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A heart that's broke is a heart that's been loved ♦ Séfia Empty
Message A heart that's broke is a heart that's been loved ♦ Séfia › Jeu 13 Juil - 23:34


Séfia Irina White

Je m'appelle Séfia Udinov, White depuis quelques mois , et même si je ne les fais pas, j'ai 26 ans. Mais cela reste entre nous. Je suis né(e) le 24/12 /1990 , dans la magnifique ville de Omsk en Russie . Pour passer le temps je suis au chômage pour l'instant , et je suis à Marple Spring depuis 1 mois (Stranger in a strange land). Actuellement je suis Mariée. D'ailleurs je suis Hétérosexuelle, si jamais cela t’intéresse. Mais ce qui m'énerve (ou pas), c'est d'être sans cesse comparé à Alysha Nett.

Douce Calme du moins quand on la cherche pas trop Jalouse Têtue Rancunière Battante Manipulatrice Tolérante   Sensible Sarcastique parfois Très secrète Franche sans être blessante Souriante
Séfia parle très peu d’elle, elle préfère écouter les autres. Elle n’aime pas évoquer son passé en Russie, elle ment à chaque fois qu’on lui demande ses origines. Seul Em’ est au courant de la vérité. Elle a vécue durant deux ans en France, elle parle d’ailleurs très bien le français, elle ne parle jamais Russe. Elle a un très fort accent Russe dès qu’elle parle anglais. Séfia a toujours un crayon entre les doigts, elle dessine toujours quand elle est dans ses pensées. Elle a remplis sa peau de tatouage pour éviter que les gens la dévisagent mais si on passe ses doigts sur ses tatouages on peut sentir encore les blessures, plus ou moins importantes qui se trouvent sur sa peau. Elle fait quelques crises de panique quand quelque chose la replonge dans son passé. Cependant elle en fait beaucoup moins aujourd’hui. Elle est complètement claustrophobe, c'est généralement ce que l'on développe quand un connard vous enferme dans un placard plusieurs jours de suite, sans aucun moyen de sortir. Elle se considère elle même comme une guerrière, une survivante et non comme une victime. Elle aime jouer au poker, elle est plutôt douée grâce à cette pratique elle a pu manger quand elle n’avait pas  d’argent.   Elle buvait rarement de l’alcool avant sa grossesse, elle détestait perdre le contrôle de ses actes. Mais elle fumait beaucoup par contre. Son mariage était à la base un mariage blanc pour lui éviter de perdre son visa de travail. Mais Em’ et elle étaient déjà amoureux l’un de l’autre avant de se dire oui. Elle est très nulle en cuisine, c’est une véritable catastrophe. Elle n’a jamais eu l’occasion de faire des études, cependant elle n’a jamais eu le temps de se sentir inférieure aux autres, elle était trop occupée à survivre. Elle ne supporte pas la violence envers les femmes. Trop de mauvais souvenirs lui reviennent en tête, et la douce Séfia peut devenir bien plus violente, si elle y est confrontée. Elle sera toujours franche avec vous, si vous êtes son ami elle vous défendra toujours comme une lionne avec ses enfants. Elle est très protectrice avec les gens qu’elle aime. Elle a toujours le sourire dès le réveil, elle fait en sorte de ne jamais le perdre, même si parfois il lui arrive de se forcer. Après quelques problèmes dans son couple, la jeune femme a proposé à son mari de partir de Paris afin de recommencer une toute nouvelle vie en famille.

L'histoire de ma vie


I. "Et alors il s'est passé quelque chose, je me suis laissé aller, dans un total oubli de moi même envahi par la nuit le silence et la plénitude. J'avais trouvé la liberté. Perdre tout espoir, c'était cela la liberté."

Un grincement tire Séfia du repos dont elle avait terriblement besoin. La lumière blafarde du couloir lui arrache un gémissement de douleur quand elle transperce sa rétine. Deux jours qu’elle n’avait pas vu la lumière, quelle qu’elle soit. Enfin approximativement et si on se fie à l’odeur qu’elle dégage, elle dirait que ça fait deux jours. Elle relève son corps perclus de douleur et admire la beauté russe qui lui fait face. Son géniteur. Son paternel. Ce bâtard incontournable est devant elle, un sourire mauvais sur ses lèvres pleines. Son sourire lui donne envie de vomir à ses pieds mais elle se retient. Deux jours ça suffit. « Est-ce que tu es calmé désormais ? » La boule de haine qui s’est formée au fond de son estomac menace de ressortir, d’exploser, mais elle la retient. Parce que c’est comme ça qu’elle a été élevée, ferme ta gueule et soit jolie. Les femmes ne sont que des poupées de porcelaines, fragiles et silencieuses. « Ouai. » La voix éraillée de la demoiselle sort difficilement de sa gorge. Elle a cette foutu impression d’avaler des aiguilles quand elle l’ouvre. Les hurlements qu’elle a poussés pendant les premières vingt-quatre heures n’ont pas arrangé sa voix naturellement rauque. Sans autre forme de procès elle se lève du sol, les yeux encore mis clos et sort du placard dans lequel sa famille l’a enfermée. Vous vous demandez sans doute pourquoi ? La réponse va venir prochainement ne vous en fait pas. Dimitri, son père, se ramène vers elle et passe ses doigts naturellement glacés sur son visage de poupée. Elle se crispe mais ne dit rien, elle se retient, elle jure sur tout ce qu’elle a de plus cher qu’un jour elle lui rendra chaque relent de peur, chaque hurlement au centuple. Elle le tuera. Un jour. Mais pas maintenant. « Bien. Maintenant va te laver. On t’attend dans une demie heure. » Une main glacée semble lui serrer le cœur, elle ne peut plus bouger, ni même respirer correctement. Bordel pas une crise de panique. Pas maintenant devant lui. Pas devant son père qui est attiré par l’odeur de la peur comme un putain de requin par l’odeur du sang. Elle s’oblige à ouvrir la bouche, à former des mots sans que sa voix ne flanche une seconde. « Je te déteste. » Un rire. Voilà sa réponse. Elle pourrait lui cracher dessus ça le ferait rire. Mais ne croyez pas qu’il ne se vengera pas. C’est un homme vicieux, il préfère attendre le bon moment. « Ouai je sais, mais j’en ai rien à foutre cука » Pute. Chienne. Voilà la traduction de ce mot doux prononcé par son paternel. C’est ainsi qu’il voit sa fille unique. Comme un moyen de gagner du fric sans bouger son cul du canapé. Elle ne répond rien, mais garde la tête haute, parce qu’elle est comme ça. Elle ne veut pas donner la satisfaction à son géniteur de la voir pleurer. Une fois dans la salle de bains, c’est une autre histoire. Relent de bile plongé dans la cuvette des toilettes. Larmes. Sanglots étouffés. Prière envers un Dieu auquel elle ne croit même pas. Mais le résultat fut le même. La demi-heure passée, elle se reprend, sèche ses longs cheveux blonds et se retrouve dans le salon dans les temps. Le sourire carnassier de son père répond à sa présence, il s’approche et lui murmure à l’oreille ses dernières paroles. « Puisque tu veux jouer les putes autant que tu le fasses en te faisant payer. » L’odeur de la vodka lui titille les narines, elle s’oblige à respirer par la bouche afin de calmer la panique qui monte en elle. Elle semble paralysée par la peur et par l’horreur de la situation dans laquelle elle se trouve. Toute cette histoire pour un simple dérapage avec son voisin. Un petit baiser échangé et un père qui n’a pas apprécié de voir l’adolescente avec un homme dans sa chambre. Et la punition de cet acte ? La vendre ? Comme une vulgaire putain. Son acheteur, un trentenaire au costard irréprochable s’approche d’elle et glisse ses doigts dégueulasses sur son visage. « Tout ira bien ma belle tu verras. » Le son de sa voix, son intonation et sa caresse la font frissonner de dégoût. Cette fois-ci, elle était foutue, elle le savait. Elle réprime un haut-le-cœur. Vomir sur les chaussures de son acheteur n’est pas une très bonne idée. « 100 000 roubles comme prévue monsieur Udinov. » Séfia s’est toujours demandé combien un homme pouvait valoir sur un marché aujourd’hui. Elle le sait désormais. Elle coûte 100 000 roubles. Moins de 2000€. Sa famille venait de la vendre, corps et âme pour même pas 2000€. Son acheteur la regarde en souriant et retient toute tentative de fuite en lui serrant le poignet. « Tu n’as aucun moyen de fuir ma jolie poupée blonde. Tu es à moi dorénavant. » Et techniquement il ne mentait pas. Elle était bien à lui. Sa propriété. Son bien matériel. Putain. Elle n’avait que quinze ans. Personne ne devrait subir ça. Ils peuvent bien prendre son corps, détruire son cœur et déchiqueté son âme, sa colère, sa haine, l’aideront à tenir le coup, elle en était sûre. Et elle avait raison.

II. Elle avait cette étincelle noire, une pulsion autodestructrice que certaines personnes portent en elles. Une sorte de bête intérieure que vous pouvez parfois domestiquer pendant des années jusqu'à croire que vous l'avez terrassée.

L’hiver soufflait sur la ville Omsk, un froid glacial frigorifiait les membres de notre demoiselle emmitouflée dans la couverture. Elle détestait la neige. Le paysage blanc. Les traces de pas que les gens laissaient dans la poudreuse. Et qui salissait le paysage. Elle avait l’impression que la neige était la métaphore de sa vie et que les traces de pas signifier les cicatrices qu’elle portait sur la peau et en dessous, celles qui ne sont pas visibles à l’œil nu. Celles qui voilent encore son regard quand on lui parle de la Russie. Quand on lui offre une simple vodka ou que l’on prononce le nom en U. Elle n’a jamais cru aux contes de fées, dès son plus jeune âge elle savait que ces histoires pour enfants n’étaient qu’utopique. Personne ne viendra la sauver. Elle devrait se sauver elle-même. Elle devrait se battre. Résistée et ne jamais lâché même quand elle n’en pouvait plus. Même quand son cœur ne tenait que par des petits bouts de sparadrap qu’elle accrochait au fil des années. Un corps chaud vient se coller au siens dans l’obscurité. Des mains glissent sur sa peau diaphane, semblant lui prouver encore une fois qu’elle n’était même plus propriétaire de son propre corps. Il ne lui restait qu’une seule chose, son cerveau, personne ne pouvait lui prendre son esprit. C’est grâce à lui qu’elle reste vivante, même quand la douleur lui souffle le mot abandon à l’oreille. Abandonne jolie poupée russe, personne ne t’en voudra si tu laisses tomber. Ils comprendront un jour et tu seras libre. C’est bien ce dont il est question aujourd’hui, de liberté. Ce besoin la pousse à se retourner, à sourire et à abandonner son corps à son bourreau. Les draps se froissent dans la pénombre. Les cœurs battent vite et forts. Leur souffle se coupe de différentes manières. Des gémissements se conjuguent. Et un morceau d’une âme s’étiole encore un peu plus. La peau recouverte d’un voile de transpiration les deux amants soupirent à l’unisson et se détachent l’un de l’autre. « Je suis amoureux de toi кукла » Poupée. Voilà exactement ce qu’elle était aux yeux de Vladimir, son acheteur. Une jolie poupée. La même que cinq ans plus tôt. Souriante et à disposition. Il lui avait tout pris. Sa vie. Son innocence. Sa féminité. Son envie de séduire. Il avait profité de son corps à l’instant même où ils se sont retrouvés dans cette chambre le soir de l’achat. Elle avait beau se débattre il n’avait pas abandonné, au contraire. Le combat a duré longtemps. Presque trois ans. Les cicatrices qui semblent flamboyer sur sa peau en sont la preuve. Il y a eu du verre brisé. Des cris. Des coups. Du sang. Beaucoup de sang. Et finalement Séfia a abandonné. « Moi aussi je suis amoureuse de toi Vlad. » Non ! Ne croyez jamais les mots d’une femme avant d’avoir l’histoire en entier. Ne croyez pas que Séfia a fini par souffrir du syndrome de Stockholm. Elle est trop forte pour ça. « J’ai peur tu sais. » Semble-t-elle murmurer dans la pénombre de leur chambre. Craintive de la réaction de son propriétaire. Il lève la tête et caresse ses lèvres, elle se détend légèrement en le regardant. Il veut savoir pourquoi elle a peur et elle sait exactement quoi lui dire. « J’ai peur qu’il revienne me prendre à toi et qu’il essaie de me vendre à un autre homme. Les 100 000 roubles que tu lui as donnés ne sont qu’un acompte pour lui. Il ne me lâchera pas. » Son géniteur était une ombre dans les cauchemars de la demoiselle. Elle n’était pas bête. Udinov viendrait la récupérer. Un jour ou l’autre, il viendrait la cherchait et la remettrait sur le marché. Peut-être cette fois-ci, elle n’échapperait pas au trottoir. Chaque fois qu’elle y pensait elle avait envie de détruire ce visage que la vie lui avait offert. Simplement pour dégouté les hommes. « Est-ce que tu souhaites que je m’en occupe ? » Elle se retourne vers lui en l’entendant dire cela. « Tu ferais ça pour moi mon amour ? » Un doux sourire s’accroche aux lèvres de son amant avant qu’il ne se lève de leur lit commun et enfile ses vêtements. « Bien sûr. Tout ce que tu veux. » Et il est parti. Dans la nuit. Lorsque la porte s’est refermée sur le corps de Vlad elle s’est levée comme si le diable était dans son lit et elle a disparu dans la salle de bains. Vomir ne l’aiderait pas et elle le savait mais la bile ne la lâcherait pas tant qu’elle ne le ferait pas. Un bain brûlant, rougissant sa peau d’albâtre lui donne enfin le feu vert pour se mettre à rire à gorge déployée. Cela aurait pris deux années mais Vladimir a finalement cru à tous ses mensonges. Le mot amour lui brûle la gorge. Sentir ses mains sur son corps lui donne envie de hurler à la mort. Mais elle a compris que la manipulation serait bien plus simple avec cet homme prêt à tout pour l’avoir corps, cœur et âme rien qu’à lui. Et elle lui fait croire parce que ce qu’elle veut par-dessus tout c’est qu’il fasse disparaître ses deux parents. Combien de temps a duré ce moment de liberté ? Trente minutes ? Une heure ? Elle n’en avait aucune idée, ce qu’elle savait c’est que l’homme venait de prendre place avec elle dans la baignoire brûlante, un sourire triomphant sur ses lèvres. « C’est fait, il ne te touchera plus jamais. » La petite fille battue. Vendue. Lâche enfin ses larmes de soulagement. Enfin elle était libre. « Je ne te laisserais jamais partir кукла jamais. » Elle le savait oui. Elle n’avait aucun doute sur le fait qu’il ne la lâchera jamais. C’est pour cela qu’avant que ses lèvres affamées se jettent sur elle, elle a murmuré à son oreille. « Jusqu’à ce que la mort nous sépare. » Et elle s’est servie de ses mains pour qu’il oublie les mots prononcés parce que les hommes perdent le moyen d’écouter lorsqu’une jolie fille le chevauche sans complexe.

III. "La vie peut nous mettre au tapis, mais c'est à nous de choisir si l'on veut ou non se relever. "

Perdue dans les tréfonds de son âme Séfia n’entend rien, n’écoute rien et ne ressent rien. Les gens s’agitent sur leur siège. Parlent. Vivent. Elle, elle semble aussi immobile qu’une statue. Seule sa main tenant le crayon semble animée. Elle dessine ce qui lui passe par la tête. Elle dessine pour oublier, c’est lorsqu’elle est dans cette transe qu’elle semble respirer pour de bon. Respirer les premières goulées d’un oxygène soudainement plus pur. « Mademoiselle Udinov ? » Putain. Son crayon dérive sur le papier lorsqu’elle sursaute au nom qu’elle entend. Ça fait tellement longtemps qu’elle ne l’utilise plus qu’elle a bien dû mal à se rappeler qu’on parle d’elle. Le cœur au bord des lèvres elle se lève et range son carnet dans son sac à main. Inspirant une nouvelle fois pour ravaler son haut-le-cœur elle suit l’homme qui la regarde comme si elle venait d’une autre planète. Normal elle doit avoir la couleur de la craie et semble sur le point de s’évanouir. Il doit croire que comme toutes les petites minettes qui viennent ici, elle a juste peur de la douleur mais ce n’est pas ça. Elle n’a plus peur de souffrir depuis bien longtemps. Une fois sagement installée dans le fauteuil elle prouve à son interlocuteur qu’effectivement elle sait ce qu’elle veut, ce qu’elle ne veut pas et ne se laisse pas manipuler. « Sur des cicatrices ça risque de faire très mal… Surtout sur les vôtres. » Oui sur des cicatrices comme les siennes ça risque d’être long et pénible. Mais ses horreurs doivent disparaître, elle ne veut plus les voir. Elles sont le reflet d’une vie qui n’est définitivement plus la sienne. Elle a besoin de changement et ses tatouages vont recouvrir l’ancienne Séfia. La Séfia objet. La Séfia qui souffrait. Celle qui ne supportait pas le contact des gens. « Je sais. Je n’ai pas peur d’avoir mal. Je veux juste plus les voir. C’est ok pour vous ? » Elle ne supportait pas le regard des gens sur elle quand ils se rendaient compte qu’elle avait des cicatrices. Les questions que ça soulevait lui donner envie de frapper dans quelque chose pour se faire mal ou faire du mal à quelqu’un. Et elle n’était pas comme ça. Ce n’était pas elle du tout. « Ouai. Pas de problème. Ça va être long et pénible alors n’hésitez pas à m’interrompre. » Le bourdonnement de l’aiguille enclenché, elle sourit soudainement. Enfin, la liberté s’approchait d’elle. Elle était libre et le poids constant qui peser sur ses frêles épaules s’est allégé quand l’aiguille a fendu sa peau. « Appelez-moi Séfia s’il vous plaît. Pas mademoiselle. » Le tatoueur a hoché la tête et elle en a profité pour fermer les yeux. Il lui a fallu six mois de plus pour être libéré de cet homme qu’elle détestait. Finalement malgré ses désirs de vengeance elle n’a jamais pu le tuer. Elle a bien tenté de le faire une fois, un couteau à la main mais… Bah… C’est là où elle a eu cette belle cicatrice qui part de derrière son oreille jusqu’au creux de sa nuque. Un petit souvenir d’appartenance. Cette cicatrice elle la porte toujours, avec fierté, elle n’a pas la même signification que pour Vladimir. Elle n’a jamais voulu la faire retirer elle prouve son combat contre la vie et son cœur de guerrière enfouie sous la douceur. Qu’est-ce qui a poussé une si jolie jeune fille à partir aussi précipitamment ? Sa grossesse. Non Séfia n’est pas maman et le sera sûrement jamais, elle a perdu le bébé quelques semaines après sa conception. Vlad était fou de rage en l’apprenant. Il voulait de cet enfant. Parce qu’ainsi elle serait sienne entièrement, complètement, irrévocablement, il voulait tellement qu’elle tombe enceinte que si il avait pu l’attacher sur un lit et rester cloitré dans cette chambre il l’aurait fait. C’est ce qui l’a décidée. Elle n’était pas prête pour être mère. Elle ne voulait pas d’un enfant avec cet homme. Les gens brisés ne devraient pas faire d’enfant. Et elle, elle était brisée. Alors à force de manipulation et de jeu, elle a séduit quelques hommes qui travaillaient pour Vlad et ils l’ont aidé à leur manière à fuir comme la peste sa ville, son pays et son continent. Cela fait quatre ans qu’elle est libre. Elle a vécu sous les ponts. Dans des chambres d’hôtels répugnantes. Dans des lits qu’elle ne connaissait pas pour recevoir de la chaleur quand son corps semblait gelé de l’intérieur. Elle a fait toutes sortes de boulots. Certains mal payés, d’autres pas très honnêtes mais elle n’a jamais baissé les bras. Elle est restée à Kiev en Ukraine un long moment. Le temps qu’il a fallu à son tatoueur pour recouvrir toutes les cicatrices qu’elle ne souhaitait plus jamais apercevoir sur sa peau. De blanche elle est devenue sombre au fur et à mesure des séances. Elle y a vécu sa première idylle innocente, le tout premier amour si on peut dire avec cet homme qui soigner ses blessures. Ses blessures visibles à l’œil nu. Et elle est partie. Comme ça sans dire un mot, sans même une lettre d’excuse. Vlad l’avait retrouvé et elle ne pouvait pas revenir. Ce n’était plus possible. Alors elle a pris la fuite une seconde fois. Elle est partie en France. Sans jamais regarder en arrière. Laissant un bout d’elle-même à cet homme si gentil qui avait pris soin de son cœur comme si c’était l’objet le plus cher qu’il n’ait jamais vu.

IV. "C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut."

La terreur. C’est exactement ce qu’elle a ressenti en se réveillant en sursaut cette nuit là. Bordel. Son cauchemar était affreux. Mais ce n’était qu’un foutu cauchemar. Néanmoins son cœur battait anormalement et elle avait dû mal à reprendre son souffle. Au bord de la crise de panique elle s’oblige à poser sa tête entre ses cuisses pour ne surtout pas tourner l’œil. Son souffle erratique balaye ses cheveux qui lui tombent devant le visage. L’angoisse hurle au fond de son estomac, elle sait que désormais elle ne pourra pas se rendormir. Pas tout de suite en tout cas. Séfia n’était pas habituée aux cauchemars, du moins elle n’en faisait plus depuis six ans désormais. Depuis son départ de l’enfer. Une fois parti de Russie son subconscient a occulté sa vie d’avant, comme si rien ne s’était passé durant des années. Comme si elle n’avait pas vécu au purgatoire durant toutes ses années. Voilà un an qu’elle vit à Paris maintenant et la demoiselle est bien différente. Elle qui était sauvage et ne se laissait jamais approché par les gens en général, est devenue désormais une barmaid plutôt proche de sa clientèle. Toujours souriante et douce. Elle écoute ce qu’on lui confie. Elle donne des conseils quand elle le peut et réconforte quand elle ne le peut pas. Elle s’est fait des amis, elle qui jurait par tous les saints qu’elle ne donnerait jamais sa confiance à qui que ce soit, la voilà aujourd’hui en train de lié des liens qui pourrait la blesser. Elle pousse des coups de gueule sans craindre de représailles violentes. Elle oublie au fur et à mesure que le temps passe, toutes ses années où elle a vécu dans la terreur. La terreur de mourir. La terreur de vivre. La petite voix au fond de son esprit ne lui chuchote plus d’abandonnées, au contraire, elle lui hurle de profiter de la vie. En abandonnant son nom de famille, ses cicatrices et sa vie d’avant elle a tiré un trait sur toute cette douleur et n’en parle jamais. Elle ne se confie pas. À personne. Pour les gens ses parents sont morts et elle était seule au monde. Ce qui est vrai. Mais elle n’en dit pas plus. Pour les gens les plus attentifs ils peuvent voir que la demoiselle est sur ses gardes dans différentes situations. Lorsqu’on lui parle de son pays natal. Lorsqu’on lui chuchote un mot doux à l’oreille. Lorsqu’on touche sa cicatrice sous son oreille. Lorsqu’on lui pose des questions sur son passé. Elle se crispe et change de sujet. Son sourire se flétrit et son regard se floute d’un voile de ténèbres. Elle met du temps à revenir parmi les vivants, trop occupés à se battre contre ses fantômes, ses démons. Si Séfia a éclos comme une rose c’est grâce à Lui. Emeryck. Grâce à lui elle ne crève pas de faim sur le pont de la Seine. Elle ne dort pas sur un banc et n’arpente pas les trottoirs. Sans qualification, sans bagage, sans passé elle s’est présentée dans son bar un beau jour comme une fleur cherchant un soleil dans une nuit de ténèbres. Et il l’a embauché. Sans rien demander. Elle mange grâce aux pourboires qu’elle obtient et qu’il lui laisse. Entre écorcher, on se reconnaît sûrement. Elle se sent en sécurité dans ce bar. Elle se sent libre d’être elle-même pour la première fois de sa vie. En pensant à Emeryck, le cœur de la jeune femme reprend un rythme régulier et un sourire éclaire son visage encore sombre quelques minutes auparavant. Elle tourne la tête et le regarde en train de dormir. C’est n’importe quoi et elle le sait, elle ne devrait pas s’attacher à lui et pourtant…. Elle s’attache, petit à petit. Un peu. Beaucoup. Passionnément. C’est un connard, elle le sait, elle le sent jusqu’au fond de ses os mais dès qu’ils sont dans la même pièce elle sent basculer son cœur. Il penche légèrement. Il chavire. Elle ne le veut pas. Parce qu’elle n’a aucune envie de perdre son boulot. Parce qu’elle n’a aucune envie de partir d’ici. Parce qu’elle n’a aucune envie de se casser les dents sur une relation. Pour l’instant ce qu’ils ont lui plaît et même si elle doit serrer les dents quand elle le voit repartir avec une autre, elle sait qu’il reviendra. Parce qu’ils sont pareils l’un et l’autre. Parce qu’ils se ressemblent d’une certaine manière. Elle s’approche d’Em’ et glisse ses mains sur son corps avant de le réveiller d’une manière sensuelle et érotique, utilisant tous les charmes que mère nature lui a offert. « Prêt pour un second round ? » Et parce qu’il efface ses cauchemars, elle n’abandonnera pas la partie, elle ne l’a jamais fait, elle ne va pas commencer maintenant.  

V. ''Je ne lui dis jamais mon amour en paroles pourtant, si les regards ont un langage, la plus simple d'esprit aurait pu deviner que j'étais amoureux fou.''

« Vous pouvez embrasser la mariée. » Les lèvres de son mari se déposent sur les siennes et Séfia sent la boule d’angoisse qui s’était logée dans sa gorge se dissoudre au fur et à mesure que ce baiser prend de l’ampleur. Madame White. Lorsqu’elle mit fin au baiser, elle glissa doucement ses doigts sur la joue d’Em et durant un instant elle voulut lui avouer la vérité. Elle voulut lui dire qu’elle l’aimait. Mais elle manqua de nouveau de courage. Ce mariage semblait trop beau pour être vrai n’est-ce pas ? Eh bien vous n’êtes pas loin de la vérité. Em’ et Séfia venaient de se marier, mais ce mariage si extraordinaire, si romantique, si magnifique, n’était que poudre aux yeux. Il venait surement de célébrer le plus beau mariage blanc du monde. Une simple couverture pour que la Russe ne soit jamais obligée de retourner dans son pays natal. Elle le savait la blonde que ce n’était qu’un simple contrat entre eux. Mais elle avait espéré la Russe, elle avait espéré bien plus qu’un simple mariage blanc. Elle avait espéré de l’amour. Une famille. Sa famille. Elle glissa doucement ses doigts sur le très léger arrondi de son ventre et soupira. Sa famille se construisait mais l’homme qu’elle aimait par-dessus tout ne le savait même pas. Elle avait appris sa grossesse le matin même et elle semblait terrorisée à l’idée de lui dire. À l’idée qu’il parte. À l’idée qu’il l’abandonne. Alors elle s’est tût. Et aujourd’hui des mois plus tard elle regrette son manque de courage. Parce que ça aurait changé bien des choses elle le savait. La soirée fut longue, rempli d’alcool, de rire et de musique. Jusqu’à ce qu’un murmure attire l’attention de la blonde. Un murmure d’un de leur ami. Un baiser avait été échangé entre un homme et une femme dans les toilettes. Un baiser venait d’être échangé entre son mari et une autre femme. Et là à ce moment précis elle entend comme un craquement dans ses oreilles mais personne ne semble y faire attention. C’est après qu’elle se rend compte que c’est son propre cœur qui se brise. Lui qui venait à peine d’être assemblé le voilà détruit de nouveau. Et ça fait mal. Alors elle fait ce qui lui semble le plus juste, le plus normal. Elle s’approche de son mari, elle retira son alliance et lui jeta au visage. « J’ai cru que tu étais amoureux de moi » Elle rigola amèrement. « Quelle conne je suis… Reprend là. Cette mascarade est terminée. Nous deux… C’est terminé. » T’es au courant Séfia que tu ne peux pas rompre quelque chose qui n’a jamais existé ? Vous n’étiez pas en couple ma belle, réveille-toi. Elle sent ses nerfs la lâcher, la fatalité la rattraper. Elle ne pouvait pas accepter ça. Elle se sentait humiliée. Humilié devant ses amis, devant des gens qu’elle ne connaissait même pas. La tristesse s’empare d’elle et elle soupire pour relâcher la pression. Ce soupir tremblant parle pour elle, elle est blessée, salement blessée, elle n’est même pas surprise. Em’ était ainsi, ce n’est pas pour ses beaux yeux qu’il allait changer. Mais elle avait espéré, et cette douce folie venait de l’étaler, de l’exploser. Brisant quelque chose en elle qui ne se reconstruira peut être jamais. « J’étais amoureuse de toi tu sais… T’as tout gâché… Tu viens de me briser le cœur. » Je mérite mieux que ça. Son sourire s’était flétri et avait disparu. Son visage était ravagé par les larmes. La souffrance se lisait clairement sur son visage, dans son regard, elle ne pouvait pas rester ici. Alors elle a tourné les talons et elle est partie. La tête enfouie dans ses épaules. Elle aurait préféré hurler. Taper des pieds et le frapper. Mais elle n’avait simplement plus l’envie, plus le courage de le faire. Alors elle a juste… Abandonnée la partie. Cette dispute a plongé Séfia dans une profonde déprime qui a duré deux longs mois. Deux longs mois avant qu’elle ne vienne lui annoncer sa grossesse. Deux longs mois avant que lui, lui dise des mots qu’elle attendait depuis si longtemps. « J’suis qu’un enfoiré Sef… Je… Je t’aime. Tu comprends. Je t’aime, plus que je ne m’aime. » Elle avait été émue par ses mots, parce que pour la première fois de sa vie, elle était aimée par quelqu’un, pas d’un amour malsain comme avec Vladimir, non, d’un amour saint et qui semblait doux. Alors elle s’était mis à parler. Elle s’était mis à lui dire tout ce qu’elle avait sur le cœur. Avant de terminer sa tirade par cette simple phrase. « Je t’aime Em’ de tout mon cœur. Mais je ne sais pas si je serais capable un jour de te pardonner ce faux pas là. » Mais pour une fois l’amour semblait être plus fort que les erreurs, alors elle s’est laissé embrasser. Elle s’est laissé entraîner jusqu’à sa chambre, elle s’est laissé déshabiller autant physiquement, qu’émotionnellement, et une fois leur retrouvaille terminée, elle regarda son mari, glissa ses doigts dans ses cheveux et murmura. « Recommençons une nouvelle vie loin d’ici. N’importe où. Loin de Paris. Partons ensemble construire notre propre famille. Rien que nous trois. Sans les fantômes de nos erreurs. » Elle ne sait toujours pas si il n’a accepté ce marché que pour elle mais elle sait que désormais ils allaient essayer du mieux qu’ils le pouvaient de vivre en paix. Ils y avaient le droit après tout. C’est pour cela qu’ils se sont installé ici, afin d’y vivre leur histoire d’amour, leur vie de famille loin de tout ce que Paris représentait. Loin des mensonges et des trahisons qu’ils s’étaient faits mutuellement à Paris.


PSEUDO/PRÉNOM + Steph PAYS/REGION + France ÂGE + 28 ans. COMMENT T'ES ARRIVÉ JUSQUE LA ? + Em' m'en a parlé  :aww:  QUE PENSES-TU DU FORUM ? +  Il a l'air très bien. PARLE-NOUS DE TOI + écrire ici. CÉLÉBRITÉ LOUÉE + Alysha Nett. PERSONNAGE INVENTÉ SCÉNARIO OU PV ? + Perso inventé

fiche créée par © Summers & Rinema


Dernière édition par Séfia White le Dim 16 Juil - 21:38, édité 3 fois
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Message A heart that's broke is a heart that's been loved ♦ Séfia › Jeu 13 Juil - 23:37
Bienvenu parmi nous !
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Message A heart that's broke is a heart that's been loved ♦ Séfia › Ven 14 Juil - 0:13
La plus belle des Whites!!!
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Message A heart that's broke is a heart that's been loved ♦ Séfia › Ven 14 Juil - 0:20
Bienvenue ici jolie madame :aww:
Bon courage pour la fin de la fiche !
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Message A heart that's broke is a heart that's been loved ♦ Séfia › Ven 14 Juil - 0:27
Billie Neil a écrit:
Bienvenu parmi nous !

Merci ma belle :coeur:

Emeryck White a écrit:
La plus belle des Whites!!!

Ah mon amour de mari :hug: :hug: :kiss: :kiss: :calin:

Seth O. Hemingway a écrit:
Bienvenue ici jolie madame :aww:
Bon courage pour la fin de la fiche !

Merci beaucoup charmant monsieur :aww:
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Message A heart that's broke is a heart that's been loved ♦ Séfia › Ven 14 Juil - 0:46
Bienvenue à toi :coeur:
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Message A heart that's broke is a heart that's been loved ♦ Séfia › Ven 14 Juil - 6:36
Bienvenue par ici et bonne chance pour cette fiche ! :canard:
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Message A heart that's broke is a heart that's been loved ♦ Séfia › Ven 14 Juil - 6:53
Bienvenue parmi nous :aww:

J'adore ton choix de vava! :aww: :bave:

Si tu as la moindre question n'hésite pas!
Bon courage pour ta fiche :D
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F. Rose Harrington
F. Rose Harrington
A heart that's broke is a heart that's been loved ♦ Séfia Yu5u
I've learned to forgive but it’s almost impossible to forget.

Age : 39
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Inscrit depuis : 28/12/2016
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TristanJaneLeowMel & IsaacDanae ⊰ Manny


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Message A heart that's broke is a heart that's been loved ♦ Séfia › Ven 14 Juil - 11:15
Bienvenue parmi nous :aww:
Je dois avouée que j'ai hâte de me plonger dans ta fiche que j'ai pas encore pris le temps de lire.
Bon courage pour la fin de celle-ci d'ailleurs.
Bon jeu parmi nous et puis en cas de questions ou autres, hésite pas :chenille:
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https://marplespring.forumactif.org/t1651-rose-a-heart-that-hurts-is-a-heart-that-works https://marplespring.forumactif.org/t1655-rose-a-heart-that-hurts-is-a-heart-that-works http://ravensburg.forumgratuit.org/

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Message A heart that's broke is a heart that's been loved ♦ Séfia › Ven 14 Juil - 11:35
Bienvenue à toi j'aime beaucoup ce que tu as déjà mis comme présentation elle en a bavé :aww:  mais si elle veut une licorne pour égayer sa vie je me porte volontaire :hug: (en parlant d'enfant "achetés, Wave et Séfia peuvent très bien s'entendre, même si Wave a eu une "meilleure" vie)
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Message A heart that's broke is a heart that's been loved ♦ Séfia › Ven 14 Juil - 11:46
Isaac K. McAvery a écrit:
Bienvenue à toi :coeur:

Merci :aww:

B. Lachlan Abercrombie a écrit:
Bienvenue par ici et bonne chance pour cette fiche ! :canard:

Merci à toi :coeur:

Alyson Z. Callahan a écrit:
Bienvenue parmi nous :aww:

J'adore ton choix de vava! :aww: :bave:

Si tu as la moindre question n'hésite pas!
Bon courage pour ta fiche :D

Oh la jolie Katherine :aww:
Merci à toi ma jolie :coeur2:

F. Rose Harrington a écrit:
Bienvenue parmi nous :aww:
Je dois avouée que j'ai hâte de me plonger dans ta fiche que j'ai pas encore pris le temps de lire.
Bon courage pour la fin de celle-ci d'ailleurs.
Bon jeu parmi nous et puis en cas de questions ou autres, hésite pas :chenille:

Ce choix d'avatar A heart that's broke is a heart that's been loved ♦ Séfia 17496471 A heart that's broke is a heart that's been loved ♦ Séfia 17496471
Merci ma belle la fin de ma fiche devrait arriver aujourd'hui justement A heart that's broke is a heart that's been loved ♦ Séfia 1763806877

C. Waverly McFly a écrit:
Bienvenue à toi j'aime beaucoup ce que tu as déjà mis comme présentation elle en a bavé :aww:  mais si elle veut une licorne pour égayer sa vie je me porte volontaire :hug: (en parlant d'enfant "achetés, Wave et Séfia peuvent très bien s'entendre, même si Wave a eu une "meilleure" vie)

Merci à toi :aww:
Oh oui elle en a bavé la petite Séfia mais aujourd'hui elle va mieux - Merci Em' A heart that's broke is a heart that's been loved ♦ Séfia 953116116 -
Han j'ai hâte de lire la fiche de Wave dans ce cas et de nous trouver un petit lien :calin:
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W. Oskar Hopkins
W. Oskar Hopkins
A heart that's broke is a heart that's been loved ♦ Séfia Yuqe
Lost in my mind.

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Inscrit depuis : 01/07/2017
Messages : 942
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Rps en cours : Indisponible.

TalyaMielle

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Message A heart that's broke is a heart that's been loved ♦ Séfia › Ven 14 Juil - 12:12
Welcome sur le forum :suisla:
J'ai lu ta fiche, Wave m'a mit l'eau à la bouche et OMG A heart that's broke is a heart that's been loved ♦ Séfia 953116116 Je t'aime déjà, j'aime déjà ta façon d'écrire et pauvre Sefia :calin:
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https://marplespring.forumactif.org/t2345-oskar-we-all-have-two-lives-the-second-one-starts-when-we-realize-that-we-only-have-one#50125 https://marplespring.forumactif.org/t2351-oskar-mad-world#50243

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Message A heart that's broke is a heart that's been loved ♦ Séfia › Ven 14 Juil - 14:00
@Séfia White façon jveux que tu sois ma coupine s'tout :canard:
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Message A heart that's broke is a heart that's been loved ♦ Séfia › Ven 14 Juil - 15:35
Bienvenueee :aww:
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Message A heart that's broke is a heart that's been loved ♦ Séfia › Sam 15 Juil - 1:36
W. Oskar Hopkins a écrit:
Welcome sur le forum :suisla:
J'ai lu ta fiche, Wave m'a mit l'eau à la bouche et OMG A heart that's broke is a heart that's been loved ♦ Séfia 953116116 Je t'aime déjà, j'aime déjà ta façon d'écrire et pauvre Sefia :calin:

Merci à toi pour ses compliments :calin:

C. Waverly McFly a écrit:
@Séfia White façon jveux que tu sois ma coupine s'tout :canard:

Soyons copine alors :oui: :oui:

Nigel Pryde a écrit:
Bienvenueee :aww:

Merci :aww:
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Message A heart that's broke is a heart that's been loved ♦ Séfia ›
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A heart that's broke is a heart that's been loved ♦ Séfia
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