que quatorze ans, et pourtant, ses parents ne se préoccupaient pas de savoir où elle traînait jusqu'à pas d’heure. C'est dehors qu’elle se sentait bien, avec ces mecs louches au passé et au présent douteux. Tout cela sans parler de l'argent facile qu’elle se faisait, sans jamais avoir le moindre gramme de drogue dans les mains. Avec eux, elle se construisait une famille. Une famille qu’elle n’avait jamais eu, tout en apprenant les règles pour ne pas se faire enfler dans ce genre d'activité : toujours se méfier, rarement accorder sa confiance.

« Ils m’ont tout appris. Ils m’ont donné ma chance et m’ont extirpé de l'enfer de chez mes parents. À seize ans, j'ai demandé à Peter et Joan mon émancipation. Je voulais me barrer de chez eux, vivre enfin ma vie, ne plus dépendre en aucune façon de ce lien de filiation. Je ne sais par quel foutu hasard, sans doute pour me faire chier, ils ont refusé. »

L'attention que Peter et Joan portait à leur fille, en revanche, ne s’était jamais améliorée. Ils ont refusé son émancipation sans explication. Samantha, elle, n’avait pas les ressources suffisantes pour demander l’aide d’un avocat. Elle a laissé tomber cette idée, squattant dès ses dix-sept ans chez des amis. C’est à ce moment là, d'ailleurs, qu'elle a mis un point d'honneur à ce qu'on l'appelle Sam. Samantha était de l'ancien temps, de son ancienne vie. Désormais, c'était Sam. Juste Sam, qui ne dépendait plus de Peter et Joan. Elle ne vivait plus chez eux, elle créchait à droite à gauche, changeant de lieu de vie selon les disponibilités de chacun.

« Il était hors de question que je retourne chez ces gens qui n'ont jamais eu la moindre considération pour moi. Tonio, Trish, Matt, Drew, tous étaient là pour moi, à la différence de Peter et Joan. Ils étaient plus âgés et avaient déjà leur indépendance. Je les aidais financièrement et ils m’invitaient à de toutes sortes de soirées. »

Son argent demeurait de l'argent sale. Pendant plusieurs années, Sam a continué son rôle de guetteur. À dix-huit ans, une fois son diplôme en poche, on lui proposa enfin de vendre. Connaissant parfaitement ce milieu dans lequel elle baignait depuis des années ainsi que la facilité à se faire de l’argent, la jeune femme accepta avec entrain, se fichant éperdument de ne pas faire d’études. Petit à petit, elle prit la relève de ceux qui faisaient ça depuis des années tout en se formant son propre réseau d’habitués.

« À cet âge-là, il m’est arrivé de consommer. Dans les soirées auxquelles je participais, la drogue tournait aisément, et c'était tant mieux pour moi puisque cela me permettait d’écouler mes stocks. C'est à force de travail bien fait et de confiance établie que mon boss a accepté que j'élargisse mon champ d’action. »

Détroit n'est dès lors plus devenue son unique terrain de jeu. Rapidement, Sam s’est occupée de fournir les villes environnantes, prenant toujours soin de ne pas empiéter sur les plates-bandes des différents cartels. Ceux pour qui elle travaillait ont gagné en notoriété, jusqu’à devenir un groupe organisé et reconnu dans le milieu. Le rôle qu’a alors eu à jouer Sam a changé. Quittant la rue, la brune est devenue coordinatrice pour son cartel. C’est elle qui s’occupait des transferts importants de drogues, usant de stratégies toujours plus impressionnantes pour échapper aux douanes. Une activité qui lui demandait de l’ingéniosité, de la réflexion mais aussi de la spontanéité. Il lui arrivait de devoir se déplacer elle-même pour mener à bien un transfert et éviter de courir le risque de voir le cartel se faire démanteler.

« Du jour au lendemain, je pouvais tout perdre. Je le savais. J’en avais conscience. Il suffisait d’un seul faux pas pour que les flics débarquent dans chacun de nos appartements et trouvent des substances illicites et des liasses de billets planquées dans nos placards. C’est ce risque qui m’a toujours animé. J’étais douée, je le savais, j’avais appris avec les meilleurs et nos activités marchaient on ne peut plus bien. »

Son “travail” n’était pas ordinaire. Il ne pouvait, à vrai dire, pas même être qualifié de travail. Pourtant, Sam mettait du cœur à l’ouvrage pour que tout se déroule toujours au mieux. Ses journées étaient chargées et ses soirées s’écoulaient la majeure partie du temps dans différents clubs. Bien que restée dans les alentours de Détroit, sa ville natale, la jeune femme n’avait plus aucun contact avec ses parents, et cela ne semblait chagriner personne. Puis, tous les deux ans en moyenne, Sam a entrepris de changer de ville, descendant toujours un peu plus au sud, afin d’étendre davantage son champ d’action.

« A trente ans, ma vie était quelque peu différente. J’avais quitté Détroit, même si mes amis et mon boss étaient toujours plus ou moins dans cette région. Je suis allée jusqu’en Ohio, à Columbus plus précisément, pour y implanter notre petit business. »

Le cartel pour lequel elle travaillait était connu et reconnu dans le milieu. Sans même qu’elle ne le sache, son nom commençait à tourner et l’image qu’elle renvoyait était plutôt bonne. Une femme intrépide qui n’avait pas peur de se mouiller, évidemment, ça faisait parler. Établie à Columbus, Sam continua ses activités, suivant de loin les directives de son boss. Parmi ses clients réguliers, figurait notamment une maison de passe, tenue d’une main de maître par Cesario.

« Les quantités qu’il fallait faire entrer au Loony’s étaient impressionnantes. Cesario avait plus d’une nana sous le coude. La plupart des filles se défonçait du matin au soir pour supporter l’attitude de leurs clients et prenaient parfois même des doses avec ces derniers. En soit, c’était tout bénéf’ pour moi. »

Dire que Sam n’avait que peu de considération pour ces femmes aurait été mentir. Elle ne les plaignait pas, ne les jugeait pas non plus, mais ne pouvait s’imaginer à leur place. Elle évitait ainsi de faire divaguer son regard sur ces corps frêles et abîmés lorsqu’elle se rendait au Loony’s pour voir Cesario.

« J’essayais au maximum de les éviter. Seulement, elles savaient qui j’étais et n’hésitez pas à m’intercepter lorsqu’elles avaient un besoin urgent de met’, crack, héro ou coke. Puis il y eut cette fois, où ce fut Sasha qui vint me demander une dose. »

Sasha. La brune ne l’avait jamais vue auparavant, bien qu’elle traitait avec le Loony’s et qu’elle traînait avec Cesario depuis près de deux ans. C’était la première fois qu’elle croisait cette femme, d’apparence fragile mais au regard bien différent de ceux éteints des autres filles. A partir de ce moment, Sam se promit d’en apprendre plus sur Sasha. C’est ainsi qu’elle se rendit au Loomy’s pour voir Cesario de plus en plus fréquemment, toujours dans l’espoir de croiser cette jolie blonde qui avait fait naître chez elle un intérêt certain. Lorsqu’elle avait la chance de l’apercevoir, Sam se jouait de différents regards pour tenter d’attirer l’attention de sa belle. Ses tentatives se soldaient, tout au plus, par un demi-sourire de la blonde, qui réussissait tout de même à faire naître celui de la brune.  
« Sasha dégageait quelque chose qui m’intriguait et m’intéressait. Elle était différente. Dans son attitude, dans son regard… Plus le temps passait, plus je me sentais attirée par cette femme dont je ne connaissais que le prénom. Je mourrais d’envie de l’approcher et d’en savoir plus sur qui se cachait derrière ces jolis yeux bleus. »

Approcher une femme dans la situation de Sasha n’était pas chose aisée. Si Sam avait relevé bien des défis de séduction auprès de la gente féminine, jamais elle ne s’était frottée à ce genre d’enjeu. Comment l’approcher, pour ne pas la faire s’envoler ? Il fallait y aller en douceur. Et pour ce faire, Sam ne trouva rien de mieux que de la piéger. Elle réserva une chambre auprès de Cesario pour les services de Sasha. Lorsqu’elle expliqua à cette dernière qu’elle n’était pas venue pour son corps, mais pour discuter, la blonde eut bien du mal à comprendre. Leur première entrevue fut surtout rythmée par les paroles de Sam, qui tentait désespérément de se faire comprendre auprès d’une Sasha bien mal en point à cause des drogues qu’elle offrait en abondance à son corps.

« Au bout de plusieurs semaines, un semblant de confiance semblait s’instaurer entre nous. C’est alors que j’ai essayé de parler à Sasha de sa consommation de stup’, lui conseillant de ralentir la cadence et lui proposant mon aide dans le même temps. Mais elle n’a pas voulu… Alors, derrière son dos, j’ai commencé à couper ce que je lui filais, afin que ses doses soient moins fortes. Je sais que ce n’est pas noble, d’autant plus que je n’avais jamais eu pour habitude de vendre de la merde. Mais je ne pouvais décemment pas continuer d’être spectatrice de sa descente aux enfers. Tout était encore possible pour elle. »

Son espoir, Sam l’avait placé en Sasha. Elle la croyait capable de réussir de belles choses, mais pour ce faire, il fallait qu’elle sorte de ce trou. La première étape du processus était de parvenir à sa sobriété, pour enfin qu’elle retrouve la volonté de s’en sortir.  Ensuite seulement, Sam pourrait la sortir de tout ce merdier.

Ce premier pari fut gagnant, puisque peu à peu Sasha se sevra, ressentant de moins en moins cette dépendance qui la liait tant auparavant. Fière de cette réussite, Sam finit par lui révéler la vérité, lui apprenant ainsi que les doses qu’elle lui donnait étaient coupées. Un aveu qui eut du mal à passer, puisque Sasha envoya bouler Sam, qui ne manqua dès lors pas l’occasion d’aller fricoter avec une autre. Ne pouvant cependant pas abandonner la blonde en de pareilles circonstances, Sam finit par revenir au Loony’s. Sasha, enfin prête à lui pardonner sa supercherie, ne manque tout de même pas de lui infliger une baffe bien méritée lorsqu’elle apprend que Sam ne s’est pas privée d’aller voir ailleurs. Une attitude surprenante de la part de Sasha, qui, pour une fois, exprime un sentiment. Tout cela a pour effet d’attirer l’attention de Cesario sur la relation partagée entre les deux femmes. Pour lui, il est hors de question que Sasha tombe amoureuse et qu’elle nuise aux affaires. C’est lui qui a de l’emprise sur elle, non Sam, et il va leur faire comprendre.

Cette emprise de Cesario sur Sasha, Sam en était consciente. Elle ne l’avait seulement pas évaluée à sa juste valeur. Lancée dans cette relation avec Sasha depuis plusieurs mois, il avait fallu que plusieurs semaines s’écoulent avant qu’elle ne comprenne la véritable attitude de Cesario à l’égard de la blonde.

« Sasha et moi étions ensemble, du moins, c’était tout comme. Et même si personne ne le savait, même si nous ne nous voyions qu’au Loony’s, Cesario l’a compris. C’est ainsi qu’il a commencé à profiter des faveurs sexuelles de Sasha, sans même avoir son consentement. Ce connard a abusé d’elle, à plusieurs reprises. Je ne l’ai pas compris de suite, et ça, je ne me le pardonnerais jamais. Au début, Sasha expliquait les bleus sur son corps comme la conséquence de chutes et de chocs. La situation m’étonnait, puisqu’elle ne prenait plus vraiment de substances et qu’elle commençait réellement à remonter la pente. Puis il y eut ce soir, où les sévices qu’il lui avait infligé avaient laissés des traces plus importantes, plus marquées, plus profondes. »

En découvrant le corps de sa belle, Sam avait fini par comprendre. Si sa “petite-amie” voyait de nombreux hommes passer dans son lit, jamais l’un d’entre eux n’avait été violent au point de lui laisser des blessures. La conséquence de ces dernières était assurément due à la non-volonté de Sasha d’avoir ces rapports. Il fallut du temps à la blonde avant d’enfin avouer à Sam ce qu’il se passait avec Cesario.

« Quand j’ai compris ce qu’il faisait, quand j’ai compris ce qu’il infligeait à Sasha, j’ai cru que j’allais le tuer. »

Tremper dans des affaires louches et illégales, oui, mais tuer… Non, Sam ne l’avait jamais fait. Ce n’était pas elle, ça ne lui ressemblait pas. Pourtant, en apprenant qu’un homme avait pu se servir de la femme qu’elle aimait, la brune s’en était pour la première fois sentie capable. Ce n’était plus de la haine qui l’habitait, c’était un sentiment qui allait bien au-delà et qui était bien plus ignoble. Si Sasha n’avait pas été là, elle l’aurait fait. Elle l’aurait tué.

« Je ne l’ai pas fait, parce que… Sasha a su me raisonner. Si l’abattre comme un chien était tout ce qui méritait, cela nous aurait nuit et nous aurions tout perdu. Alors, il m’a fallu trouver une autre vengeance. »

Consciente qu’elle ne pouvait pas prendre le risque de causer des troubles dans la vie de Sasha, Sam due penser une autre vengeance. Celle-ci fut planifiée et réfléchie pendant des semaines, jusqu’au jour J. Profitant d’une absence de Cesario, Sam feignit d’apporter une livraison pour s’immiscer dans le bureau du proxénète et s’emparer de tout l’argent qu’il y planquait. Elle ne se priva d’ailleurs pas pour retourner le lieu et le rendre sans dessus-dessous, avant de tirer des coups de feu dans le mur pour effrayer les filles et clients présents. Son plan ne manqua pas, puisqu’en une fraction de seconde, le lieu fut terrain de peur. Un vacarme impressionnant se mit à retentir, alors que tout le monde cherchait déjà à s’extirper dans l’espoir de sauver sa peau. Dans un tel capharnaüm, les clients se sont sauvés, des choses ont été cassées et des réparations ont probablement dues être planifiées. Sam n’en sait pas plus sur ce dernier point, puisqu’elle avait quitté les lieux aussi rapidement que possible en compagnie de Sasha, mais elle continue aujourd’hui d’espérer que cette scène a entaché la notoriété de Cesario et du Loony’s.

« Après avoir pris la fuite, nous nous sommes retrouvées en cavale. Elle était Bonnie, j’étais Clyde, et rien ne pouvait me rendre plus heureuse. »

Cela faisait près d’un an et demi que Sam fréquentait Sasha et enfin elles pouvaient vivre leur histoire au grand jour. Leur cavale dura un an. Une année entière passée sur les routes, à vivre des économies de Sam et de l’argent qu’elles avaient volées à Cesario. Dans une vieille voiture, les deux femmes changeaient de ville de jour en jour, vivant seulement "d’amour et d’eau fraîche", et cela semblait les contenter. Sam était aux côtés de la femme qu’elle aimait et celle-ci avait enfin retrouvé sa liberté.

« Malheureusement, cette vie n’était que provisoire, et nous le savions. Si j’aurais aimé que jamais ces instants ne cessent, la réalité nous a bien vite rattrapée à mesure que nos économies disparaissaient. »

Sans rentrée d’argent fixe, les deux femmes furent effectivement obligées de trouver une solution de repli et de s’établir quelque part. C’est ainsi qu’elles arrivèrent à New York City. Si Sam était toujours en contact avec ses amis de Detroit, elle ne souhaitait toutefois pas reprendre ses activités. Certes, c’était son milieu, ce qu’elle avait toujours fait. Mais pour Sasha, elle se sentait prête à changer. Être coordinatrice d’un cartel de drogue n’était pas chose la plus sensée pour elle qui vivait avec une femme qui fut longtemps dépendante de ces substances.

« Maintenant que j'étais là, à New York, c’était comme si la vie me donnait une nouvelle chance. Une chance de faire les choses bien. Surtout et avant tout pour Sasha. »

Si sa volonté de fuir les activités illégales de New York était forte, ce sont ces dernières qui sont venues à elle. Les grandes pointures des quartiers, affiliées à divers gangs de la ville, n’ont pas mis longtemps avant de repérer cette ancienne dealeuse renommée. Ce fut lorsqu’un responsable des dealeurs de NY l’approcha d’un peu trop près, que Sam commença à parler de tout cela à Sasha.

« Il voulait que je travaille pour lui. Pour ce gang. Il disait que je pouvais leur rapporter gros, tout comme je pouvais perdre gros en refusant… La seule solution était de quitter New York. »

Pour ne pas replonger, l’unique option était donc de partir. Sasha ne s’opposa pas à cette idée, sans doute contente de quitter l’effervescence New-Yorkaise. Les deux femmes cherchèrent donc à se rapprocher de Détroit, ville de naissance de Sam, où celle-ci y a encore ses plus proches amis, toujours affiliés au Cartel de drogues. Se pensant désormais loin des ennuis, Sam espère qu’elle arrivera à devenir Madame-tout-le-monde à Marple Spring, et ce malgré son apparence glaciale et son vocabulaire parfois bien trop familier.  

PSEUDO/PRÉNOM + chamallow. PAYS/REGION + France. ÂGE + 22. COMMENT T'ES ARRIVÉ JUSQUE LA ? + top site. QUE PENSES-TU DU FORUM ? + j'ai accroché avec le contexte et le design, so here I am ! J'attends d'en voir plus avant de me prononcer davantage (a). PARLE-NOUS DE TOI + Je suis étudiante en droit. Je vais déménager dans quelques jours en Île-de-France et j'ai vécu presque un an au Québec. C'était une expérience incroyable que je serais prête à recommencer sans hésiter ! CÉLÉBRITÉ LOUÉE + Laura Prepon. PERSONNAGE INVENTÉ SCÉNARIO OU PV ? + inventé. ACCEPTEZ-VOUS LE DOUBLON DE VOTRE PRÉNOM ? + non.

fiche créée par © Summers & Rinema


Dernière édition par Sam Weaver le Dim 10 Sep - 18:03, édité 6 fois
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Message SAM ⬗ I'm good at moving large amounts of heroin. › Jeu 7 Sep - 5:16
Ouh :aww: C'est Donna dans That 70's Show :D

Bienvenue dans le coin et bon courage pour la suite :coeur:
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Message SAM ⬗ I'm good at moving large amounts of heroin. › Jeu 7 Sep - 6:59
Bienvenue par ici et bonne chance pour cette fiche :aloa:
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Message SAM ⬗ I'm good at moving large amounts of heroin. › Jeu 7 Sep - 8:42
Bienvenue par ici :coeur:
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Message SAM ⬗ I'm good at moving large amounts of heroin. › Jeu 7 Sep - 9:22
Bienvenue parmi nous :D
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Adminchou
W. Oskar Hopkins
W. Oskar Hopkins
SAM ⬗ I'm good at moving large amounts of heroin. Yuqe
Lost in my mind.

Age : 39
Né(e) le : 06/07/1984
Quartier : Est
Je suis : Ancien militaire (traqueur, pisteur), musicien à mes heures perdus.
Inscrit depuis : 01/07/2017
Messages : 942
Célébrité : Tom Hiddleston
Rps en cours : Indisponible.

TalyaMielle

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Message SAM ⬗ I'm good at moving large amounts of heroin. › Jeu 7 Sep - 10:27
On as pas les même références Lana :mdr: Moi je pense direct à Orange Is The New Black :mdr:
Bienvenue parmi nous en tout cas, merci de nous avoir rejoint.
Bon jeu et hâte de te lire et de voir ce que tu va faire de ton personnage :hug:
Si tu as des questions ou autre, hésite pas surtout.
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https://marplespring.forumactif.org/t2345-oskar-we-all-have-two-lives-the-second-one-starts-when-we-realize-that-we-only-have-one#50125 https://marplespring.forumactif.org/t2351-oskar-mad-world#50243

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Message SAM ⬗ I'm good at moving large amounts of heroin. › Jeu 7 Sep - 11:09
Bienvenue avec cette petite tête d'elfe (je suis fasciné par les oreilles qui dépassent ainsi des cheveux) malgré que je ne connaisse pas du tout l'actrice, étant beaucoup moins culturé que MVDD :x
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Message SAM ⬗ I'm good at moving large amounts of heroin. › Jeu 7 Sep - 12:08
Merciiii à vous tous. SAM ⬗ I'm good at moving large amounts of heroin. 17496471

En effet il s'agit bien de Donna ou Alex, c'est selon :D (ou simplement de Sam Weaver pour ceux qui ne la connaissent pas du tout. cc @Alexei V. Kramarenko). Pour le coup le personnage se rapprochera davantage de celui d'Alex mais je vous laisse découvrir son histoire avant d'en dire davantage. :yes:
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Message SAM ⬗ I'm good at moving large amounts of heroin. › Jeu 7 Sep - 13:14
Bienvenue parmi nous :suisla:
Alex, c'est ça, j'avais mangée sont nom dans OITNB ;P
Je vois que tu as terminée ta fiche, oublie pas de la signalée dans le sujet adéquat.
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Message SAM ⬗ I'm good at moving large amounts of heroin. › Jeu 7 Sep - 13:26
bienvenue et bonne rédaction  SAM ⬗ I'm good at moving large amounts of heroin. 953116116
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Message SAM ⬗ I'm good at moving large amounts of heroin. › Jeu 7 Sep - 13:31
Zoela L. Lewis a écrit:
Bienvenue parmi nous :suisla:
Alex, c'est ça, j'avais mangée sont nom dans OITNB ;P
Je vois que tu as terminée ta fiche, oublie pas de la signalée dans le sujet adéquat.

Meeerci ! Je n'ai pas encore tout a fait terminé ma fiche, mais évidemment, j'irai la signaler une fois finie !  :heros:

E. Ainsley O'Connell a écrit:
bienvenue et bonne rédaction  SAM ⬗ I'm good at moving large amounts of heroin. 953116116

Merci beaucoup. :oui:
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Adminchou
F. Rose Harrington
F. Rose Harrington
SAM ⬗ I'm good at moving large amounts of heroin. Yu5u
I've learned to forgive but it’s almost impossible to forget.

Age : 39
Né(e) le : 31/10/1984
Quartier : Est de la ville.
Je suis : Propriétaire et serveuse du Leeloo's coffee
Inscrit depuis : 28/12/2016
Messages : 1764
Célébrité : Eva Green
Rps en cours : Indisponible.

TristanJaneLeowMel & IsaacDanae ⊰ Manny


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Message SAM ⬗ I'm good at moving large amounts of heroin. › Jeu 7 Sep - 13:56
Ah oui j'avais pas vue :cache:
Zut, bienvenue parmi nous, je fais le combo du coup :mdr:
Que cela soit moi, la rousse électrique ou le beau goss torse poil c'est pareil :bande:
Mais bon du coup je vais commencer à lire ta fiche.
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https://marplespring.forumactif.org/t1651-rose-a-heart-that-hurts-is-a-heart-that-works https://marplespring.forumactif.org/t1655-rose-a-heart-that-hurts-is-a-heart-that-works http://ravensburg.forumgratuit.org/

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Message SAM ⬗ I'm good at moving large amounts of heroin. › Jeu 7 Sep - 14:04
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Message SAM ⬗ I'm good at moving large amounts of heroin. › Jeu 7 Sep - 14:13
F. Rose Harrington a écrit:
Ah oui j'avais pas vue :cache:
Zut, bienvenue parmi nous, je fais le combo du coup :mdr:
Que cela soit moi, la rousse électrique ou le beau goss torse poil c'est pareil :bande:
Mais bon du coup je vais commencer à lire ta fiche.

Il n'y a pas de souci, j'avais presque terminé, puisque voilà, elle est finie cette fois-ci !
Le moins que l'on puisse dire c'est que tu as sacrément du goût en matière d'avatars, ils sont tous super. :nooo: J'avoue que j'ai un faible tout particulier pour Eva Green.  :--:
Bonne lecture, en espérant que ça te plaise ! :aww:

Sasha Brown a écrit:
Spoiler:
Salut toi. :--: :calin:
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Adminchou
F. Rose Harrington
F. Rose Harrington
SAM ⬗ I'm good at moving large amounts of heroin. Yu5u
I've learned to forgive but it’s almost impossible to forget.

Age : 39
Né(e) le : 31/10/1984
Quartier : Est de la ville.
Je suis : Propriétaire et serveuse du Leeloo's coffee
Inscrit depuis : 28/12/2016
Messages : 1764
Célébrité : Eva Green
Rps en cours : Indisponible.

TristanJaneLeowMel & IsaacDanae ⊰ Manny


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Message SAM ⬗ I'm good at moving large amounts of heroin. › Jeu 7 Sep - 14:21
Merci :aww: J'avoue que Eva c'est ma chouchoute :bave: En même temps :bave:
Bref, bon bah du cou j'ai eut le temps de te lire et j'aime beaucoup ton histoire. même si effectivement elle ressemble assez à Alex de OITNB, j'a envie de voir l'évolution de Sam et aussi de Sasha du coup sur le forum.
Tu as une jolie plume, agréable à lire et fluide. Si l'occasion se présente cela serais avec plaisir que je ferais un Rp avec toi.

:string: Nous avons un Rcensement en cours, jusqu'à dimanche matin. N'oublie pas de t'y inscrire même si tu n'as pas encore le Rp demander vu que tu viens d'arriver.




Félicitation tu es validé(e)

Tout d'abord, nous te remercions de t'être inscrit(e) sur MARPLE SPRING  :canard:    Tu t'amuseras parmi nous, tu verras, on est un peu taré quand même, mais chut  :zinzin:  Tu peux dès à présent poster partout sur le forum, t'occuper de ton personnage, venir nous rejoindre sur le flood et autre.
Profil & signature
Pour commencer, veille à remplir tous les champs de ton profil. Ce n'est pas obligatoire, mais c'est toujours plus agréable. Tu peux aussi mettre une signature pour rendre tes postes plus agréables.

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Scénarios & cie.
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