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Message Alex VK # What kind of monster could possibly hate chocolate? › Ven 26 Mai - 1:34


Alexei V. Kramarenko

Je m'appelle Alexei Valentin Kramarenko, et même si je ne les fais pas, j'ai 25 ans. Mais cela reste entre nous. Je suis né(e) le 30/11 1991, dans la magnifique ville de Makhachkala, Dagestan (Russie). Pour passer le temps je suis chocolatier, et je suis à Marple Spring depuis quelques semaines (Stranger in a Strange Land). Actuellement je suis célibataire. D'ailleurs je suis hétérosexuel. Mais ce qui m'énerve (ou pas), c'est d'être sans cesse comparé à Nick Jonas.

Froid Perfectionniste Fonceur Instable Sportif Sarcastique Charmeur Sincère Rigide Observateur
A perdu son père alors qu'il n'avait que 5 ans, d'un cancer des poumons. La preuve que ce qu'il est noté sur les paquets de cigarettes n'est pas de l'intox : fumer tue. Parle couramment le russe, le finnois, l'allemand, l'anglais, le français, l'italien. Se débrouille approximativement en espagnol, en tchèque, en slovène et en arabe. S'est intéressé à deux dialectes que sont le tabassaran et le romand. N'aurait presque plus besoin d'un GPS pour traverser la Suisse tellement il y a fait des trajets. Passionné de sports, plus particulièrement de basketball, de hockey sur glace, et de tennis. Entre ses formations de chocolatier-confiseur, il a empilé plusieurs jobs : croupier à plusieurs reprises, animateur dans un centre pour adolescents à problèmes, vigile, hôte d'accueil artistes lors de festivals, et d'autres petits boulots en tous genres. Il ne mène pas un combat contre l'envie des gens qui fument, mais il n'aura aucune compassion devant elles si elles se plaignent du moindre mal. Il ne considère d'ailleurs pas pouvoir accorder beaucoup d'égard envers ces gens dépendants. Très tactile, fasciné par le tangible, le réellement accessible. Une fois la glace rompue, le feeling qu'il se fait avec une personne passe nécessairement par ce sens du contact physique. N'affiche pas ses émotions, laisse paraître qu'il est imperturbable et presque indifférent par moments. Ses condoléances peuvent ressembler à de l'hypocrisie, mais ce n'en sont pas. Simplement qu'il affiche une expression impassible. S'il dit quelque chose, c'est qu'il le pense. Il n'y met peut-être pas les formes. En dehors du chocolat, il est un bien mauvais cuisinier, à trop tenter des expériences peu recommandables. Sa dernière idée en date ? Poisson - haricots blancs - raisins secs et coriandre. Un fiasco qui a cuit trop longtemps. Même s'il s'avoue être quelqu'un de solitaire, au fond de lui, il a besoin d'une présence pour ne pas sombrer dans l'angoisse d'être livré à lui-même. Il a besoin de cette vie à côté de la sienne pour se motiver à avancer et à voir chaque lendemain comme une fenêtre ouverte sur un soleil radieux. Quatorze ans d'une amitié qui s'est améliorée pour devenir une relation plus puissante, plus concrète, tendant vers un avenir commun. Court résumé mais qui représente toute sa jeunesse depuis le jour où sa famille a changé de visage pour un unique prénom de neuf lettres. Une amitié qui s'est brisée et qui l'a laissé con au milieu de son appartement, à lui laisser croire qu'il était innocent. Il s'est longuement remis en question après avoir croqué à la pomme de la discorde, ce qui lui a valu des réprimandes de la part de l'université où il ne se présentait plus qu'à 50% de son horaire. Un passage à vide de quelques semaines, une incompréhension dans son histoire que personne n'aurait pu prévoir tant il se montrait tellement sûr de la direction qu'il prenait, ce en tout temps. Mais voilà, un homme aussi grand qu'il ne puisse être possède toujours une faille. Il a toujours éprouvé le besoin de connaître d'où il venait, et s'est donc documenté sur Makhachkala et la région du Dagestan pour en apprendre davantage. Il a hésité à devenir bibliothécaire ou médiateur culturel après avoir arrêté ses études à la Lomonosov. Mais il a écarté la perspective de rentrer dans une occupation où il ne ferait que répéter un savoir, une connaissance. Le prestige n'était pas ce qu'il voulait. Il désirait l'excellence. Mais pas celle qu'on obtient. Plutôt celle qu'on conçoit. Il a voulu devenir le créateur, le maître de ses propres choix. La confection, l'élaboration, du nouveau, du renouveau. De ce qui se savourerait comment rien d'autre auparavant. Il est bien déterminé à rencontre la partie la plus important de son passé. Reste à la retrouver, ce qu'il pense avoir réussi à faire. L'étape la plus dure reste désormais d'y mettre la forme et la manière.

L'histoire de ma vie


Mesdames et Messieurs. Le commandant de bord ainsi que son personnel vous souhaitent la bienvenue à bord de ce vol à destination de Detroit, Etats-Unis. Il est actuellement dix heures dix-sept du matin à Paris, d'où nous allons décoller d'ici quelques minutes. Nous estimons la durée du vol à huit heures et cinquante-cinq minutes, ce qui nous fera arriver à destination à une heure trente de l'après-midi, heure locale. Les températures actuelles à Detroit sont de seize degrés et il est estimé qu'elles atteignent les 22 degrés au cours de la journée. Le ciel sur Detroit est nuageux et devrait le rester tout au long de la semaine. Nous vous invitions à regagner votre siège et à vous attacher. Nous vous demanderons durant la procédure de décollage de rester assis à votre place jusqu'à l'extinction du signal lumineux au-dessus de votre tête.

Ladies and Gentlemen. The captain of this flight and the cabin crew is..


Bis repetita dans plusieurs langues que je comprends toutes et auxquelles j'accorde tout autant d'importance. Faire s'écouler neuf heures d'un vol qui vous font traverser d'un continent à un autre, nécessite pas mal d'occupation. La première est d'écouter du début à la fin ce charabia explicatif sur les paramètres à retenir ainsi que sur les normes de sécurité à respecter. Le discours est professionnel à ne pas en douter, ce qui permet peut de nuance entre les différents langages exprimés. J'en dénote tout de même deux, minimes mais assez distinctes pour les relever. Déformation linguistique. Les langues c'est bien un rayon dans lequel je gère selon le degré de la conversation. Je peux communiquer de manière compréhensible avec quelqu'un sur environ 80 % de la surface habitée de la terre. Pourquoi pas 100% ? La faute aux chinois, et au malheur des tribus africaines dont les dialectes trop nombreux dépassent la capacité d'un homme même le plus assidu à en maîtriser la globalité. Et voilà que même avant que le système de rétraction des roues de l'appareil, je suis déjà en réflexion sur ma condition actuelle. Elle me prendra dès lors bien au moins neuf heures, si pas plus. Bien que dans un avion, c'est difficile de rater son arrêt; généralement ce moyen de locomotion part d'un point A pour un point B sans aucune halte intermédiaire. Dès lors, si un passager oublie de se réveiller, il est assez gentiment extrait de ses rêvasseries par une des hôtesses de l'air. Ca ne m'arrivera cependant pas. J'ai l'esprit bien trop préoccupé pour me laisser plonger dans un sommeil duquel je n'en ressortirai de toute façon que plus nerveux. Moi, crispé ? Impossible. Pas en apparence. A l'intérieur ? C'est depuis longtemps un concentré d'incompréhension que j'ai à maintes fois tenté de démêler. Sans succès, contrairement à ma dernière présentation qui m'a permis de grimper dans cette carcasse. Précisément. J'aurais pu être à Dubaï depuis une semaine, ou prendre le vol pour Sydney dans une dizaine de jours. Mais j'ai laissé ces destinations à ceux qui les désiraient à un tel point que de leur briser leur utopie n'a fait que me traverser l'esprit avant de me reconcentrer sur mes objectifs : convaincre pour décrocher l'opportunité d'entreprendre de nouvelles démarches. Professionnellement, je me rendais dans le Michigan pour ouvrir une enseigne de chocolaterie, avec une fonction d'ambassadeur de la qualité dispensée par la formation suisse dans ce domaine. Plus particulièrement par l'école internationale de Lucerne, où je me suis ainsi garanti un avenir stable dans un secteur sans cesse en renouvellement, porteur d'innovation, gage de créativité. Je n'étais évidemment pas le seul à avoir choisi les Etats-Unis d'Amérique comme cible - dit ainsi par un russe, ca pourrait porter à croire que je vais déclencher l'étincelle de la troisième guerre mondiale. Le seul garçon, oui. Deux autres maîtres, collègues et le temps de ce dernier semestre candidats adversaires, avaient jeté leur dévolu sur le même continent. Evidemment pas au même endroit, non. Car New York, Miami ou Los Angeles créaient plus de motivation. Pas en moi. Le Michigan c'était bien. Ainsi, mon argumentaire bidouillé avec une situation grossie à l'extrême mais pourtant véridique en ses bases, il a eu le mérite de consterner avant d'interpeler et d'émettre des interrogations sur l'hypothétique implantation dans une région urbaine isolée comme l'est Detroit et la région des grands lacs. Je suis parti du concept de démarrer à plus petite échelle, pour toucher à une ville puis à une région et élargir progressivement un champ d'activité grâce à une expansion sur dix ans de l'enseigne qui aura fait ses preuves et ravi la moitié du Nord des U.S.A. L'idée se tente, avais-je conclu, incertain comme jamais de ce que j'avançais mais pourtant déterminé à faire en sorte qu'il en advienne ainsi si il m'était demandé d'y parvenir en l'échange de cette nouvelle vie offerte outre-Atlantique.

Le deal était clair, et si j'ai faussé mon jeu dès le début du séminaire, c'était pour ne jamais avoir à me retrouver dans une situation où un virement à 180 degrés s'avérerait nécessaire. Imprudence. Toujours savoir où nous souhaitons terminer avec ce dont on a disposition pour ce faire. Piper les dés n'a jamais été de mon ressort. Tronquer les cartes pour retourner celle qui m'avantageaient par contre l'a été bien plus souvent. Je m'étais renseigné : du chocolat à New York ? Rien de nouveau, et l'idée est purement casse-gueule. A Miami ? Pas le bon climat. San Francisco ? Pas un public intéressé. Je bluffais et ca marchait. Le contenu relatif aux autres propositions relatives à cette destination se liquéfiait un peu plus à chaque comparatif que j'osais entre les différentes propositions. Le coup fatal lors des débats, quand j'ai demandé à l'une de mes acolytes depuis de longs mois ce qui l'a tant fait hésiter entre Floride et Californie pour ne pas parvenir à se départager entre deux états touristiques plutôt portés sur le commerce de lunettes de soleil et de planches de surf que sur la recherche du plaisir culinaire. Je ne me suis pas fait des amies ce jour-là, mais je n'en voulais pas pour autant. Alors entre obtenir un coup de pouce dans mes démarches et faire copain-copain avec des gens qui ne me seraient d'aucune utilité, mon choix était déterminé depuis longtemps. Mes expériences sociales, ces jobs qui m'ont assuré un mode de vie confortable, m'ont permis d'en arriver là, à se dissocier des remords que nous pourrions éprouver face à une situation dans laquelle notre étique ou notre morale est engagée. Accompagner des jeunes en situation difficile m'a offert cette réactivité à s'adapter d'un claquement de doigt à un problème puis à un imprévu qui tente de nous retrancher derrière un sentiment de crainte et de perte de contrôle d'un fait alterné par un élément inattendu. M'asseoir à la table de ce casino qui m'a employé jusqu'au rôle de croupier quand j'étais dispensé de servir de simple annonceur de cartes pour les férus de blackjack, ca m'a permis de modeler en visage inébranlable. En plus de m'enseigner le paraître, j'ai appris la duperie pour mieux déstabiliser les gens qui pensent qu'eux peuvent vous faire sourciller dans une inclinaison identique à celle qu'ils tenteraient presque de vous faire courber le sourcil de par leur simple regard qu'ils pensent être persuasifs. Mon impassibilité finit par les dissuader d'enchérir. Pas sur leurs mises, oh que non, ils y mirent jusqu'à tous leur or, par orgueil. Par avidité. Par un tas de vices qui les plongeaient à perdre tout ce qu'ils portèrent ce soir-là. Bosser pour le compte d'artistes, en côtoyant des agents, des fans, du monde en tous genres de l'univers de la musique, permet de s'adapter à la demande selon l'importance de chacun dans ses desiderata. La réponse que nous leur donnons dépend de la légitimité à la leur accorder. C'est la notion du principe d'intérêts communs dans un cas, et la notion de popularité consentie dans l'autre. Faire preuve de sévérité, de souplesse. Se montrer strict, ou permissif. Selon l'artiste, toujours, et la considération qu'il accorde à son public. Sans cesse déterminer ce qui est possible pour l'un à un moment X puis interdit à un moment Y ou bien pour quelqu'un d'autre, suite à des consignes diverses régulées souvent par caprice ou par envie de celui qui est décideur suprême, législateur, juge qui ne tolère aucun avocat pourri dans ses parages.

Ma brève initiation universitaire en ingénierie aéronautique m'a permis quoi pour sa part ? Assez pour me savoir en sécurité dans cet avion car ce n'est pas un Tupolev du siècle révolu. Assez pour me dire que tout ce que je risque durant ces huit heures et quelques de vol restant, c'est une entorse des méninges. Je dois éviter de trop les solliciter, même si elles en resteront pas inactives c'est certain. L'appareil s'est stabilisé dans l'atmosphère, à plusieurs kilomètres du sol. Nous sommes probablement encore dans l'espace aérien français, au-dessus de nuages qui eux n'ont pas de nationalité précise et qui entravent la vue sur le continent pour s'assurer qu'en cas de descente à la verticale ce sera plutôt un crash ou un splash. Si le destin pouvait attendre au moins au lendemain de l'avoir revue, avant de m'ôter l'existence, je ne lui demanderais pas plus. Je sais qu'elle a bougé récemment de New York à un village nommé Marple Spring, en bordure du Lac Michigan. L'adresse exacte est encore mystérieuse. Il faut dire que mes capacités d'acquisition de l'information, bien que très fiables et assez rapides, n'arrivent pas à l'égal d'un investissement des meilleurs détectives privés engagés contre des sommes fort alléchantes. Je ne cesse de réfléchir quant à poursuivre ma méthodologie en solo ou contacter l'un de ces tueurs de rumeurs qui m'aiderait à achever le processus de repérage, pour activer la seconde phase des opérations de la mission. Nom de code Lova Lova. Car les sentiments ne se perdent pas, et la séparation des corps n'implique pas la scission de l'âme sœur.

PSEUDO/PRÉNOM + Robbie PAYS/REGION + Grand Est ÂGE + 26 COMMENT T'ES ARRIVÉ JUSQUE LA ? + J'ai dit oui à une femme (en plus jeune) QUE PENSES-TU DU FORUM ? + C'est rare que je n'ai rien à redire sur un design :s PARLE-NOUS DE TOI + suis-je autorisé à chanter du Hélène Segara ? CÉLÉBRITÉ LOUÉE + Nick Jonas, mais j'en prendrai soin PERSONNAGE INVENTÉ SCÉNARIO OU PV ? + double scénario

fiche créée par © Summers & Rinema


Dernière édition par Alexei V. Kramarenko le Dim 4 Juin - 0:58, édité 2 fois
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Message Alex VK # What kind of monster could possibly hate chocolate? › Ven 26 Mai - 1:52
Bienvenuuuue
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Message Alex VK # What kind of monster could possibly hate chocolate? › Ven 26 Mai - 2:21
Bienvenue par ici :canard:
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Message Alex VK # What kind of monster could possibly hate chocolate? › Ven 26 Mai - 4:59
Je te l'ai déjà dit mais bienvenue :aww: Trop heureuse que tu sois ici :hug:
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Message Alex VK # What kind of monster could possibly hate chocolate? › Ven 26 Mai - 8:24
Bienvenue *-*

Avec un super choix de scénarios !
Au passage j'adore ton avatar :bave:

Si tu as des questions, n'hésite pas :D
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Message Alex VK # What kind of monster could possibly hate chocolate? › Ven 26 Mai - 10:21
Donc c'est le hasard qui a choisi que Léo décédera d'une crise de foie ? (trop de chocolat Alex VK # What kind of monster could possibly hate chocolate? 729986490)
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Message Alex VK # What kind of monster could possibly hate chocolate? › Ven 26 Mai - 10:28
Quel choix d'avatar !
Bienvenue ici et bon courage pour ta fiche mon beau !
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Adminchou
M. Leeroy Hamilton
M. Leeroy Hamilton
Alex VK # What kind of monster could possibly hate chocolate? Mf6z
it's a new day it's a new life

Age : 56
Né(e) le : 10/12/1967
Quartier : Sud de la ville.
Je suis : Artiste peintre, sculpteur, écrivain.
Inscrit depuis : 01/02/2017
Messages : 923
Célébrité : Johnny Depp
Rps en cours : Indisponible.

Alessandra + Mielle.


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Message Alex VK # What kind of monster could possibly hate chocolate? › Ven 26 Mai - 10:38
Nick J. Très bon choix, on le voit trop peu :aww:
Bon courage pour ta fiche et bon jeu parmi nous.
Si tu as des question ou autre, hésite pas.
Puis j'ai oublier, merci de nous avoir rejoint et bienvenue ici :suisla:
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https://marplespring.forumactif.org/t1780-lee-im-pretty-masochistic-i-kill-myself-for-my-craft-literally https://marplespring.forumactif.org/t1786-lee-as-an-artist-i-follow-my-heart-my-soul-my-gut-and-do-what-the-fuck-i-want-to-do

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Message Alex VK # What kind of monster could possibly hate chocolate? › Ven 26 Mai - 10:56
Merciii les gens gentils *.*

@Léo : la mort n'a pas prévu de t'emporter un jour, tu as la solitude comme salut éternel :face:

@Ceux qui relèvent de mes choix de scénario et d'avatars : évidemment que j'ai des goûts de luxe :--:

@Praskolovialova : Alex VK # What kind of monster could possibly hate chocolate? 746657995
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Message Alex VK # What kind of monster could possibly hate chocolate? › Ven 26 Mai - 10:58
:boude:
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Message Alex VK # What kind of monster could possibly hate chocolate? › Ven 26 Mai - 13:12
Bienvenue parmi nous, hâte de te lire et de te voir en jeu. :magie:
Hum, ton métier est juste EXTRA, je sans qu'il y à des gourmandes qui vont aller souvent te voir.
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Message Alex VK # What kind of monster could possibly hate chocolate? › Ven 26 Mai - 13:20
Merciii ^^ C'était ça ou domoticien, t'imagines le contraste.
Je ne sais lequel aurait procuré le plus d'émoi entre :

- "Alors, nous avons les volets nouvelle génération directement implantés dans la structure du toit et réglables selon l'inclinaison du soleil pour une optimisation des zones de réverbération sur la pièce de séjour."

ou

- "La dernière création est une base de chocolat traité avec la plus grande précision surmontée d'un nappage en dentelle, le tout ponctué d'un infime pointe de gingembre pour parfaire l'arôme de cette harmonie fondant sous la langue. Vous souhaitez en goûter un, mademoiselle ?"

Alex VK # What kind of monster could possibly hate chocolate? 3854447438
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Message Alex VK # What kind of monster could possibly hate chocolate? › Ven 26 Mai - 13:47
« le dernier ticket d'or est à moi » :powa: :powa: :powa:

et puis Nick Jonas. my gosh. tu veux me tuer. :mdr:

nienvenue et bon courage pour ta fichette doudou :hug:
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Message Alex VK # What kind of monster could possibly hate chocolate? › Ven 26 Mai - 13:52
Je préfère chocolatier sans aucune hésitation Alex VK # What kind of monster could possibly hate chocolate? 3390757329 :langue:
Bienvenue ici, bon courage pour la suite de ta fiche, hâte de te lire davantage.
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Message Alex VK # What kind of monster could possibly hate chocolate? › Ven 26 Mai - 18:25
Bienvenue !
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Message Alex VK # What kind of monster could possibly hate chocolate? ›
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