Event ⊰ Le festival de Marple Spring

Coïncidence ou pas, je débarquais aux USA à la période où se déroulait le festival de musique le plus connu de la ville où je mettais les pieds. Trop tard pour proposer mes services à l'organisation de cet événement auquel il aurait tout de même été difficile de m'y consacrer en parallèle avec l'ouverture du magasin dont j'étais nommé garant de son succès. Peu importait, car je ne trouvais finalement pas beaucoup d'attrait sur le plan des scènes proposées. Je constatais le niveau du plateau bien moins relevé que ce que l'Europe pouvait se targuer d'offrir dans le même domaine. Pas assez diversifié pour m'empêcher à un moment donné de décrocher de l'ambiance. Je restais tout de même, décidé à ne rentrer qu'en clôture, dans l'espoir toujours d'y trouver un regain d'intérêt au fil des prochaines heures. Les quelques noms aperçus sur l'affiche ne me rassuraient pas en ce sens, mais il y avait de quoi alimenter mon inculture musicale. Avec du passable et du mauvais jusque lors. La bonne surprise tardait.

Au rayon de mon étonnement pouvait se ranger l'accessibilité des plus jeunes au festival. D'où peut-être le manque de saveur dans les groupes ou chanteurs adaptés à un public fort commun, à tendance familiale et/ou populaire. Un pouvoir politique frileux à l'idée de casser les codes, je pouvais alors comprendre la déception de celui comme moi qui s'attendait à de belles trouvailles artistiques. Afin d'en trouver, il fallait plutôt regarder les grimages des enfants. Et non leurs grimaces d'être traînés dans cette plaine aux odeurs mélangées de transe animale - celle des moutons bêlant au même rythme que le troupeau sur le tube le plus écouté du moment, interprété par le groupe le plus en vogue du moment mais davantage par écho sociétal que par le talent dans ses productions - et de cuisson à la friture, car une partie lucide de la plèbe remarquait combien la nourriture pouvait surclasser les voix mal accordées, aussi bien que des canards du Périgord n'avaient pourtant rien à envie à la qualité des mets graisseux vendus aux stands de malbouffe de Marple Spring.

Quelque chose de beau ressortait dans l'agencement des formes et des couleurs brillantes peintes à même le corps des enfants aux oreilles bouchonnées par des protections auditives. Officieusement les préserver de la surdité avant l'âge adulte. J'ajouterais : leur épargner les affreuses prestations lyriques. Mais une consigne devait brider la facilité du peintre à l'origine de ces mêmes motifs. A force d'errer sur le site, au gré de mon désenchantement, je me suis rapproché du lieu où les bambins étaient transformés en doux félins. Souriants ou pleurants selon la permission que chacun d'eux admet à se laisser gribouiller les contours de la bouche puis du nez. Les responsables de cette fresque au chômage technique, encore en poste mais prêts à fermer à la moindre décision qui émanerait d'en haut. L'un des bénévoles détenait tous les traits de l'artiste que je cherchais : regard autant perdu dans le vide de l'espace qu'émerveillé par un bout de poussière qui s'envole à deux pas du sol, maintien propice pour que ce soit lui et non pas un autre qui s'affaire sur la première sollicitation qui s'immiscerait sous leur chapiteau, et puis une incroyable jeunesse à qui il est difficile de conférer un âge tant la pureté de l'âme semblait se refléter sur son front et ses joues.

Je m'approchais ainsi comme j'étais venu, désireux de consolider les réponses à mes interrogations. « C'est vous l'art sur le visage et les bras des enfants ? » Sans attendre de réponse, qui m'aurait été précisée et m'aurait dès lors redirigé vers la personne adéquate, je me dévêtis de mon tee-shirt. « Vous pouvez me faire un loup ? Rugissant à la pleine lune ou dans une perspective majestueuse. Sur tout le dos », précisai-je en le lui tournant. Ma peau devenait son lieu d'expression avec la possibilité de la recouvrir de mon haut si le résultat ne me satisfaisait pas. Pivotant la tête vers l'arrière pour conserver un contact visuel, je n'envisageais pas encore cette hypothèse, certain que ca aurait de la gueule. Qu'il ne se foutrait pas de la mienne.

Toujours à son kiosque de maquillage la jeune fille regardait les enfants qui passaient tour à tour pour recevoir un maquillage différent, parfois, certain voulaient le même et parfois, c'était tout autre chose. Assise sur le petit tabouret qui était installer derrière une table de son kiosque, la jeune fille fini par ne plus voir grand monde venir, peut être une fois de temps en temps, mais elle n'était plus dans trop occuper, ce qui était une bonne chose, car elle commençait à être un peu épuiser, après avoir dessiner toute la journée pratiquement sans aucune pause. Quand la musique se fit plus forte et que les lumières de party firent enfin leur apparition. À ce moment, Alice cru qu'elle n'aurait plus personne à son kiosque, alors elle s'installa pour regarder les gens passer et fêter, mais soudain, un groupe jeune vint vers elle et lui demanda de faire un maquillage, alors elle le fit et commença à tout ranger quand finalement, un homme vint la voir. À la question de l'homme, la jeune fille sourit et dit. ''Oui, il semblerait que ce soit moi.'' Elle le regarda un bref instant et l'homme reprit ensuite la parole. ''Un loup? Pas de problème.'' Alice le vit retirer son t-shirt et se mettre dos à elle pour qu'elle puisse dessiner le loup sur son dos. Prenant tout ce dont elle aurait besoin, la jeune fille commença à dessiner le loup, prenant bien son temps pour faire le loup de façon la plus réaliste possible, mais elle n'avait pas trop peur, car Alice était très bonne en dessin. Après un long moment, la jeune fille sourit et dit. ''Voilà.'' Elle le regarda et reprit. ''Vous êtes venu profiter du festival? Vous avez fait beaucoup de kiosque?''

Le festival de Marple Spring

Sujet de groupe #2

Kayleigh s'était engagée dans le festival pour tenir un stand. Elle avait reçu une demande de la ville pour le festival et elle s'était sentit pousser des ailes, elle avait de suite accepter d'y participer sans même avoir réaliser l’ampleur de l’événement : en effet ça lui avait prit pas mal de temps d'organiser son stand, surtout qu'elle voulait l'animer elle-même. Elle avait libéré son agenda pour ça! Elle avait mit beaucoup de temps à trouver le sujet de son stand avant de trouver le sujet idéale : Elle créerait un dessins animé avec tous les gens qui viendrait dans le stand, ils n'avaient cas s'installer, écouter les conseils de la jeune femme, dessiné et d'ici la fin du mois, elle s'engageait à sortir un court-métrage avec toutes les idées des participants. Quand elle l'avait annoncer à ses animateurs, au travail, certains avaient fait la moue en apprenant que du boulot en plus les attendaient, d'autre étaient charmer par l'idée.

En tous cas, la journée était rapide car beaucoup de personne venaient sur le stand, des petits comme des grands et il fallait bien avouer qu'il y avait beaucoup de bonnes idées. Le stand fonctionnait très bien, à tel point que le soir était arrivé vite. Quelques personnes étaient encore là, à colorier leur dernier dessin, alors qu'on entendait la musique des concerts. C'était une nuit vraiment belle et Kayleigh aurait bien voulu aller voir le concert de plus près mais il fallait attendre que les gens partent.

C'était vers la fin de la deuxième chanson qu'elle avait entendu, que les dernières personnes étaient partie. Elle avait regarder un long moments les dessins après avoir fermé le stand. La journée avait été très fructueuse et elle avait pu rencontrer des personnes qu'elle n'avait pas revu depuis très longtemps, des fans et des enfants qui l'a touchaient beaucoup. Comme cette petite fille, fan de ses dessins-animés et de ceux de son père, elle lui rappelait beaucoup elle à son âge. Toute souriante, elle avait hésité avant de venir dessiné sur le stand, elle avait un beau maquillage sur le visage et s'était assise avec timidité avec les autres enfants. Elle ressortait du lot, c'était indéniable, car elle savait déjà bien dessiné, elle avait fait une chenille se transformant petit à petit en un jolie papillon, nulle doute qu'elle trouverait le moyen de l'utilisé pour le court métrage.

Elle entendait des rires derrières elle, elle avait sourit et s'était retournée, elle ne connaissait pas ces gens mais qu'importe, ils avaient l'air amusant. Elle prit son sac et sortit de derrière son entrée de stand, elle allait se prendre une petite pause avant de travailler sur le stand pour mettre en place le travail de ses collaborateur le lendemain. Elle était à deux doigts de se diriger vers la buvette mais sa chaussure s'était coincée dans un pavé du chemin. Quelle idée d'avoir prit des talons pour le festival...

Elle se retrouvait donc là, toute seule, à essayé de s'enlever de ce trou qui l'a tenait prisonnière.

Fiche créée par © Summers

Le festival de Marple Spring

Pendant des jours et des jours, Abbagail avait tanné Matthew pour qu’il vienne assister au festival de Marple Spring. La petite Emily s’était même liguée avec sa mère et avait proposé qu’il « emprunte quelques chevaux » pour faire découvrir les joies de l’équitation à ses copains d’école. Néanmoins, Matt avait expliqué à la petite fille que ce n’était pas si facile et qu’il n’avait pas le droit de faire ça puisque les chevaux ne lui appartenaient pas. En retour, il avait eu le droit à une moue déçue, mais Emily était vite passé à autre chose. Pour faire plaisir à sa fiancée, Matthew avait cédé et il avait été affecté au barbecue, sûrement sous l’impulsion d’Abbagail qui avait soufflé que son compagnon était un as du barbecue.

Ce jour-là, il avait enfilé un jean et une chemise prête à être salie par le charbon. Abbagail était partie bien avant lui puisqu’elle s’était portée volontaire pour s’occuper d’un stand pour les enfants. Ils s’étaient d’ailleurs promis de se rejoindre sur place. Arrivé sur le lieu des festivités, Matthew décida de faire un petit détour par le stand d’Abbagail, mais il remarqua au loin qu’une jeune femme faisait du surplace. Il leva les yeux au ciel puis se décida à aller à son secours même si cela lui coûtait quelques minutes de plus avec sa fiancée. Une fois à proximité d’elle, il réalisa que son talon était coincé dans l’un des joints des pavés. Il ne put s’empêcher de rire et de commenter :

« Là, vous avez fait fort ! » dit-il avant de s’abaisser pour tirer sur le talon coincé. Une fois le problème résolu, Matthew se redressa et tendit sa main face à la jeune femme « Matthew O’Connor, enchanté ! »

294 mots. Fiche créée par © Summers

Le Festival De Marple Spring

Event

Aujourd'hui c'était un peu spécial pour Mia. Elle s'était dévouée à faire une activité au Festival de Marple Spring. Cela faisait quelques mois qu'elle était ici et on pouvait dire qu'elle s'y plaisait beaucoup. Elle avait déjà tout calculée et puis, c'était difficile de faire le projet à la dernière minute puisqu'elle devait prendre plusieurs choses avec elle et devait avoir tout préparé au moins depuis un mois. La jeune femme avait fini par mettre son kigurumi en forme de lion, puis pris ses affaires : des peluches grandes et petites, des costumes de toutes les couleurs pour enfants et même adulte, il y avait aussi certains Kigurumis et cela pour les prix. Après, elle avait pris ses cannettes et les balles pour pouvoir faire tomber les canettes. Un stand l'attendait là-bas, mais elle avait aussi fait personnaliser sa propre bannière. Elle avait aussi pris sa trousse de maquillage pour le visage. Il fallait dire que chez elle, il n'y avait pas de perdant et même ceux qui n'avaient pas pu gagner quelque chose, pouvaient avoir un dessin de leur choix sur leur visage, ou même des bonbons en tout genre. Elle avait fini par prendre sa voiture pour tout y mettre, c'était un peu trop, mais elle savait qu'elle allait bien s'amuser.

Il faisait chaud, alors elle baissa sa capuche de lion. Son kigurumi était un peu léger, même si en fait cela lui donnait un peu chaud. Elle avait pris son sac y mettant des affaires de rechange et sa trousse de maquillage, ainsi que quelques affaires comme son téléphone portable, porte monnaie, lunettes de soleil etc. ... Elle avait fini par arriver à destination et commençait à ressentir les positive vibes. Elle commença donc à tout déballer, puis alla vers son stand et y mit tout ce qu'elle devait y mettre, les déposants d'une façon que tout le monde puisse bien voir ce qu'il y avait sur les stands. Les enfants commencèrent à venir et le caractère gentil et sociable de la jeune femme ne pouvait qu'améliorer cet échange et faire rire même les perdants. Elle aimait beaucoup les enfants et cela l'aidait beaucoup. Elle savait qu'elle n'allait pas s'ennuyer, même si elle travaillait dans un certain sens. Elle trouvait toujours de quoi se défouler. Il y avait des personnes qui gagnaient au jeu et faisaient tomber avec leur balle plusieurs canettes, arrivant même à les faire tomber toutes des fois. Ils pouvaient prendre un seul prix et celui qu'ils voulaient.

Au final, la nuit avait commencé à tomber et Mia commençait à voir qu’il y avait de moins en moins d’enfants. Les feux d’artifices étaient toujours une magnifique scène pour la jeune femme.

Fiche créée par Rinema

Être artiste, c'est ne rien refuser. Dès lors, quand je vis que l'adolescente prenait ma demande avec enthousiasme bien que mes exigences dépassaient la ligne de conduite instaurée par l'organisateur du festival - ou plutôt son staff de responsables auxquels il a délégué l'ensemble des tâches. Un artiste quel qu'il soit n'avait pas à être cantonné par des directives qui lui imposaient de faire des carrés, d'utiliser la couleur bleu ou de ne pas dépasser les trente secondes par réalisation. Puis je voulais quelque chose de particulier; alors je n'allais pas prétendre que je me satisferais d'un minois de tigre ou d'un papillon.

Je laissais les traits de cette jeune artiste - preuve encore une fois que le talent n'a pas d'âge - glisser sur ma peau, déjouant la courbe de mon omoplate où l'exercice s'avérait le plus complexe, car c'était l'endroit le plus détaillé avec la gueule de l'animal à dessiner. Je n'entendis aucun son insatisfait au long de la création, et le miroir devant lequel je me retournais me renvoya un résultat final plus que probant. Mon regard passait répétitivement du croquis à son concepteur, puis dans le sens inverse : je tenais à me rappeler dans les semaines qui suivraient du visage de la personne qui m'avait couché son don naturel.

« Parfait » lâchai-je en me relevant, pour caler mon t-shirt entre l'élasticité de mon bermuda treillis et celle de ma hanche. Je me surprenais à peine du compliment proféré tant j'opérais dans la radinerie de ce côté là. Egalement avare en paroles, je ne refusais pas la discussion qu'elle engageait : « Vu la bouffe qui est servie dans la plupart des kiosques, je m'en sors bien pour l'instant. Mais je viens à peine d'arriver il y a une heure. » La fille m'informe qu'il y a d'autres stands créatifs, à la seule difficulté qu'il ne faut pas passer au-dessus dans cette fourmilière crasseuse. « Evidemment que je compte en profiter. Je commence à peine, et je sens que je vais en avoir pour mon argent ce soir. » Je ne m'attendais à pas grand chose de plus que de voir le déluge d'un comportement social entièrement déséquilibre vers la boisson et la consommation d'herbe. Et des électrons libres dans le tas, qui auraient conscience de ce qu'un festival représente réellement. Je plantais les coudes en arrière sur une planche en bois à mi-hauteur et visualisais déjà ce changement dans les rangs du public. J'aurais pu sortir un paquet et un briquet que je me serais donné un certain style, mais fort heureusement le défaut me faisait justement défaut. Lèvres pincées, à plat, je souriais de cette façon et me rendais compte que je cachais la majestueuse fresque dans mon dos. « C'est un baptême pour toi ? Le festival, je veux dire. J'ai remarqué que le dessin c'était plutôt inné. » prolongeais-je l'échange, la musique m'atteignant autant que la vision de ces tournées de bières circulant dans la plaine.

Le festival de Marple Spring

Qu'importait au fond d'où elle connaissait l'homme, il semblait gêner de cette reconnaissance alors elle n’insista pas. Elle se contenta d'une réponse aussi simple que rapide alors.

« Enchanté, moi, c'est Trish. »

Mas l'homme poursuivit, elle s'était trompée, ce n'était pas de la gêne, mais peut-être de la surprise. Enfin, elle n'avait jamais été douée avec les émotions des gens. Et puis elle avait la tête un peu ailleurs à vrai dire. Elle réfléchit une seconde avant de répondre.

« J'en doute où il y à longtemps alors... Mais c'est possible. »

En sois cela ne faisait pas si longtemps que cela qu'elle avait quitté le manoir Williams pour le manoir O'connor, 3 ans, tout au plus. Mais elle ne s'y était jamais attardé plus que cela dans son quartier, passant ses journées au Ranch, plutôt que de subir le regard accusateur de son grand frère et quelques autres personnes du quartier. Oui, elle sortait avec un O'connor et était aujourd'hui mariée à lui et ALORS ! Elle avait bien le droit d'aimer qui elle voulait bon sang. Reprenant ses esprits après cette bataille intérieure, son sourire s'afficha plus grand encore alors.

« Sans alcool, nous avons des jus de fruit, pomme et raison, des sodas, du Cola, de L'ice Tea, Oasis et du minute Maid au goût tropical. Ou des bouteilles d'eau. »

La tête de Trish s'était doucement tourné vers la scène suivant mimétiquement le fameux Naël. On annonçait les groupes et voilà que la vraie musique avait démarré. Il allait doucement devenir difficile de se faire entendre réellement. Encore une fois Trish finirait sans voix. Mais c'était un peu l'idée du festival. Le festival commençait enfin et c'était le plus intéressant. Donnant les boissons souhaitées à l'homme contre quelques pièces. Elle servit le client suivant et encore celui d'après et ainsi de suite. Jusqu'à ce que doucement la nuit tombe et embrume le parc qui brillait dans la pénombre de la ville comme un feu géant. Dansant derrière le stand au rythme des musiques, tout en servant les commandes passées, elle s'amusait comme une petite folle cette soirée parfaite.

376 mots. Fiche créée par © Summers

Le festival de Marple Spring

La nuit était tombée. Elle aurait été bien noire si le parc n'était pas baigné dans d’innombrablement projecteurs et autres lumières vives. La rousse avait réussi à se frayer un chemin dans la foule, elle n'était pas toute devant la scène, loin de là même. Mais elle n'était pas en fonds de fosse, un juste-milieu parfait. Sa taille plutôt correcte lui permettait d'entrevoir assez bien la scène. Puis au pire les écrans sur les côtés lui servaient de loupe si elle voulait voir les grimaces des chanteurs et autres membres des groupes de musique qui se succédaient. Dans l'ambiance emportée et par la foule et par la musique, elle dansait à en perdre haleine. C'était agréable de se lâcher ainsi, de ne plus penser à rien, de juste vivre le moment présent. Ses cheveux roux balançant au rythme de ses mouvements, elle plaisantait avec ses voisins de festivals, inconnus à première vue. Puis le groupe termina, une petite pause de quelques minutes allait se faire. Juste le temps de reprendre son souffle que les changements d'instruments et réglages étaient vite faits. La musique reprit, la foule avait un peu changé certains fans des groupes, d'autres non. C'était ça la magie des festivals. Ton voisin pour un groupe changeait au suivant. De plus, la musique était très variée ici, même si le festival était plus centré sur le pop rock et électro, il y avait presque de tout. De nouveau prit dans la musique et l'élan Zoela donna un coup de coude assez violent derrière sans le vouloir. Elle ne s'en rendit quasiment pas compter et continua de sautiller sur place.

283 mots. Fiche créée par © Summers

'Cause baby you're a firework

La nuit noire soudain tombe sur le festival. Le dernier groupe vient de saluer la foule et les lumières sont éteintes. Seuls quelques lampadaires éclairent encore le parc. Mais personne ne bouge, personne ne cherche réellement à partir. Les gourmands retournent vers les stands de barbecue ou de boisson. La tente de secourisme a été un peu envahie lors du festival. Il fait chaud et étouffer dans la foule, certains le supportent assez mal. Les autres stands aussi retrouvent une activité un peu plus importante en attendant le final de cette soirée. Les habitués savent bien comment se conclut le festival de Marple Spring, par un magnifique feu d’artifice. Chaque année plus impressionnant et important. Il dure généralement une demi-heure.

Que vous soyez encore dans la foule à attendre de voir le feu d'artifice sortir de derrière la scène. Ou que vous soyez dans la queue pour un stand. Vos oreilles et vos yeux ne tardent pas à se lever alors que le premier sifflement du premier feu se fait entendre. BAM ! Le premier feu explose. Il est d'une couleur, or et ses lumières vous aveuglent un instant avant qu'une autre fusée s'élance à son tour, suivi par une troisième. Rapidement, les feux s'enchaînent et vos yeux ébahis suivent cette danse aérienne. Puis le final semble alors lancé. Sans arrêt de nouveaux feux arrivent. Divers et variés, dessinant des formes et aux couleurs harmonisées. Mais soudain, un sifflement... Mais la fusée n'apparaît pas dans le ciel. BAM ! L'explosion se fait plus loin, elle est partie de travers. Sur la ville, on apprendra plus tard qu'elle a trouvé refuge dans le Penthouse club. Faisant quelques blessés. Un silence alors se fait. Une dernière fusée siffle. Et pareil aucune trace d'elle dans le ciel. La panique gagne doucement vos cœurs. Où va-t-elle aller celle-ci. Elle explose non loin et manque de bol, c'est une fusée à multiple feux. Voilà que déjà dans les alentours du parc, on entend les explosions cela se rapproche jusqu'à être dans le parc. La panique gagne la foule. Une fusée est entrée et a explosé au milieu des gens. Plus de peur que de mal. Pourtant dans la panique de la foule, des blessés seront à déplorer, peut-être vous. Écrasé, bousculé. On cherche à sortir d'ici au plus vite. Qui fera le plus de victimes, deux fusées perdues ou la foule paniquée ?

Quelques informations.

∾ Voici donc la dernière phase de cette événement. Toutes personnes ne répondant pas d'ici la fin du mois de JUILLET sera considéré comme blessé et se verra donc attribuer un sors particulier.

∾ Aucun minimum de ligne n'est demandé pour les événements. Et aucun ordre de passage n'est à respecter. Vous pouvez répondre autant que vous le souhaitez et ainsi de suite.

∾ Toutes personnes s'étant engagé dans des stands et n'ayant pas pris la peine de poster, se verra refuser l'accès à notre prochain event.

∾ Le festival se déroule donc au jour d'aujourd'hui (ou presque), le samedi 15 juillet 2017. Afin que vous puissiez intégrer vos blessures (si tel est le cas) à vos RPs futurs.

fiche créée par © Summers & Rinema

Le festival de Marple Spring

Une fois que j'eus trouvé la tente des secouristes je suis resté là un bon moment sans voir personne rentrer ici. Je me suis juste positionné là sans chercher plus loin, parfois j'entendais des gens dehors rire ou tout simplement parler à côté de la tente. Je m'osais à chaque fois à croire que quelqu'un rentrerait avec un petit bobo quelque part mais rien, je n'ai eu a m'occuper de personne. Au bout d'un moment je me suis décidé a regarder l'heure souhaitant savoir quand le feu d'artifice finirait par commencer et alors que je regarde mon iPhone je découvre qu'il est enfin l'heure, constatant qu'il n'y a toujours personne avec moi je quitte la tente décidant de rester pas trop loin pour admirer le spectacle et éventuellement aider quelqu'un au besoin. C'est alors que le feu d'artifice a commencé envoyant de nombreuses lumières dans le ciel, je souris émerveillé par ce beau spectacle jusqu'à ce que je remarque qu'à deux reprises des feux d'artifice sont tombés à deux endroits différents, un quelque part en ville et un ici même, j'entends des gens hurler, des enfants pleurer, les gens sont effrayés et tentent de s'enfuir de cet endroit aussi vite que possible quitte a se marcher dessus. Et moi dans tout ça je reste au milieu de la foule juste devant la tente des secouristes juste au cas où quelqu'un est blessé et a besoin de soutient. « Je suis secouriste. Quelqu'un est blessé ? » Lançais-je à la foule mais personne ne me répond ils sont trop excités et agités face à l'idée de se barrer en vitesse d'ici, je grimace alors et répète la même phrase juste au cas où mais mis à part foncer hors du parc et me bousculer au passage ils ne font rien d'autre...

Lazlo & Les habitants

Le festival de Marple Spring

Andreas & Naël & les participants

Contrarié ? Légèrement oui. Andreas n’allait pas être content si Naël revenait avec une bouteille d’eau ou un jus. Il aurait bien espéré que la femme puisse lui préparer un cocktail en retirant l’alcool. L’homme jeta un coup d’œil vers son homme et soupira. Bon… Ce n’était pas le drame, Andy faisait toujours la tête ces temps-ci, Nath’ en avait l’habitude. « Je vais vous prendre deux sodas. » dit-il simplement en tendant un billet à la femme. « Merci Trish’, bonne soirée. » Une fois les boissons en main, le libanais s’éloigna du stand pour retourner auprès de son fiancé. Sans un mot, il lui mit la canette dans les mains. Le bouclé put sentir le regard lourd d’Andreas sur lui, mais il ne dit rien. De toute manière, avec la musique, Naël ne l’aurait pas entendu. Tandis qu’il était debout à côté d’Andy, les bras croisés, l’homme put sentir qu’on tirait sur son veston. Se retournant, il vit une petite fille d’environ 5 ans derrière lui. Cette dernière lui sourit largement et lui tendit une feuille et un crayon. L’animateur sourit et s’accroupit pour être à sa hauteur. « Coucou toi ! Comment tu t’appelles ? » Lorsqu’elle lui donna son nom, Nathanaël lui signa un autographe, lui fit un câlin et la laissa retourner auprès de sa mère. Cette dernière remercia Nath’ d’un signe de la tête. Ce n’était rien. L’homme avait l’habitude de faire ça et ça lui faisait toujours autant plaisir.

Alors que la soirée se passait bien, ce fut le début du feu d’artifice. Nath’ n’avait jamais été très fan de ses explosions dans les airs. « On y va ? » « Non. » rétorqua froidement le fiancé du bouclé ce qui le fit soupirer. Mécontent, il croisa ses bras sur son torse et se mit en position à pouvoir regarder le feu d’artifice. Malheureusement, ce qui aurait dû être un magnifique spectacle tourna en drame lorsqu’un feu atteint directement la ville alors qu’un second explosa au beau milieu de la foule. Tout le monde se mit à paniquer et à courir dans tous les sens. Dans un premier temps, le libanais resta complètement figé, n’arrivant pas à bouger d’un poil jusqu’à qu’une personne l’attrape par le bras pour l’attirer à sa suite.

01.06.2017

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Le festival de Marple Spring

Les lumières s'étaient éteintes, la musique avait laissé place au brouhaha de la foule. Zoela, voulait évidemment voir le final, ce feu d'artifice qui chaque année était de plus en plus impressionnant. Mais elle avait surtout envie d'une bonne bière. Elle n'était pas super fan de cette boisson, mais c'était le seul alcool présent dans ce lieu alors elle s'en contenterait. La foule c'tait un peu aérée bien qu'elle restât toujours compacte à l'attente de cette clôture du festival de la ville. Rebroussant chemin vers la buvette, elle bouscula quelques personnes, s'excusant plus ou moins. Évidemment, il y avait la queue. Alors elle allait être patiente et avoir sa bière quand le destin le décidera. Le feu ne tarda pas à commencer. Le nez en l'air, elle baissa les yeux par moments pour constater que la file avançait doucement. Le final n'allait pas tarder. Il y avait encore beaucoup de monde devant elle avant qu'elle n'ait sa boisson. Elle soupira un peu de désespoir. Bien que la queue soit longue devant elle l'était tout autant derrière. Soudain un des feux partit ailleurs, sur la ville, semblait-il. Un silence s'était fait soudain. On chuchotait. Quand un feu suivant parti, on semblait prier intérieurement pour qu'il parte droit dans le ciel. Mais comme quoi Dieu est vache... La fusée avait alors foncé directement dans le parc.

La panique ne tarda pas à animer les gens et la foule déjà tentait de regagner la sortie non loin de la buvette et autres stands. Finalement vu d'ici, c'était très impressionnant de voir des centaines, que dis-je des milliers de gens courir tous dans une même direction. La rousse était resté un instant inerte avant de se faire emporter par la foule sans qu'elle ne puisse plus rien contrôler. Elle tenta de se dégager de ce tsunami humain. Un poteau sembla à son porter. Un bras tendu pour essayer de s'y accrocher. Elle réussit vaguement. Mais dans le brouhaha, les cris, un bruit avait alors attiré son oreille. Un bruit et une douleur, vivent. Elle hurla. Mais la douleur ne fut que très brève au final, laissant place à un état de choc. Son cerveau avait mis de côté la douleur pour que ses yeux s’impressionnent de son bras presque devenu aussi moue que de la geler. Elle avait laissé la foule l'amener encore un peu. Alors que doucement un entonnoir se formait aux portes de la zone de festival, les gens commençant à sortir. Elle s'écarta de la foule. Elle n'était pas loin du stand de secouriste, mais ses jambes la lâchèrent alors. S'affalant contre un arbre non loin de l'entrée. Tremblante, ses yeux ronds, son bras valide soulevant celui qui... Était surement cassé. En état de choc, des larmes avaient gagné ses yeux, ses joues et son cœur. Autre que la douleur ou le choc dû la blessure. C'était comme si soudain, elle rejetait toute la tristesse qui l'animait depuis trop longtemps. Comme si enfin elle s'autorisait à pleurée. Le regard perdu dans un vague et flou tourbillon de larmes. Elle resta là alors qu'on se pressait toujours et encore vers la sortie. Des petits bouts du feu qui avait atterri dans le parc résonnaient encore comme un écho.

Peu de temps après mon arrivée à Marple Springs, je m’étais portée volontaire pour tenir un stand ; celui du barbecue ; au festival annuel de la ville. Sauf que le jour venu, je suis arrivée en retard à cause d’un pépin de santé. J’avoue avoir un peu de mal avec la chaleur et ça a tendance à se ressentir. Bref, je suis arrivée, c’était déjà commencée et l’ambiance était là. J’ai fait ce que j’avais à faire et les gens semblaient contents. De temps, j’engloutissais une saucisse ou un mais grillé, dont je raffole. Je dois avouer que ça change des sushis. A la longue, je pense que je ne vais plus du tout supporter le poisson cru ! Enfin voilà, la journée touche à sa fin et le feu d’artifice est lancé. N’ayant jamais été une grande fan des feux d’artifice, je préfère m’éloignée un peu de la foule. Je compte en profiter pour téléphoner à ma cousine, restée en France. Je sais qu’il est tard dans mon pays, mais il n’y a jamais de bons moments pour s’appelé et elle m’a dit dans son message que peu importe l’heure, elle voulait que je l’appelle. Finalement, je manque au moins à une personne à Lyon. Ce n’est, certes pas, celle que j’aurais espéré, mais c’est toujours mieux que rien du tout. Nous restons un moment au téléphone, mais je raccroche lorsque j’entends une explosion qui n’a rien à voir avec le final du feu d’artifice se fait entendre. Je décide alors de rejoindre le stand du barbecue lorsqu’une seconde explosion retentie, cette fois pas très loin de moi. Je pousse un cri avant de me mettre à courir …. En pleine direction de la foule qui fuit. Ooups. Cela m’oublie alors à faire demi-tour à toute jambes et je pense aussitôt à tout ce qui s’est passé en France ces deux dernières années et j’ai peur.

Le festival de Marple Spring

Ciaran R. Scrymgeour & la ville

La jeune rousse lui esquissa un sourire en retour, allant même jusqu’à en rire. « Et bien, tu vois, je me soigne. » Elle semblait être de bien bonne humeur. Ciaran avait connu des jours ou Lewis se serait montrée bien plus acide avec lui. Une fois sa chevelure au feu repartie dans la foule, il se tourna vers les deux jeunes fondatrices sur lesquelles il était presque tombé pour s’excuser avant de lui-même reprendre son chemin à travers l’événement.

Il avait erré encore quelque temps parmi les stands et les festivaliers sans que personne ne puisse lui dire qui était responsable de toute cette foutue organisation. Son retour jusqu’aux coulisses s’était donc fait dans une plus grande hâte. Comme il semblait impossible de remettre à plus tard, l’heure de passage de ses artistes, ces jeunes fainéants allaient devoir s’activer s’ils voulaient prester de manière décente. Comme il le leur avait rappelé juste avant, ce n’était peu être qu’un petit concert dans une petite ville, mais de mauvais avis les suivraient malgré tout pendant longtemps.

Quand la nuit tomba enfin, soulageant l’Irlandais qui commençait enfin à voir la fin de cette journée pénible, il dut admettre qu’il fut impressionné par les lumières misent en place sur la scène. Malgré la désorganisation totale qui régna en maître, jusque-là, ses artistes se débrouillèrent finalement assez bien. Il était persuadé qu’il aurait lui-même pu faire bien mieux que ce qu’il avait vu de leur part, mais il était assez satisfait. Les gamins de sa compagnie faisant du rock avaient été les derniers à jouer sur scène et lorsqu’ils en descendirent Ciaran se précipita presque sur son sac, déjà prêt à rentrer chez lui. La soirée était fraîche mais agréable et il pensait s’arrêter dans un bar du centre-ville sur le chemin du retour. On lui avait demandé de raccompagner ses protégés, mais il n’était pas question pour lui qu’il refasse à nouveau la route jusque Détroit. En particulier pas un samedi à cette heure. Avec un chauffeur pour les amener là ou ils le désireraient, il était certain que les graines de star arriveraient bien à retrouver leurs chemins comme des grands sans qu’il ne doive les tenir par la main.

Il était nouveau dans le coin, mais il avait malgré tout entendu parler du feu d’artifice. Cependant, il n’avait pas le moindre intérêt à le regarder. Cependant, il jeta quand même un coup d’œil à ce dernier alors qu’il essayait tant bien que mal de se frayer un chemin à travers la foule pour essayer de sortir de ce fichu parc. Ciaran ne comprit pas vraiment ce qui se déroula ensuite. Tout le monde se mit à paniquer et l’amas de personnes se transforma rapidement en une cohue. Quand il réalisa qu’une fusée était tombée à proximité de lui au lieu d’aller exploser dans le ciel, il était déjà trop tard. Il sentait déjà sa peau brûlée à certains endroits. Sûrement, avait-il reçu des éclats de l’engin après son impact contre la pelouse. Son sac tomba de son épaule et malgré la douleur, il continua de marcher à travers la foule jusqu’au moment où il bouscula une jeune fille blonde.

545 mots. Fiche créée par Rinema

Titre

Prénom P. Nom & Prénom P. Nom

Le festival de Marple Spring, l'une des festivités préférées de la ville pour la jeune Abbagail. Cette année, comme depuis quatre ans maintenant, l'institutrice s'était portée volontaire pour le stand d'animation des enfants, et en tant que jeune peintre, elle s'occupait de maquiller les enfants qui le désiraient. D'habitude, c'était un stand assez calme, mais cette année, celui-ci avait connu plus d'animation que d'habitude: de nombreux enfants étaient venus, plus que les années précédentes. Enfants, adolescents, jeunes adultes et parents, on en a vu passé ce soir là, certains donnant même droit à des situations comiques, comme ces jeunes gens qui se sont lancés des piques. Une chose à laquelle la blonde ne s'attendait pas, et ce qui la fit rire. Elle eut aussi l'agréable surprise de voir Matthew débarquer. Il resta en sa compagnie un petit moment, avant de partir avec Emily, toute maquillée, profiter du spectacle. La jeune mère promit de les rejoindre pour le feu d'artifice, clou de la soirée.

La jeune Williams resta donc au stand jusqu'à la fermeture de celui-ci. Puis, après avoir tout rangé, Abba rejoignit sa petite famille dans un coin du parc, où sa fille et plusieurs amis de celles-ci l'attendaient, en compagnie de son fiancé. Assis dans l'herbe tous admirèrent le début du feu d'artifice, jusqu'à ce que celui-ci tourne mal. Vraiment mal. Une fusée partit plus loin. Où ? Aucune idée, mais Abba entendit distinctement l'explosion au loin. Puis, une seconde fusée n'explosa pas dans le ciel. Non, elle explosa non loin du parc. Et comme c'était une fusée multiple, plusieurs petites répliques atteignirent le parc où un énorme mouvement de foule venait de se déclencher. En voyant cette vague de panique, Abbagail se leva, afin de protéger les enfants qu'elle avait auprès d'elle, mais en se mettant sur ses jambes, elle se fit bousculée par un homme qui courait, et chuta lourdement au sol, sa tête tombant sur une pierre, alors que non loin d'elle, une fusée explosait.

340 mots. Fiche créée par Rinema

Spoiler:

» [FB] Ezio ⊹ Welcome to the Marple Spring.
» Kaelyn ♦ Arrive à Marple Spring
» Danahé, c'est un peu l'ami Ricoré de Marple Spring
» ÉVENT 3 ⊰ This is Halloween
» ÉVENT 4 ⊰ It's a party in the USA.